Qui a tué l’écologie ? (un livre à paraître)

Le 16 mars prochain paraît aux éditions LLL un livre intitulé : « Qui a tué l’écologie ? ». Il est de moi. J’ai grand besoin de vous.

Ceci est de l’autopromotion. Je vous dois une explication, car si certains me connaissent, la plupart ignorent qui je suis. Je suis un militant écologiste de longue date, mais je ne suis pas dans les clous. Je crois, comme je l’écris ici depuis des années, que la crise écologique est le cadre de la pensée humaine. Ce n’est pas un choix, c’est une réalité. Nous sommes confrontés à l’impensé radical, peut-être à l’impensable. Moi, je veux croire malgré tout à la vie, dans sa splendeur. Je ne peux plus changer, ni ne le souhaite : je postule que tous les êtres humains sont égaux. Je réclame leur liberté. Je proclame leur fraternité. Mais comme ce n’est pas à mes yeux une blague inscrite au fronton de nos mairies, je me situe du côté des grands humiliés de la terre, des affamés perpétuels, de ceux sur qui ce monde pisse du matin au soir.

Et j’y ajoute tout ce qui vit. Car la vie ne saurait être découpée. Elle est. L’homme n’a nul droit de faire disparaître la moindre espèce, aussi futile qu’elle lui paraisse. En outre, s’attaquer à quelque forme que ce soit, c’est s’attaquer au principe lui-même. Qui tolère la mort des abeilles ou des chauves-souris prépare les grands désastres humains de demain. Je plains les aveugles qui nous conduisent, car ils nous mènent à l’abîme. Je ne les plains pas, à la vérité, car leurs yeux brillent du feu de la rapacité, et de la si complète sottise qui l’accompagne.

Ce préambule pour vous dire que l’autopromotion qui suit n’est pas de nature commerciale. Je pourrais gagner de l’argent. Au lieu de quoi j’ai écrit ici en trois ans et demi près d’un millier d’articles, pour lesquels j’ai dû payer de mon temps, et du reste. Et qui n’ont rien coûté à ceux qui les lisaient. Je l’ai fait avec bonheur, mais qu’au moins on m’accorde ce crédit-là. J’écris des livres pour faire avancer les idées auxquelles je crois. Pas seulement sans doute, mais surtout, je le pense. Et j’ai besoin de votre aide active, si vous me la concédez. Car l’ouvrage que je vous présente ci-dessous n’a qu’une seule chance : le bouche-à-oreille. Peu de journalistes en relaieront l’existence, pour des raisons que j’aurai l’occasion de détailler une autre fois. Par ailleurs, il a de fortes chances de mettre en colère quantité de petits marquis, éventuellement écologistes. En revanche, je vous tiens collectivement pour la chance de ce bouquin.

Je ne vous demande aucunement de me faire confiance a priori. Je vous demande d’enregistrer que ce livre sort le 16 mars prochain, aux éditions LLL. Je vais reproduire ce qu’on appelle dans le jargon la quatrième de couverture, qui est une très courte présentation, suivie de la couverture elle-même. Si vous jugez le sujet digne d’intérêt, je vous en prie instamment : faites circuler dans vos carnets d’adresse. C’est tout bête à écrire, mais vrai ô combien : j’ai besoin de vous.

La quatrième de couverture :

Ce livre va faire mal, parce qu’il décrit ce qu’est devenu le mouvement écologiste officiel, celui des salons dorés, des petits-fours, des photos de groupe devant les palais officiels. Ce livre va faire mal, parce qu’il révèle pour la première fois l’histoire, les histoires, les coulisses. On peut donc le lire comme un roman vrai, un polar implacable, rempli de personnages aussi étonnants qu’Anton Rupert, l’un des véritables fondateurs du WWF International.

Mais l’acte d’accusation vise bien au-delà la « bande des quatre » qui s’est autoproclamée représentante de la société française. Et qui a décidé de se soumettre aux ruses et risettes de l’État français, Nicolas Sarkozy, Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet en tête. Certes, il existe de nombreuses différences entre le WWF, Greenpace, la Fondation Nicolas Hulot et France Nature Environnement (FNE). Ce document rend à chacun ce qui lui appartient.

