Pause et silence

Je vais rester silencieux quelques jours, et je ne suis pas sûr de pouvoir valider chaque matin vos commentaires. Car cela commande (un peu) de temps, denrée devenue trop rare ces semaines-ci. Portez-vous au mieux, à bientôt.

PS : Je serais heureux d’avoir votre avis sur Planète sans visa. Ce que ce rendez-vous apporte selon vous. Il m’arrive, je vous l’avoue sans fard, d’avoir envie d’arrêter. Cinq ans et demi au compteur, quelque chose comme 1 400 articles exclusifs d’autres lieux, cela commence à faire. Sans coquetterie excessive, dois-je continuer ? Je n’en sais rien. Vous êtes, d’après le compteur interne, entre 4 000 et 4 700 visiteurs uniques quotidiens.

150 réflexions sur « Pause et silence »

  1. Fabrice,

    Je dois faire partie des visiteurs reguliers, et je trouve sur ton blog des tas de choses que je ne trouve qu’ici…
    Je ne m’exprime pas souuvent mais je lis attentivement.

  2. Tu veux 4700 commentaires à valider ? Tu occupes une place sans équivalent, hélas… Tiens bon !
    François

  3. Vous diffusez des informations que l’on ne retrouve pas ailleurs : peut-être êtes vous alimenté comme « le canard enchaîné » par des sympathisants anonymes bien placés.

    Vos articles sont argumentés, étayés et rarement contredits par les personnes mises en cause.

    CONTINUEZ !

  4. Bonjour,

    Ce petit mot pour vous dire que j’apprécie énormément votre blog car en plus de votre style rigolard mais sérieux, l’information que vous y publiez donne souvent un éclairage différent sur certains évènements et permet de prendre plus de recul.L’avantage de ce type de média est que c’est facile à suivre et cela ouvre des portes sur un paquet d’autres sites que je n’irais jamais visiter si vous n’en faisiez pas mention.

    Je comprendrais que vous arrêtiez en raison du temps et peut être de la lassitude qu’implique la gestion de ce blog mais ce serait une lumière de moins, que dis-je une fibre optique de moins qui canalise notre attention vers des problématiques / sources d’informations auxquelles on n’aurait peut-être pas été exposé sans vous.

    Une solution serait peut-être de changer le format du blog ou alors de s’associer avec quelques collègues pour en partager la gestion.

    En espérant continuer à vous lire, ici ou ailleurs.

    Bonne continuation.

    Forza.

    Alex.

  5. Impossible ! Ce blog ne vous appartient plus, par contre vous lui appartenez. Hé oui, c’est comme ça.

    J’y trouve des informations précieuses (par exemple les parcours individuels et liens interpersonnels des oligarques et écocideurs) et une bonne dose de révolte pure complètement indispensable.

    Courage !

  6. Je pense depuis longtemps – vous le savez – qu’il faut savoir arrêter. Il y aura toujours des personnes pour vous dire que vos mots et votre analyse sont devenus indispensables. Et ils le sont. Mais au dessus de tout cela il y a la vie qui file – et Tichà 😉

  7. Bonjour Fabrice,

    Je viens 4 à 5 fois par semaine sur Planète sans visa, depuis 1 an 1/2, après la lecture de tes livres (Bidoche, La faim, Pesticides…).
    Je comprends que ce travail si prenant depuis 5 ans 1/2 soit pesant, mais pour moi c’est une fenêtre ouverte sur la planète.
    A chaque lecture, je m’informe sur des sujets passionnants : c’est l’occasion de les approfondir ensuite sur Internet ou dans des livres, voire d’aller manifester contre le projet d’aéroport…
    Donc, mille fois oui, CONTINUE!!!!
    Nous sommes 4 000 à penser comme ça et les petits ruisseaux font les grandes rivières.

  8. Oui Fabrice,Il faut que tu continues !
    Tu nous secoues, tu nous interpelles, tu nous montres le chemin où il fera bon

  9. Cher Fabrice, moi ca me manquera, Planete sans visa fait partie des 5 ou 6 sites web que je consulte quotidiennement. J’y ai decouvert pas mal d’autres sites, et appris beaucoup de choses. Je suis un peu etonne que tu veuilles arreter, et que en meme temps tu continues d’ecrire sur le site a un rythme impressionant! Mais chacun est avant tout responsable de l’etablissement de ses priorites. S’il y a des choses que tu consideres plus importantes ou plus urgentes et que ton temps ne te permet pas de rendre justice a tout, alors choisis sans regretter! Meme si certains (dont moi) regretterons surement, je ne voudrais surtout pas t’inciter a diluer ton action ou a diminuer l’efficacite de ce que tu consideres important!

  10. Oui, Fabrice, il est important et utile que tu continues. Pour un autre regard, une autre voix. Lucides, sans complaisance, d’un homme qui reste plein d’humanité et de modestie.
    Maintenant, il faut garder et l’envie de regarder ce monde-là en face, quotidiennement, sans désespérer de l’homme.

  11. Cher Fabrice,
    Non, n’arrêtez pas ! Au risque de passer pour des groupies, et puisque vous nous le demandez : non, non, non et non ! Vous êtes un bol d’air quotidien. Sans vous, nous ignorerions trop de faits capitaux. Nous ne saurions pas toujours où chercher. Nous n’aurions pas acheté certains journaux (le Charlie Hebdo sur le nucléaire), d’ailleurs nous serions toujours fâchés avec certains organes de presse (Charlie Hebdo, puisqu’on en parle!).
    Le soir nous nous demandons parfois « Tu as lu l’article de Fabrice ? Il est trop fort… »
    Eh oui, nous vous appelons par votre petit nom, et une fois nous vous avons même vu en vrai, à une présentation de Bidoche, et cette rencontre nous a marqués. Bref: à votre insu, mais toujours avec un immense respect, vous faites partie de notre quotidien
    Il n’est pas encore temps d’arrêter.
    Au plaisir de vous lire et de vous soutenir,
    Anaïs et Raoul

  12. Arrêter ? Tu n’y penses pas ! Tu es l’aiguillon qui nous bouge et nous aide à rester debout, celui qui nous aide à faire le tour d’un problème pour le comprendre et le prendre à bras le corps.
    Sans illusion, sans mensonge, sans désespoir non plus et ça, c’est la base de tout.
    Alors t’as pas intérêt à partir d’ici Nicolino !
    On compte sur toi, repose-toi bien quelques jours en ce beau printemps forcément un peu triste et à la fois sublime et joyeux !
    Et reviens nous, même avec une seule note pas semaine si tu veux, mais ne laisse pas tomber.
    A bientôt.
    Tiens… tu as lu ça :
    http://www.ferus.fr/actualite/consultation-plan-national-loup-de-la-poudre-aux-yeux

  13. continuez, svp
    je n’ai pas la télé, je n’écoute pas la radio, je ne lis pas les journaux.
    les seules informations, autres que celles qui me préoccupent (celles du monde animal non humain), je viens les chercher ici. je ne suis pas douée pour vous exprimer tout ce que vous m’apportez, je peux juste vous remercier.

    catt et toujours go vegan 😉

  14. Bonjour Fabrice,

    je suis un lecteur régulier de Planète sans visa depuis environ 6 mois (et lecteurs depuis plusieurs années).

    Je lis avec plaisir chacun de tes articles, principalement parce que j’apprécie ta volonté d’aller au fond des choses, de ne pas t’arrêter à la partie émergée de l’iceberg, au story-telling. C’est finalement quelque chose que l’on voit assez rarement, voire pas du tout, dans les médias grand public, qui traitent généralement les sujets de façon beaucoup plus superficielle.

    J’aime également le fait de pouvoir lire des articles longs, fouillés, pas encombrés d’images. Ras-le-bol de ces textes calibrés à 500 mots, avec des images et des titres accrocheurs qui n’apportent rien à la compréhension. Au moins, ici, on est tranquille, pas interrompus dans sa lecture par de l’inutile, bref, on peut se concentrer.

    J’espère que tu continueras, même si c’est à un rythme moins soutenu.

    Au passage, j’en profite pour te signaler que je suis ton blog grâce au flux RSS (je lis les articles dans mon agrégateur de flux, et pas directement sur le site). Si tes statistiques ne prennent pas en compte les flux RSS, il est possible que tu aies plus de lecteurs que ça.

    Bonnes vacances !

  15. Les pauses sont toujours nécessaires car réparatrices. Perso, je serais désolé que vous arrêtiez d’alimenter ce blog car vos articles et les commentaires (même ceux qui me gonflent sur le moment!) m’aident à penser.

  16. Coucou,

    « PS : Je serais heureux d’avoir votre avis sur Planète sans visa. Ce que ce rendez-vous apporte selon vous. »

    Ahaaaa … si vous saviez! Cher professeur, je n’ai jamais autant appris, qu’avec vous. 🙂 Ainsi que toutes celles et ceux qui y laisse des commentaires, et les autres blogs amis. Merci.

    « Il m’arrive, je vous l’avoue sans fard, d’avoir envie d’arrêter. Cinq ans et demi au compteur, quelque chose comme 1 400 articles exclusifs d’autres lieux, cela commence à faire. Sans coquetterie excessive, dois-je continuer ? Je n’en sais rien. Vous êtes, d’après le compteur interne, entre 4 000 et 4 700 visiteurs uniques quotidiens. »

    « Mon » cher Fabrizio, vous avez 4 solutions.

    1) Vous continuez a informer, dégommer, dénoncer tout ce qui ne colle pas, mais vous aller vous retrouver en cabane, ou noyé dans votre douche …

    2) Vous vous retirez, et rendez 4000, voir plus, personnes très malheureuses de ne plus pouvoir vous lire.

    3) Jouer a pile ou face. Y’a pas de hasard!

    4) Suivez les cygnes.

    :)))

    Sérieux. « Mon » Fabrice, vous êtes le meilleur! Mais surtout, (je me permet) ne prenez pas de décision en fonction des différents commentaires suite a votre petit mot. Il n’y a que vous qui puissiez savoir, et prendre la juste résolution.

    Quoi que vous fassiez, ce sera votre choix, et il devra être accepté par tous et toutes. Point barre!

    Prenez bien soin de vous, et n’oublier pas que quelque part, il y a des humains qui vous aime très fort.