Mais au total, le bilan est désastreux. Alors que les mêmes clament que la planète est en perdition – et elle l’est -, ils préfèrent compromis et compromissions, tapes dans le  dos et décorations. Dernière dérobade : l’affaire des gaz de schistes, qui exigerait pourtant une mobilisation immédiate. « Qui a tué l’écologie ? » ne se contente pas de poser une question, mais y répond. Le livre a été écrit par un écologiste engagé depuis des décennies dans le combat pour la vie sur terre. Il appelle à un sursaut historique, seul capable de nous aider à faire face à la crise écologique qui arrive. Qui est déjà là. C’est donc un cri d’espoir. Et un appel majeur.

Et la couverture:

Qui a tué l’écologie ?

61 réflexions sur « Qui a tué l’écologie ? (un livre à paraître) »

  1. Fabrice,

    N’en doute pas, nous allons contribuer par nos réseaux à faire connaître ton livre (Je suppose que tu en auras déjà quelques uns…). On en parle déjà beaucoup. Ta présence au salon Primevère de Lyon ce dimanche devrait permettre un bon lancement. Je regrette de ne pouvoir m’y rendre pour assister à ta conférence de l’après-midi. Connaissant tes talents oratoires, les lyonnais (et les autres) ne seront pas déçus, j’en suis sûr ! N’oublie-pas de leur parler des gaz de schiste 😉

    Tiens à ce propos, j’ai trouvé un édito sur le site des joyeux foreurs. Il date de mai 2010 (!) et il devrait te plaire. Je vous le conseille vivement à vous tous les lecteurs de « Planète sans Visa »

    Bien à vous. Sancho

    http://www.foreurs.net/index.php?option=com_content&view=article&id=31:activites-et-publications-&catid=18:actualites-amicale&Itemid=59

  2. Fabrice,

    Une erreur d’insertion, s’est glissée dans mon dernier message… Le voilà corrigé.

    Bien à toi.Sancho

    Fabrice,

    N’en doute pas, nous allons contribuer par nos réseaux à faire connaître ton livre. On en parle déjà beaucoup. Ta présence au salon Primevère de Lyon ce dimanche devrait permettre un bon lancement (Je suppose que tu en auras déjà quelques uns…). Je regrette de ne pouvoir m’y rendre pour assister à ta conférence de l’après-midi. Connaissant tes talents oratoires, les lyonnais (et les autres) ne seront pas déçus, j’en suis sûr ! N’oublie-pas de leur parler des gaz de schiste

    Tiens à ce propos, j’ai trouvé un édito sur le site des joyeux foreurs. Il date de mai 2010 (!) et il devrait te plaire. Je vous le conseille vivement à vous tous les lecteurs de “Planète sans Visa”

    Bien à vous tous. Sancho

    http://www.foreurs.net/index.php?option=com_content&view=article&id=31:activites-et-publications-&catid=18:actualites-amicale&Itemid=59

  3. Fabrice,
    La qualité de vos livres précédents laissent augurer d’un témoignage à charge tout aussi passionnant. J’ai toujours fait une grande différence entre les écologistes scientifiques et les écologistes militants.
    Je pense sincèrement que votre livre aura un succès raisonnable dans sa forme papier, et n’hésitez pas à lui offrir une forme électronique pour les tablettes et liseuses qui se propagent rapidement, ou tout simplement pour un téléchargement (payant) sur nos ordinateurs.
    Continuez et bravo

  4. Nous vivons une période des plus trouble où l’argent corrompt tout et le mensonge imprègne les discours. Pour moi, dépolluer la planète commence par faire le propre en moi-même et dans mes habitudes de vie. L’égoïsme, l’ignorance et l’avidité se trouve dans le mental de chaque personne. Qui est prêt aujourd’hui à arrêter de donner son argent aux pétroliers qui font rouler nos voitures et nos centrales thermiques ? Il faudra bien un jour pourtant que nous le fassions à moins de nous auto-détruire. Avoir la tête dans le gaz de schistes en ce moment : rien de mieux pour réveiller les consciences ! Depuis quelques jours, je regarde mon eau, comme le bien le plus précieux dans ma maison !
    Bonne journée à tous et encore merci à Fabrice de se battre pour conserver ce monde merveilleux qu’est notre planète ! Bien sûr, je ferai suivre son livre sur mon profil FB. Mila

  5. Hello,

    Merci Fabrice. C’est commandé. Et pour la pub,(quel vilain mot), je n’ai pas de profil FB, mais il y a d’autres combines!

    Restons soudés et allons tous, vent contraire! Au côté des minorités et contre ceux qui ne travaillent que pour le profit, le pouvoir, et la renommée.

    Bonne journée, a toutes et tous, Léa.

  6. Egalement sur mon profil FB !
    Ce polar de l’écologie attendu avec impatience !
    Nicolino, le « Hercule Poirot » de l’écologie 😉

  7. Mon exemplaire de bidoche est toujours en train de faire le tour de mes amis; celui-ci va faire pareille. Au moins ils ne prennent pas la poussière 😉

  8. Bonjour Fabrice,
    Pouvez-vous indiquer si votre ouvrage est disponible par correspondance ?
    Une autre question concernant le seul parti qui aurait pu prétendre au qualificatif d’écologiste.
    Qu’est devenu le M. E. I ?
    L’union est dans la force, pourquoi y-a t-il autant de petites structures « écolo » faisant leur petites affaires dans leur petit coin ?
    Le but essentiel de l’écologie, à mon sens, n’est pas de « prendre » le pouvoir mais de faire changer les choses.
    Cordialement à vous et à vos lecteurs.
    JP

  9. Il est déjà en commande chez mon libraire à qui j’ai demandé de le mettre aussi en présentoir. Je vais également diffuser l’info autour de moi. Je souhaite du succès à ce livre non seulement pour toi mais aussi pour l’écologie. La vraie.

  10. Bonjour,

    livre très intéressant effectivement,

    est -il aussi question des naturalistes , tel

    Terrasson,Hainard ou Génot?

  11. Fabrice,

    Kokopelli a 300 copies de ton livre « Qui a tué l’Ecologie, » sur son stand à Primevère. Nous comptons bien sur toi pour venir de temps en temps les signer sur une petite table que l’équipe te réserve.

    La chasse aux prédateurs est ouverte! Que se vayan todos!

  12. mais qui a tué l’espoir aussi,nous tous,a vivre sans pensez aux conséquences a nourrir des lobbys comme total ou areva;le boycote en france ont connait pas

  13. juste une information :
    MARTINE BILLARD
    DÉPUTÉE DE PARIS
    TÈL. 01 40 63 01 11
    FAX. 01 40 63 01 91

    Un débat sur l’exploitation des gaz de schiste à l’Assemblée nationale
    A l’initiative de Martine Billard, députée de Paris et co-présidente du Parti de Gauche, le
    groupe de la Gauche démocrate et républicaine a proposé l’organisation d’un débat à l’Assemblée
    nationale sur les conséquences environnementales de l’exploitation des huiles et gaz de schiste en
    France.
    Ce débat aura lieu le mardi 29 mars dans le cadre de la “ semaine de contrôle ” organisée une
    fois par mois à l’Assemblée et dont l’ordre du jour est fixé par les différents groupes politiques.
    Il s’agit d’une première victoire car cela permettra à la fois de mettre en lumière la mobilisation
    qui a lieu contre les gaz de schiste et de demander au gouvernement d’indiquer clairement quelles
    sont ses intentions. Les déclarations de Nathalie Kosciusko-Morizet sont en effet extrêmement
    confuses. Elle affirme que l’exploitation en France ne se ferait pas avec les mêmes techniques que
    celles employées aux Etats-Unis ou au Canada, alors même qu’aucune autre technique n’existe à ce
    jour. Le gouvernement doit maintenant s’expliquer, et au grand jour.
    Le gouvernement cherche à livrer notre sous-sol à ses amis, dirigeants de puissantes
    multinationales… en passant sous silence les graves conséquences environnementales d’une telle
    exploitation… et en cherchant à étouffer tout débat public sur la question. Cette situation ne doit pas
    durer plus longtemps !
    Martine Billard.
    Assemblée nationale 126, rue de l’Université 75355 PARIS 07 SP
    COURRIEL :MBILLARD@ASSEMBLEE-NATIONALE.FR

  14. A mediter quand meme sachant que le gaz francais vient essentiellement de contrats avec la Russie.
    Gazprom a récemment
    demandé aux Européens de limiter la part de prix spot
    dans les contrats, car en optant pour des prix bas à court
    terme, ils risquent de déstabiliser leur sécurité d’approvisionnement
    à long terme, en ne donnant pas les moyens
    à la Russie d’investir suffisamment dans de nouveaux
    forages. Certaines sources(25) sont même allées jusqu’à
    indiquer que Gazprom soutiendrait les mouvements écologistes
    d’opposition à l’exploitation des shale gas. Il est
    vrai qu’une diminution de la rente gazière de ce pays
    aurait des conséquences politiques internes importantes.
    http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/2011-03-09-NA215-Gaznonconventionnels.pdf