    Cœurdialement,

  17. Cher Fabrice,
    Arrêter Planète sans visa ?! Tu n’y penses tout de même pas sérieusement !
    On trouve quantité de choses intéressantes sur Internet, mais il est impossible de tout lire, il faut faire des choix. Planète sans visa fait partie des incontournables, un rendez-vous à ne pas manquer. Dans ce monde où chacun cherche à tromper l’autre, on sait que rien ni personne ne t’empêchera d’écrire la vérité (et de quelle façon !). Et ça c’est génial.
    Non seulement il y a de vraies informations et une réflexion tellement juste sur des sujets qui me touchent particulièrement, la nature, les animaux, mais un tas de choses en plus : poésie, humour, indignation, irrévérence, …, un cocktail détonnant et une touche irrésistible. Il n’y a rien de pareil ailleurs. Même si les sujets sont souvent peu réjouissants, ça donne la pêche !
    Lire un de tes textes, c’est le moment privilégié de la journée. S’il te plaît ne nous en prive pas ! Ce serait comme de perdre un ami très cher et laisserait un vide insupportable ! Je suis persuadée que des milliers de lecteurs pensent comme moi, et qu’il y a beaucoup « d’accros » parmi nous.
    Je viens de me procurer et de feuilleter le dernier hors-série de Charlie, Bon appétit ! Visiblement de la belle ouvrage. Et tout un programme ! J’ai hâte de m’y plonger ! Cela a dû être épuisant et explique certainement ce qui ne peut être qu’un petit coup de blues ?
    Fabrice, ne nous abandonne pas dans ce monde de bruts.
    Excellentes vacances, bon repos et à tantôt !
    Bises du grand nord.
    Bételgeuse

  18. Fabrice,
    Tes articles, ton blog, sont un lieu où je me rends quotidiennement, source d’information partisane, certes, mais fruit d’une vraie recherche et dont je partage bien des avis. Où ailleurs, pourrions-nous trouver ces informations, les diffuser, les partager ? Il y a bien d’autres sites alternatifs, c’est également vrai, mais il y a un ‘infatigable charisme’ à parcourir tes lignes. Prendre du recul, pourquoi pas, arrêter ferait de nous des orphelins (!!).
    Bien à toi, bon repos, plus que mérité !
    Éric

  19. Bonjour Fabrice
    Il est fréquent que la lecture de Planète sans visa me foute le moral dans le fond des godasses (en plus, j’ai une prédisposition) mais au moins quand je lis tes INFORMATIONS je sais que tu as vérifié, que tu as fait un vrai travail de journaliste.
    Le monde va très très mal et tu le dis, tu le prouves. Cela doit te demander beaucoup d’énergie, d’autant qu’il ne se passe rien, pas une révolution en vue, personne pour foutre ce monde cul par dessus tête.
    Comment pourrons nous nous justifier quand nos petits enfants nous demanderons, les yeux dans les yeux  » Pourquoi tu n’as rien fait alors que tu savais. »
    Je comprend bien que tu souhaites arrêter, fais comme tu veux, mais saches que tu me manqueras.
    Très cordialement
    J.G

  20. Un profond « merci », Fabrice, pour tout ce travail. D’une écriture qui ne dépare pas un fond d’une extrême exigence. Une rare leçon de journalisme, une sensibilité partagée, une conscience d’Homme.
    Qui souvent inspire des commentaires de haute tenue.

  21. Bonjour,

    Lecteur depuis peu grâce à un lien de Superno, je me permets de réagir à votre requête quant au fait de poursuivre votre blog et selon, la réponse est sans appel, continuez.

    Grâce à vous, je peux découvrir des sujets d’actualité que l’on ne retrouve pas forcément ailleurs (pour ne pas dire qu’on ne les retrouve nul part en fait) et qui pourtant sont d’une extrême importance (je pense aux gaz de schistes, à la biologie de synthèse, etc.)

    Bonne continuation, quel que soit votre choix en tous cas.

  22. C’est votre article que je lis en premier dans Charlie Hebdo avec le billet de Pelloux. C’est Planète sans visa que je recherche en premier quasiment chaque jour. A l’aune de vos livres vos analyses sont indispensables même si l’astreinte est lourde. Surtout, ne renoncez pas. Très amicalement.

  23. Fabrice,
    je sais toutes les contraintes qu’apportent la tenue d’un blog. Je ne peux que vous félicitez pour votre travail et vous encouragez à continuer. Vous pouvez sans problème alimenter votre blog qu’un jour sur deux, faire des pauses, d’autant que vous nous prévenez. On vous en remercie.

  24. Cher Fabrice,

    Fidèle lecteur depuis quelque temps, après lecture d’un de vos ouvrages (et après une googlelisation -c’est Larousse qui va être content- qui m’amènera vers ici), j’ignore si je suis dans les statistiques, étant abonné RSS. Qu’à cela ne tienne : je suis le 4701_ième !
    Je ne prends pas le temps de commenter les nombreux articles sur lesquels je pourrais réagir. Je sais : c’est mal.

    Il y a une quinzaine d’années, alors scolarisé dans une magnifique prépa de province, j’ai fini par me demander ce que je faisais là. Certes, me bourrer le crâne à fortes doses de « vous êtes l’élite de la France » n’était pas la solution. D’autant que je ne me sens pas l’âme d’une quelconque élite (en même temps, si je fais -ou ai fait- partie de l’élite de la France, je comprends mieux pourquoi tout part en sucette).
    Bref, je voulais me sentir utile et aider cette pauvre planète, où tout partait en sucette (décidément) ou à vau-l’eau (voir plus bas). Et c’est ainsi que depuis 15 ans, l’environnement est mon (pain) quotidien professionnel. Plus particulièrement l’eau et les rivières.
    Vaste programme, mais franchement aujourd’hui, je me demande à quoi ça rime. L’écologie des rivières ? On s’en fout, alors qu’il y a encore un siècle, les rivières et étangs nourrissaient une bonne partie de la population. La directive sur l’Eau est une vaste fumisterie, en France en tout cas (y’aurait même matière à faire plusieurs articles, peut-être même un bouquin). Les PCB ? Ah tiens, c’est important, car on peut les ingurgiter (ça fait 10 ans que j’en parle dans mes rapports, mais jusqu’à présent, ce n’était que des micropolluants parmi tant d’autres). Le reste ? Pas mieux ?
    D’une manière plus générale, j’ai pas souvent l’impression qu’on a vraiment avancé en 40 ans. Les rivières sont de ce point de vue assez représentatif : les premières actions d’envergure datent de 1964. L’excuse classique « vous comprenez, on n’a pas eu le temps » a t’elle sa place ? Pourquoi la situation ne s’est-elle pas améliorée ?

    Pas mieux pour les autres domaines de l’environnement.

    L’environnement et le développement durable sont entrés dans nos quotidiens. Mais ? Ben quoi, mais ? On en parle, c’est déjà bien.
    J’aime à dire que si on installait des éoliennes devant tous ceux qui parlent de développement durable, on résoudrait la crise énergétique !
    On a le recul. On a des connaissances. On sait l’urgence. On a matière à anticiper. On a la capacité financière (mais si ! mais si ! en cherchant bien. Et en étant un poil malin et intelligent. Heu… Bon d’accord, j’ai rien dit : on n’a pas les sous). Mais, a t’on vraiment envie de changer ? Bof, on verra ça demain. Si on a le temps.

    Bon bref, tout ça pour dire (c’est y que j’me serais égaré ?) que l’action directe (non non je ne suis pas un écowarrior) me semblait la solution la plus efficace. Finalement, comme je n’aime pas simuler (Moi : « Oh oui ! Je sauve l’environnement ! Oh oui ! » Dame Nature : « j’ai rien senti »), je crois bien que des lanceurs d’alerte (ce que vous êtes, non ?) sont non seulement utiles, mais fondamentaux.
    Certes, de nombreuses associations existent et essaient de meubler l’espace médiatique. Mais 1) le discours est toujours le même, quelle que soit l’asso (j’exagère à peine); 2) on se complait dans le « contre » ou dans le pour-plat (le pour-plat est à l’argumentaire ce que la Beauce est au relief : fade) ; 3) on ne réfléchit pas ; 4) l’argumentaire est peu poussé (là où vous creusez, d’autres restent creux) ; on s’autocongratule, et surtout on ne se critique pas entre nous.

    Donc, continuez s’il vous plait (ça ne se voit pas, mais je suis à genou. Ce qui, convenons-en, est fort peu commode pour taper ce message) !
    Blagues à part (de retour sur ma chaise), vous avez une approche de la protection de l’environnement qui, même si je ne partage pas toutes vos prises de position, a le mérite d’être honnête et indépendante.

    Oserai-je un « si vous avez besoin d’un coup de main » ?

    J’aurais encore moult revendications/critiques/remarques, mais comme vous êtes absents, je ne vais pas monopoliser votre temps de lecture !

    Bien cordialement et bonne continuation,
    Romain Moreau

    PS : ce message n’a pas forcément vocation à être publié sur le blog !

  25. La seule personne qui peut le dire c est toi.
    mis à part ça personnellement Planète sans Visa m apporte des infos qui sont introvables ailleur et aussi c est une sorte de soutient important de savoir que l on est pas seul au monde à avoir des convictions décalées par rapport à la majorité des gens.
    La première chose que je fais en ouvrant internet c est d aller voir les news sur planète sans visa, donc faut continuer …..

  26. Cher Fabrice,
    Ton blog m’est très précieux et il enrichit culturellement sur des sujets divers par la qualité de ses articles.

    Cela dit, je regrette un petit peu, au bout de cinq ans que la critique portée ici semble se limiter aux critiques nécessaires et salutaires, de la classe politique, de la société industrielle et ses dégâts, des stalinismes et des associations de grosse taille.

    L’angle de tir n’a presque jamais pointé le nerf de la société capitaliste à mon sens – qui n’est pas l’industrie, celle-ci est une conséquence – : mais le Travail.

    Une ou deux petites égratignures quand même il me semble dans un ou deux articles sur la retraite mais jamais le travail tel qu’il est sous le capitalisme, c’est-à-dire abstrait : sa valeur est le temps passé à produire des marchandises. Une simple dépense d’énergie, de muscle, de cerveau.

    C’est pourtant bien ce travail abstrait et ses produits, les marchandises -biens et services – qui en sont les supports qui structurent la vie et créent une forme de socialisation inédite dans laquelle l’activité productive n’est perçue par les travailleurs que sous l’aspect objectivé de la forme marchande.
    De plus une force de domination indirecte et impersonnelle que nos milliards d’actions collectives de travail actualisent, nous contraint à se plier inconsciemment à ce fétichisme.

    J’ai suffisamment écrit dans mes commentaires d’avant sur ce sujet – critique de la valeur – et présenté les bulletins Sortir de l’économie pour ne pas recommencer mais je voudrais conseiller ce texte :

    LA marchandise cette inconnue

    et cette conférence :

    Peut-on s’émanciper du fétichisme de la marchandise

    Bien à toi. Bon repos ou techno-jeûne.

  27. Bonjour Fabrice,

    J’ai fait votre connaissance à travers la lecture de votre livre Qui a tué l’écologie et ensuite j’ai trouvé votre site et depuis j’y vais presque chaque jour.
    Quelle question ? Bien que je puisse comprendre que cela demande énormément d’énergie et d’efforts, c’est oeuvre de salubrité publique que vous faites.

    Surtout, s’il vous plait ne baissez pas les bras, nous avons trop besoin de gens comme vous.