  15. Bonjour Fabrice comte sur moi pour faire parlé de se livre.
    Et je serai le premier a l’acheter.
    Enfin une vérité sur ses milieux.
    amitié a tous

  16. Bonjour Fabrice

    Je vous connais depuis Bidoche mais aussi grâce à vos articles dans Charlie. Engagé comme lui, vous êtes à mes yeux, le  » Paul Watson » de la terre.
    J’attends votre nouveau livre avec impatience et je vais demander à ma bibliothèque de le référencer. Peut être fera t’il surgir de nouveaux « moussaillons » ?
    Au fait, vous a t’on rendu votre furet, ou s’est il fait la malle pour de bon?

    Amitiés

    Brigitte

  17. Pub garantie autour de moi au sens de rendre public, pas cette technique d’enfoirés qui visent à éradiquer notre faculté d’abstinence de frugalité de modération ce que vous voulez après tout suivant vos convictions.

    Ce qui me fait penser que peut-être bien qu’elle n’était pas encore vraiment née c’t écologie politique, d’où pt’-être un titre mal choisi…

  18. Fabrice,
    « Pesticides » a été mon livre de chevet.
    J’ai reçu aujourd’hui par une association de « Libération des semences » l’annonce de la mise en vente de « Qui a tué l’écologie? ».
    Engagée pour des élections locales en cours,j’en suis arrivée à des conclusions similaires.
    Certains s’approprient effectivement le droit de représenter l’écologie et de rejeter les personnes, nombreuses, qui ne souhaitent pas faire allégeance à des méthodes de « pouvoir ».
    Votre livre sera pour ceux-ci un bon support. Je relaie. Encore merci à vous pour tout. Tintin 86

  19. comme vous devez le savoir il est deja en ligne sur le site de kokopelli,on peux en commander en nombre,a offrir sans moderation!!!!

  20. @Sancho,
    « Ta présence au salon Primevère de Lyon ce dimanche devrait permettre un bon lancement. Je regrette de ne pouvoir m’y rendre pour assister à ta conférence de l’après-midi. »

    Et moi donc, j’y étais l’an dernier mais Fabrice avait eu un empêchement.
    Cette année j’y serai le samedi (enfin, y’aura quand-même Majid Rahnema), dommage que la conférence de Fabrice soit placée le dimanche après-midi.
    🙁

  21. Monsieur,

    Je viens de transmettre à madame Anne Vaudoyer, chargée des relations avec la presse auprès des Editions LLL, ma « commande » de votre dernier essai « Qui a tué l’écologie? ». Je suppute qu’en sus des organisations mentionnées à la « une », vous avez également dénoncé « la bande à DCB ».
    Je compte proposer ma recension à des revues, dont « Silence », et sites alternatifs. Pour me situer, je me permets de vous rappeler que je vous avais contacté dans le cadre de mes investigations sur « les fûts de Seveso », en vue notamment de mon papier pour le mensuel lyonnais susvisé. Michel Bernard et ses collègues l’avaient inséré dans le numéro d’octobre 2006.
    Je ne manquerai pas de vous mailer mes chroniques.
    D’ici là, excellente continuation et conviviales salutations depuis l’Alsace,

    René HAMM

  22. @ Lionel,

    J’étais au salon Primevère l’année dernière moi aussi. Nous étions nombreux à attendre vainement l’arrivée de notre hôte. Mais il ne vint pas. Je suis reparti avec « Bidoche » et ma déception…

    J’espère que Fabrice sera bien là dimanche, malgré son emploi du temps de ministre 😉

  23. Bonjour

    Rien à voir avec la publication du livre.

    Tsunami au Japon, je m’interroge si des centrales nucléaires ont été touchées ?

    Cordialement

    Laurent

  24. Laurent:
    L’état d’alerte nucléaire est décrété, rapporte l’AEIA (Agence internationale de l’énergie atomique), alors que quatorze réacteurs dans quatre centrales sont affectés. Si les autorités de sûreté nucléaire japonaise affirment que « les centrales ont été mises à l’arrêt » et qu’« aucune fuite radioactive n’est recensée », il y a quand même des raisons de s’inquiéter.