    Entre temps reposez-vous bien

    Eléna

  28. Ce serait dommage d’arrêter Fabrice, j’aime pouvoir te visiter de temps en temps. Certes avec modération car l’ensemble demeure souvent assez plombant….tendance killer.
    Je sais que les perspectives collectives ne sont pas bien rassurantes!
    En toute amitié.
    Janpier Lann

  29. Bonjour,
    Je peux comprendre votre lassitude mais vous n’avez pas le droit d’arrêter. Pour une fois qu’une voix écolo indépendante s’élève hors des « tristes » partis politiques qui se veulent écolo…

  30. Salut Fabrice,

    Pour moi il est évident qu’il faut que tu continues ! Tu ratisses large, sans langue de bois et tu vas loin dans tes démonstration. De surcroît avec style ! Je ne suis pas sûr de pouvoir trouver ça autre part sur la toile. Peut être ça existe, mais je ne connais pas.
    Aussi, il faut que tu te reprennes et que Planète continue de vivre. Même si on est est pas tout le temps d’accord, et c’est tant mieux, tu fais avancer le Schmilblick en nous évitant de tourner en rond ! Soit sympa, donnes toi du mal et continue…

    Peace,

    Irénée

  31. Mon avis sur Planète sans Visa tient en un seul mot: INDISPENSABLE.

    Personne d’autre que toi ne fait ce que tu fais. Ce que je préfère, bien sûr, ce sont tes enquêtes qui remontent très loin dans le temps et aussi dans l’espace. Je me demande toujours comment tu fais pour savoir tout ça, et pour le retrouver, le cas échéant, des années après, pour pister un mec qui change X fois de casquette.

    Et je rajoute un autre mot en conclusion: MERCI.

  32. Bonjour,

    juste un petit mot pour répondre à votre question. Pour ce qui me concerne, je ne suis pas une lectrice quotidienne mais les articles que je trouve sur Planète sans visa sont documentés et intéressants. Je regretterais que vous arrêtiez.
    Bon courage et merci.

    AF Roger

  33. Bonsoir,
    Je n’ai jamais écrit aucun commentaire dans planete sans visa, mais je regarde le site tous les jours et lis tous les articles. J’ai aussi lu deux des 3 livres. Oui, il faut continuer, car ces articles, souvent durs à avaler, permettent d’y voir plus clair et de ne pas s’endormir sur ce monde de plus en plus pourri par ceux qui n’hésitent pas à écraser n’importe qui au nom du fric. Merci encore et courage. Mline

  34. Bonjour à vous,
    vous demandez notre avis ? OK, il peut tenir en 2 mots tout simplement :
    « merci » et « continuez ! »
    C’est tout.
    Vous êtes un des seuls à faire du vrai journalisme d’investigation et à délivrer une information libre par le biais de votre blog. J’ai bien conscience du travail que cela vous demande (je veux dire par là que mon petit blog tient du gentil hobby à côté du vôtre qui d’ailleurs nourrit souvent le mien…).
    Et puis quand on a entre 4000 et 4700 visiteurs par jours, la question ne devrait même pas être posée !
    Encore merci à vous. Au plaisir de vous lire sur votre blog !
    Patrick Pique

  35. Cher Fabrice,
    Un jour, j’ai rencontré Planète sans visa. Je ne sais plus très bien comment, ni quand, ni quel article.
    Je me souviens par contre d’une intuition très claire, dés les premières lignes : celle d’être en grande complicité avec une pensée et la manière de l’exprimer. Et c’est rare. Tellement rare que lorsque ça arrive, c’est fulgurant. Le doute est impossible. Evidemment, vous connaissez ce sentiment d’être seul si souvent, de comprendre dés les premiers mots que non, décidemment, un gouffre nous sépare de celui ou de celle qui pourtant nous est proche par certains côtés. Alors forcément, une rencontre de pensées et d’âmes, ça irradie et ça peut même laisser sans voix.

    J’y ai trouvé des surcroits d’arguments, de lucidité, de connaissances.
    Mais pas seulement.
    Je crois aussi avoir été gagné par une forme de réconfort. C’est très étrange, d’ailleurs, puisque ce qui s’y dit nous met face au peu d’avenir de notre monde. Ce réconfort provient sans doute d’une impression d’être compris et de comprendre, de percevoir dans les mots de l’autre la part essentiel de soi-même. J’ai l’impression qu’écrire à vos côtés m’a donné des ardeurs pour être plus incisif, pour oser. Pour progresser dans ma propre réflexion.
    Et, je l’avoue, le blog m’a aidé à m’engager. Ce qui s’est exprimé au sujet de Notre-Dame-des-Landes, par exemple, m’a poussé à sortir de ma tanière, à interpeler les élus de ma commune… Je suis un solitaire qui a besoin des autres, de temps en temps. Le blog a été un soutien et un encouragement. Je sais ne pas être seul à avoir été ainsi stimulé, en toute liberté, bien sûr. C’est une victoire immense.
    Planète sans visa, ce sont aussi de belles surprises humaines, des mots et parfois des chemins qui se croisent. L’inattendu, les désaccords, la grande proximité qui nous fait avancer. La vie.
    Et j’en oublie. J’ai commencé à lire les articles et les commentaires écrits depuis les débuts de cette aventure. C’est une mine.

    J’imagine le temps et l’énergie qu’il faut déployer pour faire vivre cet espace. Je comprends que l’on puisse vouloir arrêter. Le temps qui manque, les doutes, le besoin de passer à une autre étape de la vie…
    Que vous dire ? Que ça laissera un vide ? Vous le savez. L’essentiel est sans doute d’accomplir ce qui est juste.
    Un lien s’est créé. Il restera. Et qui vivra verra.
    Je vous envoie tous mes mercis, quelle que soit votre décision, continuer ou arrêter. Merci aussi à celles et à ceux qui y sont allés de leurs commentaires.
    Nous n’en avons pas fini d’écrire, de dire. Les mots sont fondateurs. Le combat est à mener aussi sur ce terrain-là.
    Je souhaite à chacun, à chacune, un printemps qui soit un jaillissement, une naissance. On dirait que les arbres rattrapent le temps perdu par cet hiver à n’en plus finir. Soyons pareils aux arbres. Soyons l’herbe folle de la vie.

  36. Hello Fabrice,

    tu arrêterai comme ça un « fil » d’une autre vérité ?
    je ne suis pas d’accord !
    Vous (journalistes) êtes beaucoup trop rare dans ton genre poil à gratter !!!

    longue vie à Planète sans Visa !!!

  37. Mon avis sur Planète sans Visa? un blog génial, un contre-poids nécessaire aux médias classiques, pour nous instruire, nous informer, nous alerter, nous rendre conscient.

    Je comprends que, après presque 6 ans, tu en aies un peu marre, et, même si ce serait une grosse perte, je t’invite à suivre tes sentiments.

    D’un autre côté, j’espère que tu continueras d’écrire des livre.

    Merci Fabrice.

    greg

  38. Bonjour,

    ben.. non, c’est pas une bonne idée de ne plus être présent sur ce blog :
    – d’abord c’est une très bonne archive des articles de Charlie Hebdo,
    – puis ce blog est en haut de mon onglet « perso » sur netvibe,
    – enfin, je ne vois pas bcp de lanceurs d’alertes un brin fanfaron comme vous, donc, continuez, parlez nous de ce qui vous intéresse, il y a du public qui se réveille grâce à vous

    bien à vous

  39. bonnes vacances !
    en réponse à ta question : ton blog m’oxygène ! autant par le fond que par la forme, par les infos (que je n’entends nulle part ailleurs) que par ton système de valeurs, qui transparaît à chaque ligne, avec lequel je suis en affinité
    je n’ai pas le courage de lire Charlie H, c’est trop rude pour moi, je ne peux pas lire non plus le Canard E, ça ne me fait pas rire, ça me désespère de la nature humaine! et le sarcasme me déglingue ..
    mais tes billets c’est la dose que je peux supporter, d’intelligence, de connaissances, et d’humour, avec l’amour pour la Vie et la nature …
    mon message est clair ? continue STP
    bien à toi
    Anne G.

  40. non, s’il vous plait, n’arrétez pas; vous êtes une source d’informations, d’érudition ô combien importante, bienfaisante, salutaire! j’apprécie particulièrement vos positions intransigeantes, toujours en faveur de la protection de notre Mère à tous et de ses habitants, humains ou pas; malgré mon pessimisme, j’espère encore que votre renommée, votre droiture, votre écriture, vos indignations atteindront les quelques consciences ayant quelque « pouvoir » pour essayer d’inverser le cours de la catastrophe dans laquelle nous sommes engagés, par notre ignorance, nos négligences endormies dans le confort, notre aveuglement des manipulations au nom du dieu « argent ». Merci d’être; merci de nous éclairer et de si belle manière. Quel que soit votre choix, je vous souhaite longue vie, conforme à vos espoirs et en bonne santé
    PS : suis très étonnée de ne pas déjà lire de commentaire?????

  41. Bonjour Fabrice
    depuis de nombreux mois, je fais parti des lecteurs assidus mais silencieux ; si je prends le clavier aujourd’hui, c’est en espérant que mon message vous encouragera à continuer, malgré la lassitude qui peut légitimement être la vôtre.
    Planète sans visa est ma bouffée d’oxygène nécessaire, indispensable ; j’y lis vos articles et bien souvent les commentaires ; pas toujours, pas tout ; mais votre blog est un de ceux (rares) qui m’ont ouvert l’esprit sur une autre approche des problèmes environnementaux et humains dont souffre notre planète.
    Je ne réagis pas directement sur le blog, mais à ma façon, je diffuse de façon ciblée les liens de vos articles vers des amis, des proches, etc, espérant ainsi bien modestement faire œuvre utile de partage.
    Alors j’espère que nous serons de nombreux silencieux à vous manifester au moins une fois notre soutien et nos remerciements !

    écologiquement

    Leon

  42. Continuer ? C’est vous qui voyez. Sachez seulement que vos articles, vos critiques, vos positions, etc. sont souvent très intéressants, qu’ils sont une pierre ajoutée à l’édifice de la construction intellectuelle non convenue de la presse soumise et révérencieuse… L’édifice ne tombera pas si vous arrêtez, il sera juste un peu moins solide.
    Bonne journée

  43. Fabrice,

    Tout en n’étant pas toujours d’accord sur le radicalisme de vos propos, votre blog fait partie des rares que je consulte régulièrement.

    Votre manière d’écrire apporte déjà un grand plaisir de lecture.

    Ensuite, votre expérience et votre implication dans la « lutte » (…) nous apporte des informations de première main. ce que je trouve ici s’apparente à du journalisme d’investigation ou de terrain, à l’image de vos livres, et c’est une denrée rare, il me semble.

    Ayant aussi un blog, je comprend cet épuisement à maintenir un tel site d’informations. Mais quand je vois le nombre de réactions que suscite chaque article de votre blog, ça me laisse rêveur…

    Ce que je trouve important à un blog, c’est d’y trouver des textes qui ne sont pas des compilations d’actualités trouvés ailleurs, mais bien un regard original sur ce qui se passe, et Planète sans visa répond parfaitement cette demande.

    Donc, oui, il faut continuer…

  44. Salut Fabrice,
    Je te lis régulièrement, te cite souvent et me permets de diffuser certains de tes textes auprès de ceux qui me sont chers et méritent selon moi de recevoir ces informations qui aiguisent nos pensée, la mienne et les leurs. Je me reconnais désormais comme u nécologiste radical (la racine) et te suis reconnnaissant d’avoir aidé à ma construction politique.
    Je serais heureux que tu poursuives ton travail même si je comprendrais que tu ne puisses en faire toujours autant. Peut-être une périodicité différente, toutes les semaines, tous les quize jours… Mais une présence constante. Merci.
    Régis Pasquet

  45. J’aime beaucoup vos billets, dont certains sont très instructifs. D’autres pourtant semblent se concentrent sur des problématiques qui m’intéressent moins, mais cela reste très intéressant. Je lis parallèlement votre livre « Bidoche », qui est enrichissant et bien écrit…
    En tous les cas, je vous invite à continuer votre blog, car il est un des rares à aborder les vrais problèmes qui nous touchent

  46. Bonjour cher Fabrice. J‘écris “cher“ sans vouloir être familier mais c‘est pour vous dire que vous l‘êtes à mes yeux car vous m‘avez fait ouvrir les yeux et prendre conscience de la réalité dû monde. Quelque soit le médium utilisé et la fréquence de vos articles, en espérant que vous ecrirez toujours, je serais heureux de pouvoir vous lire. Très cordialement. Jérôme, enseignant de physique en collège.

  47. et où va t’on trouver ce point de vue décalé? ces informations qui n’apparaissent nulle part ailleurs ? ces commentaires vibrants de lecteurs qui sont comme des amis invisibles ? c’est toi qui voit … en tout cas merci pour tout ce que tu nous a donné jusque là ! bises du Vercors.

  48. Personnellement, je vote pour un encouragement à continuer. Les lieux d’information où on peut lire, entendre autre chose que la propagande des médias, des experts patentés, « indépendants » sont si rares. A titre personnel, j’anime un modeste blog depuis 3 ans et il m’arrive de le laisser de côté pendant quelques temps et de m’y remettre à l’occasion.
    Cordialement.

  49. Fabrice,

    Bonne vacances d’abord. Repose-toi bien. Pour ce qui est de ton blog, il est bien évident que tu fais comme tu veux.

    Maintenant, de mon point de vue, hé bien… je trouve ça triste de me dire que je ne pourrais plus lire tes textes. Même s’ils sont parfois un peu déprimants, ils constituent une source d’information incroyable, qui m’a notamment fait prendre conscience de la gravité de la crise écologique.

    Si tu doutes de l’efficacité de ton blog, il faut que tu te dises que, grâce à toi, des tas de gens sont informés, et des mouvements peuvent s’organiser. J’ai « partagé » de nombreuses fois tes articles sur Facebook, et à chaque fois, les réactions indignées de mes contacts face aux exactions que tu dénonces ne me laissent pas de doute : des blogs comme le tien sont d’utilité public, voilà.

    Ceci dit, bonne continuation.

  50. Fabrice, qu’ajouter à ce déluge de compliments et de réactions qui t’invitent à continuer ou plutôt t’y enjoignent ? Je suis d’avis, pour ce qui me concerne, que tu agisses comme bon te semble.

    A Lionel, je vous fais passer le lien d’une conférence débat qui devrait vous intéresser:

    http://www.pauljorion.com/blog/?p=51912

  51. Bonjour Fabrice,

    Je lis toujours tes articles. Souvent agacée, car je n’ai plus vraiment « la foi » , ce qui n’a au fond aucune importance . Je te dirai bien de faire comme tu le souhaites, mais je ne suis ni le dernier des ours pyrénéen, ni le dernier Orang_Outang libre . tes articles ne sont plus seulement , et depuis longtemps, de l’alerte, ils sont « Des mémoires » . Ils racontent l’histoire d’une nature en peau de chagrin , celle de la

  52. (part 2) celle de la Terre , celle que je raconte encore à des enfants qui ne la connaissaient pas et qui la découvrent à travers tes récits, celle que tu nommes sauvage . A celle-là, que lui dis-tu ? Tu continues ? Ca t’appartient , non ?
    Bises

  53. Salut fabrice,

    3 ans que je me tartine tout tes articles une fois par semaine. Même que ça me fout le bourdon, ou la rage c’est selon.
    On en trouve peu des journalistes qui prennent le temps de travailler avant d’écrire sur internet.
    Mais si tu t’arrêtes parce qu’indigestion d’internet.
    Et bein,

    Vamos!!!

    ça changera rien on gardera la rage.

  54. Fabrice,

    C´est à vous seul qu´il appartient de décider d´arrêter vos articles ou de les continuer. Ou de faire une pause, de prendre du recul. Personnellement, je ne me permettrai pas de vous donner un conseil dans un sens ou dans un autre, encore moins l´ordre péremptoire de poursuivre votre travail.
    Que je ne sois pas toujours d´accord avec le ton ou le contenu (ou les deux 🙂 ) de vos articles ne change rien à l´opinion que j´ai pu me faire de leur qualité : celle d´un excellent journalisme d´investigation (je me répète, pardon :-)!).

  55. Je vais reprendre ce qu’a dit René, mais je rajouterai le blog est indispensable pour l’information.
    Si tu es moins présent sur le blog, je ne vais pas te jeter la pierre, moi même, je ne vais que 2 à 3 fois par semaine sur internet.

  56. bonjour,

    ce que je viens chercher ici?

    votre intransigeance

    vos analyses ont du punch et ça fait du bien

    en espérant vous relire.. ici ou ailleurs

    au plaisir donc et merci’

  57. T’es mégalo Fabrice, tu veux te faire mousser en imaginant la fausse mort de « planète sans visa » pour recevoir des hommages funèbres… tu veux entendre des: « j’adore vraiment », « je t’aime », « oh oui ENCORE!!! » alors que tu sais que ce ne sont que des foutaises, un truc que tu as imaginé pour nous faire peur…
    Mais on ne te crois pas, c’est juste une petite farce pour nous tenir en haleine tandis que tu auras les pieds en éventail sur un yacht privé aux Bahamas en sirotant un lait fraise entre 2 sessions de pêche à la dynamite.
    désolé, ton poisson d’avril a été découvert…
    En attendant, reviens-nous en forme pour nous faire encore rire!

  58. Fabrice,

    tu sais que je sais que c’est dur de passer a autre chose..cela ne veut pas dire que l ‘on renie…mais parfois nous n ‘avons pas d’autre choix…tu es probablement a cette croisée des chemins et j ‘espère qu ‘il n’y a la que de la lassitude…ce blog indispensable est réussi…mais pour en être sur, il faudra voir combien en seront les enfants et en reprendront la lutte.
    bien a toi

  59. «La sagesse est de voir le nouveau dans l’ordinaire, en s’accommodant du monde tel qu’il est. Il y a des trésors cachés dans l’instant présent.»

  60. Que dire. On peut comprendre la lassitude. Ou l’envie de faire autre chose ou de le faire autrement. La décision t’appartient et quelle qu’elle soit, elle sera respectable. Mais cela fera vraiment un grand vide si Planète sans visa disparaît. En plus d’une rédaction plaisante, les informations que ce site apporte sont uniques, non qu’elles soient impossibles à trouver ailleurs, encore que…, mais elles sont vérifiées, documentées et bien synthétisées. Bref, un vrai travail de vrai journalisme sur des sujets essentiels que beaucoup voudraient taire.

    Alors, oui, si tu arrêtes, cela nous manquera mais ce qui a été fait n’aura pas été vain, loin de là. Tu as rendu tes lecteurs plus cultivés, plus ouverts, plus critiques, plus sensibles à la terre, au monde, à la nature, aux humains. C’est loin d’être négligeable et quelque soit ta décision, merci pour ce que tu as déjà fait et pour ce que tu feras encore, ici ou ailleurs.

  61. Je suis un de vos nouveaux lecteurs, j’ai découvert vôtre blog en cherchant des infos en rapport avec l’écologie.
    J’y ai découvert aussi si on peut dire, un vrai travail de journaliste, ce qui n’est plus vraiment courant en ces temps de pensées uniques.
    Je comprends, que vous soyez un peu découragé parfois. Moi-même, je me suis fixé des engagements pour la planète, l’ecoeurement, le dégoût et le découragement sont souvent là, mais j’essaye de faire ma part et chaque jour, j’en sors un peu plus libre. Aussi, j’espère que vous ne lâcherez rien, éveiller les consciences est un vrai devoir civique et je vous remercie de faire aussi bien votre devoir. Bon courage !

  62. Nous sommes frères, sans nous connaître. De la même mère naître une seconde fois, par choix, par conviction, par amour, par souffrance, partage!

    Sous quelle forme? forme de vie, la vie s’est offert le genre humain.

    Dans quelle direction? L’émancipation collective, toute laborieuse qu’elle soit.

    Quelle heure est-il? C’est l’heure de vivre. C’est l’heure de montrer l’exemple. L’authentique voyage de P.Nizan est la marche vers les hommes.
    A chacun sa méthode… et il est bon de varier

    Merci pour votre engagement,
    fraternellement
    Y

  63. Quelle surprise en ouvrant ce blog ce matin :
    Fabrice vous parlez de raccrocher votre plume ?
    Je ne peux que vous supplier de continuer.
    Comprenant que ce blog puisse vous prendre une
    bonne partie de votre temps, dans ce cas ne vaudrait il pas mieux réfréner nos attentes en espassant les rendez vous ? Mais je vous en
    conjure CONTINUEZ !!!
    Vous êtes un des rare à apporter cette information
    ô combien pertinente et ainsi à participer à
    « l’éveil des consciences » comme le dirait fort
    justement votre ami Pierre Rabhi, plutôt qu’à
    « l’endormissement des cons » par des moyens médiatiques qui ne manquent pas.
    Alors je vais me répéter Fabrice S.V.P.
    CONTINUEZ,CONTINUEZ,CONTINUEZ…
    A bientôt
    Phil

  64. Bonjour Fabrice,

    cela fait de nombreuses années que je lit les articles de votre blog même si cette lecture a été plus faible ces derniers temps et détiens 2 de vos livres (Bidoche & Qui a tué l’écologie). La décision d’arrêter ou continuer vous reviens et n’êtes pas le seul sur le net à avoir de la lassitude et de voir l’état du monde actuel ne doit pas aider.
    Si vous êtes trop nombreux à baisser les bras, certains pourront se gloser d’avoir gagnés.

    Un terrien

  65. Ce blog est devenu pour moi un repère essentiel, qui m’aide à ne pas me sentir seule dans mon coin à me battre contre des murs.
    Vous devez continuer, à votre rythme qui peut devenir plus irrégulier suivant les circonstances, mais nous avons besoin de cette parole en quête de lucidité!

  66. je laisse si peu voire jamais de traces, mais vos articles tout autant que certains commentaires me permettent de garder le cap.
    Je ne mollis pas grâce à vos engagements à tous.
    Merci à vous, merci à beaucoup ici aussi.

  67. Emouvants témoignages qui confirment combien ce blog est important, singulier, irremplaçable. L’idée de ralentir le rythme des articles est peut-être à étudier ?
    Duval Gil Garcin signe malicieusement au nom des loups du Mercantour. C’est peut-être le plus bel hommage que l’on puisse suggérer.
    S’ils avaient le pouvoir de parole, ou plutôt si nous savions les entendre, les loups diraient probablement : continuez, d’une manière ou d’une autre, ne nous abandonnez pas, ne renoncez pas. Ne vous soumettez pas. Les loups et les millions de martyrs de l’industrie de la bidoche et toutes les vies qui nous entourent.