    Près de la centrale de Fukushima, quelque 6 000 personnes ont été évacuées, dans une zone qui s’étend jusqu’à 3 km autour de la centrale.
    ———-
    Faudra quand même, comme d’habitude, se mefier du catastrophisme et de la surrenchère anxiogène.

    Mais des installation industrielle de toute nature semblent avoir été très touchées.

    Un barrage aussi a cédé.

  25. oui ,il y a une centrale qui brule et ils peuvent rien faire,soi disant pas de fuite radio active,tu parles!c’est la vraie vie,la terre se reveille et des usines petrochimiques brulent etc,dingues les pollutions,

  26. « L’union est dans la force, pourquoi y-a t-il autant de petites structures “écolo” faisant leur petites affaires dans leur petit coin ? »

    Peut-être un peu trop d’égologie?

  27. c est vraiment le moment de suivre cet exemple et de denoncer ce que ni les politiques ni les journalistes ni les associations et les medias nous cachent.on doit reprendre le controle de nos vies. renseignez vous sur le lait (robert cohen),les ampoules basses conso, le b phénol a, la qualité de l eau de nos robinets, ces trainées persistentes d avions ( chemtrails)etc c est plus possible. si ca vous dit mon mail vegkayaseb@hotmail.fr, je suis ouvert sur toutes ces questions et cherchent certaines solutions et interlocuteurs.

  28. Je fais venir le livre dés que possible et le ferait circuler autour de moi. Celui D Edgard Morin, La Voie est aussi interessant à lire.
    Un petit problème locale, nous avons depuis 4 mois à Casablanca 4 éléphants d’un cirque bloqués au Maroc par l union européenne qui leur interdit un retour en Europe à cause soit disant d’un séjour trop long en Afrique d ou des problèmes sanitaires ! Par contre les choses n avançant pas administrativement le propriétaire à beaucoup de mal à les nourire et ils ne survivent que graces à des dons et l’UMPA locale mais cela ne pourra durer et le propriétaire envisage de les piquer. Si quelqu un à une idée sur la façon de les aider merci de me le faire savoir.

  29. Arnaud

    Essayez aussi actuanimaux.com qui parraine des animaux dont les animaux sauvages. Allez sur la rubrique FAQ pour savoir comment il faut procéder.
    Essayez aussi l’IWAF

    Cordialement

    Brigitte

  30. C’est le comble, je ne trouve même pas votre livre à acheter en PDF.
    Coupons des arbres ! c’est mieux ! Imprimons sur papier.

  31. Merci pour ce merveilleux moment chez Mermet à propos de votre livre « qui a tué l’écologie »
    Je vais passer l’info à mes amis pour qu’ils réécoutent l’émission sur le site de « Là-bas si j’y suis ». Une écolo bas normande…

  32. Je vous ai entendu hier sur France Inter(Mermet).J’achète votre livre (dès que possible) qui semble répondre aux questions que je me pose.J’en parle et parlerai autour de moi.

  33. Fabrice,

    Tu évoques la bande des quatre. Cela m’étonne car la LPO faisait partie de la bande et se positionnait comme représentative du monde naturaliste. Ils sont donc au moins 5. Cette structure que tu ne mentionnes pas vient d’ailleurs de brader le marais poitevin pour la A831… La aussi la direction a été médaillée pour services rendus…Les locaux sont la aussi dignes du plus grand délire a 4 millions d’euros…Dommage car ils meritaient sans doute le même sort que celui réservé aux autres.