    Que peut-on espérer d’une humanité qui continue de faire comme si toutes ces vies n’existaient pas ? Qui revendique un mode de vie où dominent la laideur, l’asservissement et la désolation ? Qui se résout et, pire encore, qui en appelle à la soumission pourvu qu’au moins, se poursuive à perpétuité la vie artificielle alimentée par des machines ?
    Vous comprenez la valeur que j’accorde à une planète où l’on cherche un autre sens, d’autres issues ?

  68. Bonjour Fabrice :
    Par hasard , j’ai découvert ton blog et depuis bientôt 3 ans je butine tes articles comme un bourdon sur les fleurs d’un chardon épineux . Je comprends ton envie de repos car offrir à tes lecteurs des articles de qualité demande beaucoup de travail d’investigation . Et tu le fais avec brio.Ton choix de repos est légitime et tu
    es en droit de souffler un peu si tu le sens nécessaire . Dommage pour nous lecteurs qui perdrons un temps tes données précieuses . Mais je sais qu’un homme de ta trempe ne peut vivre sans écrire et tu nous reviendras ,j’en suis presque certain . Mes amitiés les plus sincères .

  69. Fabrice merci pour tout ce que vous nous avez apporté et pour l’espace commun et le temps que vous offrez en plus aux commentateurs (j’essaie toujours de faire court) il est rare que je ne vienne pas sur votre blog quotidiennement pour le lire .

    Comme dit René le choix pour la suite vous appartient.

  70. Salut Fabrice, salut à toutes et tous.

    Il est clair que le temps passé à débusquer les infos, bien souvent exclusives, à rédiger tes inimitables billets mais aussi à lire nos nombreux commentaires et à y répondre pourrait-être utilisé à tout autre chose. Et ton temps, comme celui de chacun de nous, est précieux.

    Voilà bientôt quatre ans que je te lis régulièrement et que je trouve ici, comme dans tes bouquins, le ton, l’impertinence et la sincérité devenus si rares dans la majorité des médias actuels.

    Aussi, comme cinquante cinq lecteurs avant moi, je te demande de continuer, au moins deux ou trois fois par mois à nous ouvrir les yeux, à nous éclairer à travers tes analyses documentées et sans concessions. De plus, et ça ne t’aura pas échappé, ton blog est devenu au fil des années l’hôte privilégié d’échanges passionnés et passionnants.

    Pour toutes ces raisons et pour quelques autres encore, je ressentirai une réelle tristesse si tu décidais de nous abandonner à un nouveau « printemps silencieux »…

    Bien à toi et à vous tous. Sancho

  71. Oui, il faut continuer. Je ne suis pas toujours d’accord mais ta voix est importante et elle ne doit pas se taire.

  72. Bonjour Fabrice,
    je lis ce blog très régulièrement,suis d’accord le plus souvent.
    je peux comprendre cette lassitude,tant de choses pitoyables de par le monde,mais bon,on a tellement besoin de ce blog…
    Cette petite musique, discordante peut être pour certains est indispensable pour nous,elle nous interroge, nous bouscule, nous questionne,
    accompagne notre quotidien.
    je peux comprendre une pause,mais un arrêt, non!!!

  73. Fabrice
    Comme le rene qui me précède je dirai ne les écoutez pas et faites comme l’envie et le coeur vous diront, mais quelque soit votre decision….. respect Monsieur Nicolino!!

  74. Etant moi-même en mode « découragement total » depuis quelques mois, je serai bien mauvaise conseillère. Et très égoïste de te demander de continuer ce travail de fou. Fais exactement ce que tu as envie de faire. Ou plutôt, fais selon tes possibilités. Ce n’est pas toujours la même chose…
    Quoi qu’il en soit, merci pour tout. Et grosses bises.

  75. Complètement autre chose :
    🙂

    http://www.youtube.com/watch?v=bwyyXznkhFM

    Cadeau !
    Deux cent vingt cinquième degré, cette fois !

    S’il ne te plaît pas, n’essaie pas de le revendre sur internet tu n’en tireras pas un pouième de kerviel (copyright superno) !

    Mais c’est vrai, quoi, à la fin, toi tu te crèves, et nous on profite, même des fois on est pas content du menu, j’te jure ….

  76. Au risque de choquer, il me semble qu’une question n’a pas été posée concernant l’avenir d’un média comme le tien Fabrice. Si nous sommes aussi nombreux à venir le consulter c’est que nous y trouvons des infos. Combien d’entre nous seraient prêts à payer pour cela? Car une info n’est pas gratuite à produire. Et payer pour permettre à des journalistes comme toi d’informer, quoi de plus naturel. Si s’abonner à un tel site pouvait permettre de le développer, de le faire connaître mieux ? Car il s’agit aussi et surtout de diffuser l’information au-delà du cercle des convaincus. J’y suis tout à fait disposé. Combien avec moi ?

  77. Bonsoir Mr Nicolino,
    Vous demandez notre avis sur Planète sans Visa : comment vous expliquer l’importance que votre blog a eu et a toujours.
    J’ai 23 ans et je finis ma 6 ème année (sur 7) d’école vétérinaire. J’ai découvert votre site un peu par hasard il y a presque 4 ans alors que je commençais à me poser pas mal de questions sur mon cursus et je le suis depuis quasi sans dicontinuer.
    Imaginer moi lire vos articles sur la bidoche le soir, après un cours de médecine collective ou de zootechnie où l’on nous apprend toutes les méthodes d’antibioprophylaxie, d’élevage intensif et j’en passe.
    Alors que tout est fait pour nous endormir, pour nous habituer petit à petit à rentrer dans les coulisses du système sans broncher, votre blog, parfois si virulent, m’a forcé à des remises en question perpétuelles, sur ma propre contribution au système (j’ai déjà renoncé à manger de la viande plus de 2 fois par mois, et je pense renoncer à ce futur métier de vétérinaire rural, en tout cas dans la forme exercée actuellement). Mois après mois j’ai pu vérifier avec horreur ce que j’avais lu dans votre livre Bidoche sur les circuits d’abattoir et sur les conditions d’élevage (particulièrement les monogastriques).

    Sur tellement de sujets d’actualité, vous êtes un éveilleur de conscience : les gaz de schiste (fléau qui a l’air de s’installer ailleurs, comme en Pologne..), NDDL, et puis toutes ces manigances politiciennes qui nous font nous méfier de tout ce monde-là..

    Grâce à vous, j’ai aussi découvert Aldo Léopold, et tous ces autres amoureux de la nature. Grâce à vous les profs me traitent de poète et de non scientifique (pour avoir acheté « Homéopathie à la ferme », par exemple).

    Pour toute cette énergie d’émerveillement, cette énergie de remise en cause et de révolte (la plus difficile à entretenir quand tout le monde se laisse vivre autour de soi):

    Merci!

    * Je ne vous en voudrais pas si ce commentaire n’était pas publié..

  78. Bonjour Fabrice,

    Je me joints aux autres commentaires ci-dessus pour vous remercier pour le travail que vous avez accompli.

    Je lis depuis plusieurs années régulièrement votre blog, y apprécie votre intransigeance, votre liberté de ton et votre capacité à mettre le doigt sur ce qui passe inaperçu à la plupart de vos confrères journalistes.

    Votre blog est unique en son genre, ce qui nous le rend si cher. Lecteur assidu, partageant régulièrement vos articles à mon entourage, je sors aujourd’hui de mon silence de lecteur craignant égoïstement de ne pouvoir plus vous lire.

    J’imagine bien la somme de travail que peu représenter la tenu de ce blog et comprends très bien votre lassitude.

    Pour autant, votre combat quotidient est plus que jamais necessaire et votre talent mis au service de cette cause qui nous est si cher plus qu’attendu.

    Je fais parti moi aussi de vos lecteurs qui reviennent régulièrement pour trouver une fraternité de pensé, une lueur de raison dans ce monde de cynique.

    Encore merci pour le temps que vous consacrez à cette noble cause qui nous anime tous ici.

    Bien à vous

    Stéphane

  79. Sans ce blog, je ne serais jamais allé à Lézan en 2011 et mes enfants n’auraient pas été durablement marqués par l’image de mille autres vies possibles.
    Sans ce blog, il m’aurait manqué un aiguillon supplémentaire pour aligner les manifestations contre le nucléaire, les gaz de schiste, NDDL…
    Sans ce blog, je n’aurais pas lu «Qui a tué l’écologie?», pas offert «Bidoche» à mon père, pas lu Charlie-Hebdo…

    Je comprends l’épuisement et la lassitude de remettre sans arrêt son métier sur l’ouvrage, mais sachez qu’il donne à beaucoup d’entre nous de l’énergie et la fierté de se battre, chacun selon ses moyens, contre l’enfermement dans un monde invivable qui nous menace.
    Un blog comme celui-ci pousse à agir. C’est une voix trop singulière en France et qui – de surcroît – s’élève avec style.

    Peut-être étudier la possibilité de ralentir la fréquence de publication ?

  80. Bonjour,
    Un des rares sites qui dénonce en donnant des noms (avec bakchich)!
    Ce contre-pouvoir est trop important pour disparaître…
    Chaque article redonne l’espoir pour lutter (même si parfois c’est bien démoralisant il faut l’admettre).
    Merci pour tout ce savoir partagé gratuitement.

  81. Cher Fabrice,

    Je lis très souvent votre blog, il m’apporte l’information que je ne trouve pas ailleurs. Je trouve parfois votre blog trop négatif, j’ai l’impression qu’à force de pointer du doigt les criminels, vous perdez foi en l’humanité. Pourtant les choses ne peuvent changer qu’avec un peu d’optimisme. Donc parfois, je viens un peu à reculons, comme si je voulais voir ce qui se passait ici (indispensable pour me tenir au courant) mais que je redoutais la grande claque, les quelques mots de plus qui me donnent parfois envie de quitter le genre humain pour de bon. Votre blog doit en effet vous demander beaucoup de temps et de boulot. Comme d’autres l’ont suggéré, peut être un remaniement du blog, avec d’autres auteurs pour vous seconder, vous faliciterait la tâche ? Je ne voudrais pas par exemple que ce blog vous ralentisse dans la rédaction d’autres livres.

  82. Un message court pour apporter tout mon soutien à ce projet de « Planète sans visa ».

    Je suis doctorant en écologie et la lecture régulière de ce blog me permet de rester ancré dans ce qu’est le quotidien de l’écologie. C’est une piqûre de rappel constante qui n’a que peu d’égal dans la variété des sujets qu’elle aborde.

    Plus qu’un intérêt, ce blog est devenu un besoin.
    Bon courage Fabrice!