  34. Bravo Fabrice, ton livre va enfin faire bouger tout le monde, il est temps. S’ il fallait encore une preuve pour étayer ce que tu avances je me permets d’ apporter ceci :
    – Bruxelle a sorti un décret sur l’ eau il y a une dizaine d’ année, chaque pays se devait de faire le nécessaire pour 2010 en particulier dans le secteur des ports de plaisance où le nettoyage annuel des carènes de bateaux dont les rejets de peintures antisalissures polluantes sont rejetées dans la nature avec l’ eau de nettoyage. La France a donc décider de … créer d’ énormes infrastructures portuaies homologuées par les services public pour sortir tous les bateaux de plaisance et de pêche (pour la marine marchande on ne sait pas…)bref des milliers de bateaux sont à sortir de l’ eau pour les nettoyer… au lieu tout simplement et en toute logique, d’ interdire ces peintures polluantes alors que des peintures « écologiques » existes. Et bien non. C’est pire et les dégats sont terribles : des zones spéciales ont été crée, avec bétonnage de nouvelles surfaces, de gros matériel de manutention très onéreux, de matériel de stockage etc… souvent gérés par les CCI avec l’ aval des préfets. Je ne compte pas les rejets de CO2 et tout ce qui va avec, et tout ça pour très peu d’ emplois immédiats, ce qui a permis curieusement de laisser les industriels de la chimie continuer leur gros buisness en préservant les emplois… Personne n’ a protester, aucun média, rien, car protester alors que tout ça est fait au nom magique de l’ écologie c’ est mal vu, et biensur les gogos sont encore tombés dans le piège !!!Nous sommes manipulés à un point que peu de gens imagine.
    Merci Fabrice de remuer en profondeur les concienses, il en sortira forcément quelque chose de positif.
    Je dois préciser que les plus pénalisés sont les petits bateaux car les propriétaires sont des locaux aux revenus modestes qui vont donc devoir choisir soit payer cette toute nouvelle « taxe écologique » très très élevée, où de revendre leur bateau… le ménage a commencé.

  35. Encore une fois merci à Daniel Mermet. Entendu son entretien avec vous à propos de ce livre.
    Je viens d’envoyer un mail à mes contacts pour les inciter à podcaster cette émission.

  36. O.K. Fabrice je te soutiens. C’est le livre que j’aurais voulu écrire… Tu peux compter sur mon carnet d’adresses

  37. j’ ai entendu vos propos à la radio concernant l’écologie et je partage vos opinions
    j’ai lu récemment le courrier international consacré a l’agriculture ceci a conforté mon avis sur « l’industrie » agroalimentaire ceci dit votre livre sera un bon complément j’en ai déjà parlé autours de moi et ca va continuer…
    COURAGE A NOUS

  38. Bonjour

    Attention à la manipulation , SANCHO MET EN LIEN LE SITE DES FOREURS, ce site plaide le bienfait de l’exploitation du gaz de schiste. Ail… çà fait mal.
    De mon côté j’ai démissionné de Greenpeace car le pouvoir central étouffe les militants.
    A+
    Alain

  39. bonjour Fabrice, je viens d’achever votre livre. Bravo de le dire, de le penser, de l’écrire et de le publier. En parlant avec des amis de toujours (même si je suis encore jeune par rapport à l’histoire de leurs mouvements écologistes), je pensais que vous veniez d’écrire tout ce que tout militant sincère, convaincu et progressiste de la cause écologiste aurait du faire depuis fort longtemps. Autant vous dire donc que je suis content d’avoir lu votre argumentaire et votre raisonnement. Que celui ci étaye aussi ma pensée, mais aussi et plus important ce qu’il faudrait faire, dire et proposer pour endiguer les urgences écologiques de notre temps. La société civile à souvent de l’avance sur le temps politique qui ne légifère plus que dans l’urgence et l’émotion. En cela bon nombres de petits mouvements animent aussi une autre écologie (je pourrai vous en parler longuement). À la question posée dans le titre de votre livre, spontanément, j’ai répondu « la connerie des gens a tué l’écologie ». Vous savez cette connerie qui confère à chaque individu de se sentir mieux paré d’un pouvoir même petit, celle qui fait vaciller dans l’appât du gain, loin du minimum syndical, celle qui fait sombrer dans les facilités consuméristes… Résoudre les crises que nous traversons demanderai de l’audace, du courage, de l’ambition, qu’ils ne faut pas espérer exclusivement politique, et je doute que l’on soit capable de partager ce qu’il faudrait pour tout cela… Ma principale crainte depuis longtemps serait de voir l’avènement d’un totalitarisme écologique, une fois communisme et capitalisme épuisés, nous n’aurions à l’échelle de l’humanité pas gagné grand chose… et nous ne gagnerions pas grand chose non plus à un grand soir écologiste… mais il est urgent d’agir, de sensibiliser, d’informer, de faire… pour peut être que ce ne soit que seulement moins pire… Merci de rappeler notre statut d’espèces en sursis, sur cette Terre qui se remettra bien de la disparition de l’Homme. Mais nous devons vivre… Bravo à vous, bonne continuation et courage pour affronter vos détracteurs.