  83. Si vous arrêtez planète sans visa, c’est pour mieux prendre le temps d’écrire plus loin alors nous serons où que vous soyez Mr Nicolino.
    Vos écrits sont de perpétuelles piqûres de rappel in-dis-pen-sa-bles à ce monde; des rappels difficiles qui ne doivent pas nous empêcher de garder le sourire et de jolies pensées nécessaires à la force de l’action.
    Vous donnez l’envie de se surpasser, d’oser, d’aller plus loin, de sortir de sa tanière, de réfléchir davantage, de lire un peu plus qu’à l’accoutumée, de revoir certaines certitudes.
    Vous avez tant donné! Donnez-vous du temps!
    Le lien est là et sera toujours.
    Merci pour votre travail journalistique exemplaire et votre immense générosité.
    Prenez grand soin de vous Mr Nicolino et à bientôt, ici ou ailleurs……
    Cathou

  84. Ce blog est incontournable, le fermer serait une catastrophe écologique.
    J’imagine que ça doit être usant de valider et d’invalider les commentaires. Bien que je n’y participe pas, j’attache presque autant d’importance à la lecture des commentaires qu’aux articles. Je doit en conclure pour ma part que « planète sans visa » est plus que le blog de Fabrice Nicolino, c’est devenu aussi une petite communauté.

  85. Bonjour,

    Beaucoup d’égoïsme.
    Si vous l’aimez, un peu, laisser Fabrice respirer.
    Si vous l’aimez, très fort, laissez le partir.
    C’est triste et douloureux, mais c’est lui avant nous, vous …

    Vous ne voudriez tout de même pas qu’il se retrouve comme sa tata chérie, a force de nous mâcher tout le travail?

    Ceux qui sont nés avec le pouvoir et une cuillère d’argent a la bouche, ne pèsent rien contre celui, qui, avant même de prononcer son premier « areu », crachait déjà des plumes.

    Il a toute ma confiance, ici ou ailleurs.

    Bien a vous toutes et tous,

  86. Bonjour Fabrice!

    PSV est pour moi une référence, dès qu’un sujet me paraît louche, je me demande et Nico? qu’est-ce qu’il en dit? et toujours grâce à vous je démêle les écheveaux du mensonge organisé, j’en fais profiter mon entourage toujours avec l’espoir de faire grandir la mobilisation pour de justes causes.
    Je vous suis depuis des années par tous vos bouquins aussi et bien souvent vous cite comme héros de nos temps modernes au côté de MMRobin et Stéphane Lhomme car j’ai entièrement conscience du courage au quotidien qu’il faut pour oser dire haut et fort la Vérité face à la puissance des intérêts destructeurs.
    J’ai conscience aussi de l’usure que ça représente d’être aux premières loges de la compréhension et de ne rien pouvoir faire pour STOPPER les processus.
    Alors j’aimerais vous poser aussi ces questions: vous voulez arrêter pour prendre une autre forme ou pour prendre le large et vous ressourcer?
    Quelle que soit la réponse, j’espère que ce n’est pas définitif; votre style est didactique car percutant et vos infos indispensables dans un monde de médias livrés à la culture consommation.
    Merci pour toute cette énergie que vous m'(nous) avez transmise à travers votre propre révolte et que Dieu vous garde, quel soit son petit nom.

  87. En plus de la qualité et du sérieux des articles (un peu longs parfois) « Planète sans visa » est sûrement le seul blog écrit sans une seule faute d’orthographe et dans un français remarquable.
    Merci Mr Nicolino! Et s’il vous plait ne manquez pas d’écrire -même moins- mais régulièrement.
    Ceci n’empêche pas de prendre des vacances pour aller se ressourcer en pleine nature.
    A bientôt.

  88. Fabrice,
    Votre blog apporte ce qu’il annonce dans le bandeau supérieur : « une autre façon de voir la même chose », et c’est très précieux sur le sujet de l’écologie dévoyé et récupéré à souhait.
    Il permet aussi de partager avec les quelques ceux qui discernent que l’humain fait fausse route, c’est encore et toujours précieux.
    Merci de ces articles considérables, merci de l’hospitalité donnée à tous les commentaires, merci de votre temps et de votre énergie. Je comprends parfaitement une certaine lassitude : regrets si vous arrêtez Planète sans visa, et respect pour le travail et l’engagement.

  89. Je lis la Bible ts les jours , je suis disciple du Christ , j’essaye de m’en sortir au quotidien avec les enfants , l’écologie , la politique (Je ne me mêle pas des débats actuels de société sur le mariage ), les partis, l’argent , la torture … Ton blog est pour moi une valeur sûre; désespérante certes mais réelle ! la Foi me permet de ne pas désespérer de tout , car tes notes pourraient parfois me conduire au suicide… Merci Fabrice pour ton honnêteté ton courage , ton intelligence . Que la Vie te réconforte et t’apporte ce qu’il te faut le plus en ce moment . Quelque soit ta décision : MERCI pour tt ce que tu as déjà fait

  90. Bon … cher Fabrice, un peu de repos ok.
    Mais pas plus, pas de blagues bordel !!!
    Je crois que nous sommes nombreux à trouver en vous la pertinence et l’indépendance que nous avons tant de mal à touver ailleurs.
    Qu’il serait triste de perdre ce lien si particulier que le blog permet de garder avec vos analyses.
    Amitié, Marc.

  91. J’insiste, peut-être lourdement, mais je m’étonne que tous ceux qui louent le travail de Fabrice, son énergie, la qualité de ses informations, souvent exclusives, la quantité de travail que cela représente pensent évidemment et sincèrement à le remercier mais ne proposent à aucun moment de rétribuer son travail. Hors, c’est évidemment le nerf de la guerre. Et si l’on veut que ces infos éclairent les esprits qui sont encore bien éloignés de ces thématiques pourtant essentielles, vitales, il faut qu’un média comme celui-ci prenne une autre dimension.

  92. Bonjour,

    Si on peut aider?

    Non! Sans moi! Désolée. Et je ne suis pas de mauvais poil. 🙂

    Depuis quand informer juste, prévenir des grands dangers devrait être une « action » rémunératrice?

    C’est comme si vous répondiez a un futur noyé, je veux bien vous sauver, vous aider a remonter sur la berge, mais d’abord vous abouler la monnaie!

    Je veux bien participer, mais pas en espèces sonnantes et trébuchantes.

    Belle journée,

  93. 🙂

    Ce blog est hanté! Nous nous sommes croisés, Mr Jourdain.

    Fabrice sait ce que je pense de lui. Quand je dis que c’est le meilleur, le plus doué pour dénoncer les affaires qui puent, et tout le reste, c’est sincère.

    Pour pouvoir espérer un monde plus juste pour tous, la question argent doit être mis en veilleuse. Les vraies valeurs, si chères au cœur, sont le partage, le don, y compris de soi. De son temps pour les autres. Donc, écrire, avertir, rendre vigilant, fait partie de ces valeurs, si le cœur est a la bonne place.

    Merde, alors! Je vis avec 300 euros par mois, et je fais tout gratuit! Heureuse, très, parce qu’en complet « jumelage » avec l’organe le plus ensoleillé.

    Fabrice fera ce qu’il voudra. Pas de jugement. Jamais. si le blog devait être payant, je donnerai ma « démission ». Ce n’est pas du chantage, mais de la lucidité. La mienne. Elle est peut être tordue, mais c’est la mienne. Je n’ai pas tout quitté pour revenir a la plaie fric!

    Personne n’est irremplaçable. 🙂

    Beau soleil a vous toutes et tous,

  94. @ Jourdain :

    La proposition d’une rétribution avait déjà été faite à Fabrice par certains d’entre nous, il y a quelques années, alors qu’il se posait cette même question concernant l’avenir de Planète sans Visa.

    Si ma mémoire ne me trahit pas, ce n’était pas sa façon de voir les choses, mais aussi à l’époque, un problème de manque de temps et une interrogation personnelle sur l’utilité de PSV.

    Les très nombreuses réactions l’encourageant à continuer on fait qu’il a vaillamment repris sa plume pour nous offrir depuis des centaines de billets plus décapants et incisifs que jamais…

    Un IMMENSE MERCI à toi, Fabrice !

  95. Pourquoi il faut continuer ? Parce que dans ce pays, suite à une victoire footballistique, 40 000 (!) personnes se déplacent pour accueillir leur équipe… parce que des centaines de milliers de personnes manifestent sans cesse contre une loi sur le mariage (!)… quand nous sommes quelques milliers seulement à réussir à se mobiliser pour sortir du nucléaire ou pour sauver le climat ou la biodiversité.
    Pays de dingues ! C’est à hurler…

  96. Cher Fabrice,
    Je pense que de nombreux lecteurs de votre blog sont peut-être comme moi, à savoir des lecteurs assidus mais qui ne postent jamais de commentaires. Mais il me paraît important de vous dire aujourd’hui combien votre blog est essentiel. La qualité des informations que vous traitez est plus que remarquable. Vous nous offrez « sur un plateau » des infos provenant d’études et de lectures que nous n’irions jamais chercher et surtout que nous ne pourrions jamais trouver. Le « nous » que j’emploie représente les (très certainement) des milliers de lecteurs anonymes.
    Votre blog est une source d’informations indispensables et votre regard sur le monde trop précieux pour que tout cela s’arrête.

  97. Oui les cimetières sont pleins de gens irremplaçables… Une bonne raison de saluer les vivants dont vous etes, Fabrice ! et de les encourager ! Merci merci merci ! Bon courage

  98. Merci mille fois pour vos articles. Bonnes vacances, et, moi aussi je suis d’accord pour rétribuer votre travail d’information écologique et politique en ligne, il est de grande qualité, et précieux.

  99. Entièrement d’accord avec Jourdain.
    Patrick, tu pourrais prendre exemple sur Auzanneau (Oil Man)et Jorion, un appel à contribution.

  100. Cher Fabrice, je vous remercie pour votre contribution à une information libre sur le web si nécessaire aujourd’hui. Ce n’est pas le moment d’arrêter. J’ai mis votre site dans les liens des 3 blogs que je gère.
    Par exemple:
    http://meshomelies.blogspot.dk/
    Bien amicalement,
    Robert

  101. @ Jourdain
    « je m’étonne que tous ceux qui louent le travail de Fabrice, … ne proposent à aucun moment de rétribuer son travail. »
    Peut-être tout simplement parce que le billet de Fabrice n’abordait pas du tout cet aspect, même implicitement. On peut supposer que si c’était le problème, ce serait au moins sous-entendu.

    Alors, payer pour lire ce blog, pourquoi pas mais cela obligerait l’auteur à créer une véritable petite entreprise s’il veut rester dans les « clous » du point de vue réglementaire. Bref, une grosse dépense de temps et d’énergie pour un résultat aléatoire.

    De plus, et bien que je ne fréquente ce blog que depuis peu, il me semble que le but de son auteur est de « faire passer un message » (rien de péjoratif, c’est un raccourci), donc d’avoir un site ouvert au plus grand nombre. La seule solution serait alors des dons mais, en France, il faut une association ou une fondation pour que ce soit légal. Dans ce cas, retour à la case « usine à gaz ».

    Une autre piste serait une aide technique, par exemple pour la modération avant publication des commentaires mais est-ce possible avec WordPress ? Il faut de plus des personnes de toute confiance car c’est quand même confier les clés d’un site internet avec les conséquences juridiques que cela présente.

  102. Voila pourquoi il n’y aura bientôt plus de journaliste indépendant,trop de pression ,pas assez de revenus.Nous devrons subir les associations subventionnées.
    Salut l’artiste !

  103. Pour Jourdain, Fabrice, et toustes, au sujet de ceci :

    « Au risque de choquer, il me semble qu’une question n’a pas été posée concernant l’avenir d’un média comme le tien Fabrice. Si nous sommes aussi nombreux à venir le consulter c’est que nous y trouvons des infos. Combien d’entre nous seraient prêts à payer pour cela? Car une info n’est pas gratuite à produire. Et payer pour permettre à des journalistes comme toi d’informer, quoi de plus naturel. Si s’abonner à un tel site pouvait permettre de le développer, de le faire connaître mieux ? Car il s’agit aussi et surtout de diffuser l’information au-delà du cercle des convaincus. J’y suis tout à fait disposé. Combien avec moi ? »
    « J’insiste, peut-être lourdement, mais je m’étonne que tous ceux qui louent le travail de Fabrice, son énergie, la qualité de ses informations, souvent exclusives, la quantité de travail que cela représente pensent évidemment et sincèrement à le remercier mais ne proposent à aucun moment de rétribuer son travail.(…) »

    Jourdain, je ne suis pas entièrement d’accord avec toi, mais je trouve très juste de soulever la question.
    Je vais essayer de répondre « vitement » sans être trop synthétique …

    En revenant d’abord sur la nature même d’un blogue, qui est un medium un peu à part. Certes, c’est du boulot, mais faut-il oublier pour autant sa nature de « journal personnel en ligne » ? Quand les blogues deviennent uniquement sites d’informations, ils y perdent leur âme, et ce n’est sûrement pas le cas de Planète, (Fabrice, tu me dis si je me trompe) même si Fabrice publie de plus en plus d’articles de Charlie, pour les raisons de temps qu’il indique lui-même.

    Une info est-elle gratuite à produire ? Vaste question de la rémunération de l’activité humaine !
    🙂
    La question de l’abonnement à Planète sans visa est à mon avis une énormité, mais ne le prends pas mal, Jourdain, je m’explique : c’est à l’opposé des idées de Fabrice (tu dis encore si je me trompe). L’abonnement, c’est le cadre, la restriction, l’élitisme bref tout plein de choses qui ne collent pas avec le paradigme (hi hi pour stan, c’est un mot qu’il adore !), enfin disons avec le fonds libertaire de Planète sans visa.

    Une info est-elle gratuite à produire ? Vaste question de l’indépendance des media !
    🙂
    Il est vrai que le temps passé à alimenter un blogue de qualité est énorme, et qu’il faut bien payer le repas pris vite fait entre deux textes publiés ! Donc ta question, Jourdain, est tout à fait valable.

    Plusieurs blogues disposent d’un système de paypal qui correspondent beaucoup mieux à mon avis à l’air de liberté qui règne ici. Faut-il que je développe ?
    Notion de prix libre : on donne ce qu’on veut, quand on veut. On se pose la question de la valeur que l’on accorde à ces pages que l’on lit, plutôt que payer la note prévue par le système. Notion de partage : on donne si on a les moyens, ceux qui n’ont rien ont accès quand même, sans qu’il leur soit fait reproche d’être miséreux. Notion d’indépendance de part et d’autre. L’auteur ne demande rien, il reçoit. Façon de dire Merci !

    J’écris ça au cas où vous ne connaissiez pas trop ce système. J’ai « Le monolecte » en tête comme exemple mais il y en a d’autres. Donc si souci matériel il y a, il peut être très facilement résolu de cette façon.

    Bonsoir à tous
    Véro le blaireau

  104. Bon, peut-être que tu veux vérifier que t’as bien le bon nombre de lecteurs en allant jusqu’à 4700 commentaires. Une espèce de goût de la statistique ou le virus des PDM (parts de marché, genre TF1). Comme j’suis de bonne humeur et que ton silence m’inquiète, j’écris le 119ème, parce que là, franchement, t’exagères. Cette période d’inactivité sera décomptée de tes congés et il faudra que tu marnes deux fois plus à ton retour. Les cadences infernales, quoi ! Faudrait pas pousser quand même !

  105. Je suis ravi que l’on puisse discuter de ce qui me semble un point essentiel. Et un peu désolé si, du coup, le blog Fabrice lui échappe un peu. J’entends bien qu’il ne souhaite apparemment pas mélanger la rémunération à son travail de bloggeur. C’est son droit.
    Je suis certainement allé trop loin en évoquant un abonnement à une telle source d’informations. Bien sûr qu’il peut s’agir d’appel à contributions. Des projets digitaux naissent aujourd’hui grâce aux dons des citoyens.
    Il s’agirait de donner ce que l’on peut pour permettre de produire et de faire circuler cette information dont les citoyens ont besoin. Mais avant d’imaginer le « modèle », pouvons-nous admettre qu’il est aujourd’hui impossible de toucher le grand public sans moyens.
    Comment faire si l’on veut obtenir une information de qualité et la diffuser. Enquêter prend du temps et coûte de l’argent. Qu’elles que soient nos valeurs, ce que l’on estime juste ou non, c’est un fait.
    Nous ne ferons rien changer en restant entre gens convaincus. Et nous n’avons plus guère le temps de tergiverser. La représentation politique est à bout de souffle. Peut-être qu’une information de qualité, indépendante, sérieuse pourra faire réfléchir et casser les dogmes.

  106. Bonjour Fabrice, j’ai omis de citer votre blog dans mon nouveau livre et je me sens impardonnable en regard de sa qualité. Merci pour tout. Le mien de blog à 6 ans aujourd’hui, beaucoup plus modeste que le votre, j’y suis attaché. Comme au votre. Pour info didier anger et yannick rousselet viennent de rentrer du japon, il y aurait matière à exprimer un point de vue… Personne ne peut vous obliger à continuer, vous avez aussi sûrement mieux à faire que de mesurer la léthargie de la société… quoique vous fassiez bon suite à vous.

  107. @ Fabrice et à vous tou(te)s,

    Petit clin d’oeil printannier. Après les martinets à ventre blanc arrivés il y a quelques jours, voilà les martinets noirs qui nous offrent leurs fabuleux ballets aériens dans un ciel enfin bleu !

    Leurs cris, si proches de ceux des enfants dans une cour de récréation, me remplissent d’une joie intense et toute simple, comme chaque année à cette époque. Et je sais que je ne suis pas le seul …

    Je vous souhaite une belle journée. Sancho

  108. Je ne pensais pas qu’une personnalité comme la vôtre puisse avoir besoin de reconnaissance… mais s’il faut en passer par là pour ne pas perdre un lieu d’information et de pensée aussi fondamental que Planète sans Visa, alors je me joins à tous les éloges ci-dessus ! Peut-être n’êtes-vous pas obligé d’écrire autant et si souvent, mais nous perdrions assurément quelque chose si vous n’interveniez plus ici…

  109. Votre site et votre travail sont indispensables. A mon avis, la lecture de votre site devrait même être obligatoire. Tout simplement. Quel manque si jamais vous deviez arrêter (mais je n’ose pas y croire) ! A bientôt.

  110. coucou tes mots me rendent triste fabrice,et reflète peut être un manque d’espoir de ta part ,je ne sais pas.ton double travail dois être fatiguant,mais je pense que tu es sincèrement lucide et efficace pour informé ce genre de topic.L’argent dénature les gens et les idées,et je pense que de le rendre payant ,c’est rentré une fois de plus dans la logique de rendement,et quand ce dernier prend la place a terme,seul les idées les plus demandées sont transmise,lisible ,et la boucle est bouclée.Peut etre que casser le cercle vicieux et non vertueux de l’argent c’est aussi etre indépendant.heureux de connaitre planete sans visa,unique pour moi,et sans équivalent.remet toi bien fabrice.

  111. Cher Fabrice.

    En plus de me cultiver, ma pensée a énormément évolué depuis que je lis ton travail d’investigation et tes analyses. Tes billets réguliers me sont utiles, pour ma motivation et pour ma participation aux mobilisations sur le terrain.

    Très égoïstement, je souhaite que tu continues, ici, mais librement.

    Bise.

  112. Merci aussi Fabrice, en plus de toutes les analyses que vous nous offrez, de la tribune pour des analyses peu médiatisées mises en lien ou des nouvelles des luttes locales de vos commentateurs.

  113. par exemple
    « Un chercheur de l’European Food Safety Authority
    (EFSA=Agence Européenne de Sécurité Alimentaire pour la sécurité des aliments chargée de la réglementation et des contrôles)
    vient de découvrir que les principales plantes cultivées génétiquement modifiées [OGM] et leurs produits dérivés, que cette agence avait autorisés au cours des 20 dernières années, contiennent un gène de virus potentiellement dangereux : le gène en question – Gène VI – coïncide avec le promoteur 35S du virus de la mosaïque du chou-fleur (CaMV).  »
    plus d’infos sur
    http://isias.transition89.lautre.net/spip.php?article283

  114. Alors, peut-être plus de temps pour arpenter la Corniche des Forts et continuer à veiller sur elle ?

    Plus de temps pour venir enfin partager un repas au jardin Guinguette ?

    Et maintenant, une pensée très « brève de comptoir », (mais je ne prétends pas m’élever beaucoup au dessus des comptoirs) : n’oubliez surtout pas de vous amuser et de rigoler avec les gens que vous aimez.

    Si vous cessiez d’écrire ici, j’aimerais que vos billets, du plus ancien au tout dernier, soient imprimés sur du papier, car on a aucune certitude dans la pérennité des supports numériques. (C’est la bibliothécaire « préhistorique » qui conserve des bouquins du 17ème siècle qui parle…)

    Des milliers de contemporains qui vous lisent, c’est beau, mais 3 archéologues du 23ème siècle qui vous retrouvent et vous font connaître, c’est… de la pure spéculation, c’est sûr, mais de la spéculation plus probable avec du papier qu’avec des OOO111OOO11O sur une bande magnétique ou un CD.

    Quoique vous décidiez, faites-le sans regret, merci de toute façon, et au plaisir de se recroiser ici ou là dans l’Est-parisien.

    Bien amicalement.

  115. Fabrice,

    Votre blog nous éclaire sur tellement de sujets dont l’impasse est unanime sur les ondes.

    Je passe souvent, par moment tous les jours. S’il n’y a rien de nouveau entre deux visites, j’en profite pour lire les archives…

    Continuez si vous en avez encore l’énergie et l’envie ! Votre blog et vos articles intéressants, bien écrits et vrais trouveront un auditoire toujours grandissant dans ce monde factice, m’est avis.

    A vous lire…

  116. « Planète sans visa », c’est ton regard humain, mais sans concession. « Planète sans visa », ce sont des articles assez courts, agréables à lire et qui font qu’on est un peu moins con après qu’avant. Sauf votre espect, of course.
    Un bon moment, quoi!

  117. Bonne nouvelle de l’un des meilleurs journaux ecologistes au monde, Down to Earth:

    L’autorisation d’implanter une usine d’amiante de 250 millions de tonnes a Utkal au Bihar (Inde) a ete annulee par l’organisme meme qui l’avait donne, le « pollution control board ». Les villageois soutenus par des activistes, ont reussi a forcer le « pollution control board » a inspecter le site, et a constater des faits (proximite des habitations) qui rendent l’implantation de l’usine d’amiante illegale.