  40. Merci pour ce livre, encore plus important que les précédents.
    Merci d’avoir mis vos mots sur ma souffrance de naturaliste et d’avoir si bien expliqué ce gros malaise avec nos associations.
    Je fais tout ce que je peux pour le faire connaître et lire.
    Pierre

  41. Bonjour,

    Ci-dessous ma chronique de votre dernier essai, parue dans « A contre-courant syndical et politique » de juin-juillet 2011.
    Conviviales salutations,

    René HAMM

    Qui a tué l’écologie? de Fabrice Nicolino

    Balayant sans détours les coquecigrues du «développement durable» et du «capitalisme vert», attrape-nigauds conçus pour consolider, sous une terminologie light, les schèmes du productivisme effréné, l’auteur assène un présupposé univoque: la mort de l’écologie. J’avoue que j’avais escompté qu’un réquisitoire en règle contre les assassins/fossoyeurs vise certain(-e)s Vert(-e)s, en particulier Daniel Cohn-Bendit, chantre décomplexé du système dominant (1). Le collaborateur au magazine Terre sauvage squeeze sciemment l’analyse du parti allié du PS. Il réserve essentiellement ses piques implacables à quatre des principales associations environnementalistes, coupables, selon lui, d’arrangements, voire de franches complicités, avec les saccageurs des écosystèmes. Il pointe les compromissions de la Fondation Hulot, du World Wide Fund for Nature, de France Nature Environnement et de Greenpeace France à l’occasion du Grenelle de l’Environnement, initié, le 21 mai 2007 par Nicolas Sarkozy et Jean-Louis Borloo. Comment acquiescer à cette «pièce bouffonne» maquillée en une étape capitale vers une «réelle démocratie écologique», alors que ses régisseurs avaient sciemment occulté, lors des diverses tables rondes, des questions aussi peu anodines que le nucléaire, l’eau ou la sauvegarde des espèces menacées d’extinction? Les «écologistes officiels», dont les pratiques privilégient désormais les discussions polies (sans résultats vraiment probants) avec les entrepreneurs et l’État à l’intransigeance des combats militants, cautionnent «l’habillage peinturluré d’une société qui ne veut évidemment pas changer d’un iota». Mais ils jurent de la pureté de leurs intentions comme de leur indépendance… Fabrice Nicolino présente quelques personnages-clés qui ont influé sur les dérives progressives de mouvements censés alarmer l’opinion publique sur les gravissimes dangers qu’encourt l’humanité. Nonobstant un optimisme plutôt modéré, il continue de rêver, à l’instar de tant d’autres bipèdes, d’une «insurrection de l’esprit qui mettrait sens dessus dessous les priorités de notre monde malade».

    Éditions Les liens qui libèrent, Paris, mars 2011, 303 pages, 20,50 euros.

    (1) Je vous recommande chaudement l’essai de Paul Ariès et de Florence Leray, «Cohn-Bendit, l’imposture» (Éditions Max Milo à Paris, février 2010, 191 pages, 17 €). Le dimanche 29 mai, dans le cadre d’une consultation interne, la motion de l’ex-«enragé» soixante-huitard n’a recueilli que 26,6% des suffrages contre 50,3% pour celle défendue par Cécile Duflot.
    René HAMM

  42. A noter : il y a une différence entre Mr Husting et Greenpeace, merci de faire la distinction.
    A priori, les écologistes militants et les écologistes scientifiques n’ont pas a être rangés dans des cases différentes, cette société fait ça très bien toute seule, isoler les gens, isoler les points de vues… Diviser pour mieux régner jusqu’ici rien de nouveau sous le soleil….

  43. Bonjour,
    Un ami m’a transmis plein de livres super intéressants dont le vôtre. Je l’ai lu avec plaisir et ai appris quantité de choses. J’ai aussi lu récemment le premier livre de Philippe Desbrosses « Krach alimentaire » datant de 1987, et en le lisant, on se rend compte que le discours n’a pas changé d’un pouce. Ce qui veut dire que rien n’a changé dans les actes. Le terrible développement durable a fait tant de dégâts et tout est encore à faire, sauf que près de 30 ans ont passé, et que l’urgence est encore plus grande. Il n’est plus temps de faire la transition. Faisons un grand pas de côté et responsabilisons-nous, agissons. Refusons qu’on nous considère comme des enfants et mêlons-nous de ce qui nous regarde. Secouons l’ignorance de nos élus, harcelons-les, apportons leur notre expertise libre.
    Merci
    Bon rétablissement
    MN Hauser

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