    Les promoteurs de l’usine ont menti aux villageois en leur disant que le projet d’usine etait « agro-medical »!!! Ils ont aussi menti au « pollution control board » en ecrivant que les terres achetees etaient steriles (alors qu’elles sont de fertiles terres agricoles) et loin de toute habitation (alors qu’elles sont a 150m du village).

    Sur le fond, l’affaire est au mains de la justice, mais une victoire a ete obtenue par l’annulation de l’autorisation, qui enterine de fait l’illegalite du projet d’usine.

    Pendant ce temps, nul autre que le ministre de l’environnement du Bihar, affirme a l’assemblee de l’Etat que « aucune etude en Inde n’a demontre les dangers de l’amiante ».

    Mais le « pollution control board » qui depend directement du ministre, a base son refus sur des lois qui ne sont pas liees a la nature meme de l’amiante.

    Un grand bravo aux villageois d’Utkal!

    http://www.downtoearth.org.in/content/utkal-asbestos-plants-no-objection-certificate-cancelled

  118. Information, réflexion…action. Fabrice, ton rôle n’est pas des moindres, il est essentiel. Éveiller les consciences est un exercice ardue, et cela tu le fais avec brio. Si tu cesses d’écrire des articles en ligne, c’est tout un blog qui sera dépeuplé, est-ce grave? Je ne le pense pas. Si nous lecteurs n’avons pas l’esprit suffisamment critique pour confronter des événements, des signaux des sources pour établir les bonnes correspondances, c’est pour mieux te lire – c’est aussi parce que ça n’est pas notre métier, une passion chez toi, voire une raison de vivre! Néanmoins, si ce blog prend fin, j’espère que tous autant que nous sommes, nous resterons aux aguets pour garder cet état d’esprit, chercher l’information, la recouper, l’analyser, la transmettre… Mais une information n’est qu’une étincelle dans l’esprit des lecteurs, vient ensuite le temps de la réflexion, et peut-être pour certains celui de l’action. Je nous souhaite à tous de rester éveiller, mais surtout de passer à l’action car c’est le pouvoir des mots qui doit nous donner la force et la volonté d’agir. Merci infiniment pour tes articles qui ont apporté ou continueront d’apporter ta lumière de ta belle plume.

  119. Arrêter la production d’articles à Planète sans visa, la ralentir ? Pour faire autre chose ?

    Peut-être aussi pour répondre à la question fatidique : comment faire basculer la cause écologique.
    En témoigne encore et toujours l’article suivant, elle semble complètement engloutie, cete cause, dans les discours capitalistes ambiants, et désormais l’instrumentalisation des premiers débuts de malheurs occidentaux de masse (sociaux) dans l’unique et même sens (continuer à faire du profit d’argent dans la sur-exploitation maximale, en agitant la satisfaction passagère du consommateur -un sacré sale type tout-puissant au passage, bientôt la simple survie, un revenu, à bouffer).

    Les articles de Planète sans visa jettent un éclairage là où personne ne regarde vraiment, ou insiste là où le début de la fin saute aux yeux à qui sait voir et faire coïncider les faits…
    C’est rageur – car concerné, parfois/souvent noir-drôle (l’humour est plus subjectif à apprécier) pour délester de l’enfer montré.
    Et le flot plus ou moins nourri de commentaires a, pour ma part toujours, toute sa valeur d’information, de cohérence, de soutien moral, mais aussi de ré-embrayage de l’esprit critique et de la pensée tout court.

    Dur dur si le blog s’arrête définitivement, d’autant que l’abominable question restera sans doute plus aiguë : comment stopper la marche vers l’horreur globale ?

    Très prosaïquement, lorsque je palabre sur la cause et pousse l’argument, le blog et l’auteur sont cités.

  120. Je rajoute mon petit mot de soutien, de remerciements… et d’espoir que vous continuerez à nous informer, à nous intriguer, à nous faire réfléchir (à nous faire bondir, parfois !). Personne n’est indispensable c’est certain, mais votre blog est bien plus « dispensable » que de nombreux autres. Alors… continuez !

  121. Continuez svp Monsieur Nicolino !!!
    Votre blog est *très* important. C’est si rare d’avoir des analyses non frelatées !
    Pour vous soutenir je viens d’acheter un de vos bouquins (« Pesticides »).
    Cordialement,
    Lou

  122. Tout d’abord, Bonnes Vacances 😉
    Nous serions, par contre, profondément frustrés de perdre notre dose régulière de liberté d’esprit et d’informations toujours aussi bien étayées.
    Elles constituent, ces informations, une bouffée d’oxygène bien nécessaire dans ce monde de conformisme et de pensée organisée !
    Merci pour tout ça.
    Ce message, écrit le 17 avril au matin, ne pouvait jamais vous être transmis (?)
    Voila le message écrit le 17 avril au matin. Je n’ai jamais réussi à vous l’envoyer. Est-ce-que maintenant cela marchera ? Très frustrant !
    Ce message, écrit le 17 avril au matin, n’a jamais puis vous être transmis sur Firefox (?)
    Essayons par Safari…

  123. bonjour,
    Je lis régulièrement ce blog qui fait parti des 3 uniques sources d’information que je lis. Je serai même prêt à payer pour continuer à le lire (à quand un onglet don?)
    Merci pour votre travail.

  124. « il faut une révolution intellectuelle et morale au regard de laquelle 1789 serait une ride à la surface d’une goutte d’eau. C’est à cela qu’il faut se préparer, même si cela ne devait jamais arriver. Tout le reste ne nous enfoncera jamais qu’un peu plus dans le désastre. »
    Personnellement , je médite sur tes mots.
    Je suis convaincu qu’il faut œuvrer en ce sens sans se satisfaire de petites batailles, parfois complaisantes, qui nous voilent la face. En cela, planète sans visa ouvre le chemin et il reste tellement à parcourir.
    Planète sans visa peut-elle vivre sans l’unique Fabrice Nicolino?
    Peut-être est-ce un nouveau défi? En ce cas, j’espère qu’il trouvera sa résolution car tes articles nourissent mon esprit puis, lentement mais surement, mon action.

  125. Il est géant ce site et tes articles aussi !
    Enfin c’est plutôt ton travail qui est géant.
    Encore Merci

    ps : si tu as besoin d’un coup de main ça peut se faire.

  126. Je trouve très étonnant qu’on puisse attribuer la pause et les interrogations de Fabrice Nicolino sur la poursuite du blog à une question d’argent. Il me semble que c’est là bien méconnaître les intentions implicites ou explicites qui nourrissent les articles de « Planète sans visa » depuis l’origine… Que chacun consulte les archives. En tant que journaliste et écrivain, je crois que notre hôte arrive à « gagner sa vie » sans pourtant vouloir la « perdre » pour ça… Il me paraît clair que ce qui meut l’auteur de ce blog est d’un autre ordre : attachement viscéral à la beauté du monde naturel et à l’humanité, colères contre le cours criminel et absurde du monde tel qu’il est, lucidité, exigence de vérité, d’exactitude et de responsabilité, volonté de convaincre de la manière la plus raisonnée possible mais sans oublier l’ironie mordante et l’art d’écrire… Alors, donner de l’argent pour continuer à pouvoir obtenir encore et toujours du « Nicolino », c’est-à-dire un blog dédié notamment à la critique acerbe du consumérisme… c’est un peu fort !… Ce n’est pas avec plus d’argent que Fabrice donnerait plus de son temps, ce n’est pas le problème à mon sens.
    Non, il me paraît tout à fait légitime de s’interroger sur le sens, la valeur et les finalités du blog. Chaque lecteur pourrait s’emparer de la question – à commencer par le rapport à l’informatique et à l’internet. J’ai déjà souligné pour ma part ici-même la valeur des pauses (y compris non voulues).
    Un mot pour terminer au sujet de l’actualité cinématographique qui n’est pas si loin de « Planète sans visa »… avec « Promised Land » et « Hannah Arendt ». Dans le premier, il est question d’une ville paumée des Etats-Unis qui va dire non à un projet d’exploitation de gaz de schiste. Alors que les deux représentants de la multinationale croyaient l’affaire pliée en deux jours, les réticences se font jour, informées et têtues. Le bureaucrate efficace, sympa et zèlé(joué par Matt Damon) voit sa machinerie de la persuasion dérailler complètement ; il refuse de se voir en « bad guy » mais s’interroge. Et puis, à la faveur d’une manigence de la firme qui pourrait tout régler (révélation sur la « tromperie » écolo), les doutes finalement sont plus forts que le « boulot » et il balance tout en défendant l’idée transmise par son grand père qu’il faut « prendre soin des choses » et que personne ne peut le faire à notre place… Qui ne voit la similitude avec ce que Hannah Arendt a pensé sous le nom de « banalité du mal » et dont il est question dans le deuxième film ? L’expression a été et reste encore bien mal comprise, surtout qu’on ne va pas regarder de près son ouvrage sur Eichmann. On y lirait notamment la façon dont la machinerie criminelle nazie a pu s’enrayer, au Danemark, en Bulgarie… où même les officiers nazis se sont mis à douter et à ne plus être « fiables » en raison des actions de refus et de solidarité publics des Danois et des Bulgares envers les populations juives. Car la banalité du mal se nourrit de la conscience de bien « faire son travail », « comme tout le monde », sous un code de langage qui vient masquer et déréaliser le crime commis. Mais cela peut se briser aussi devant la résistance à l’anéantissement…
    A la revoyure Fabrice, prend le temps… Amitiés.

  127. Moi aussi çà me prends du temps pour « réagir » à vos interrogations sur la poursuite ou non de PSV.

    Ce qui me reste en tête à tourner dans tous les sens poursuite ou fin de ce blog :
    Face aux enjeux du cours des choses (et des êtres) de ce monde je trouve Planète sans Visa seul utile à recréer, renforcer, occasionner du lien entre visiteurs (au moins virtuellement). Et c’est bien la le seul outil/arme/moyen (?) pour conjurer (ou semer pour la post-catastrophe)les dégradations.
    Et au-delà pour le visiteur c’est l’occasion de pêcher des infos, des biais de réflexion à échanger au quotidien avec ses quidams alentour.

    Bonne réflexion

  128. bonjour Fabrice
    j’ai découvert ton site il y a peu, il a contribué à dessiller mes yeux un peu plus sur ce qui se passe autour de moi…
    et je vois que tu veux arrêter arg
    ma réponse va être égoïste au regard de ta lassitude

    car il est important pour moi ce blog (et sans doute pour un paquet d’autres) car il permet d’avoir l’avis d’un journaliste éclairé et surtout honnête, qui ose dénoncer les faits, les gens, les mots…

    aujourd’hui plus qu’hier et moins que demain, on est entouré de profiteurs, de lobbies, de gouvernants, qui ont l’expérience et la capacité de faire ce qu’ils veulent
    ce blog est comme un rempart finalement (il y en a d’autres bien sûr, mais vive la multitudes de réflexions qu’on y puise !)

    donc pour ma part je préférerais de loin qu’il subsiste ! mais ta lassitude est compréhensible, être sur le pont depuis si longtemps…

    peut-être es-tu sur un projet qui demande du temps ???

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