Anniversaire (tout arrive)

Je viens de réaliser – il est temps, il est 22h42 ce 27 août – que j’ai commencé ce blog il y a exactement un an. Bon, je ne sais pas trop quoi en penser. Sérieusement, je n’en sais rien. J’espère que ce n’est pas trop grave, et que cela ne gâchera pas ma nuit. N’empêche : je ne sais pas. Mais pas.

31 réflexions sur « Anniversaire (tout arrive) »

  1. Je suis devenu un « accro » de ce blog. Chaque soir, il faut que je le consulte. Chaque soir, j’ai besoin de ma dose quotidienne. Chaque soir, un texte rompt mon isolement et me redonne parfois un peu d’espoir.

    Alors pour ce premier anniversaire, un seul mot : continuez !

  2. Bon d’abbord, Fabrice, t’as une sacrée plume , C’est un bohneur de te lire ! bah oui, j’aime bien cette adresse, j’y retrouve de bonnes analyses de l’actualité géo-politico-environnementale, des personnes qui peuvent parler des heures des orchidées, pierrides, renards ou rousserole ou des éclairs, bref, de ce que j’aime, des conseils , adresses fort utiles … bien .
    je ne connais pas de réponses toutes faites et instantanées à l’énorme crise qui a démarrée, et ceux qui en cherche n’ont pas encore saisi l’ampleur du désastre . Je ne sais toujours pas si, au fond, nous aurons le temps et l’audace de mettre en place les solutions adaptées ! Continuons , modestement à nos échelles, à inventer ce que l’on peut pour défendre la vie .

  3. Monté à son bord en cours de route, ce blog, parfois irritant, souvent angoissant (tant les nouvelles de la planète T. comme Titanic sont loin d’être bonnes : au passage, avez-vous vu l’accélération vertigineuse du réchauffement climatique ?), m’a pourtant aidé, à travers les propos des uns et des autres, à trouver l’énergie pour faire face, malgré tout…

  4. d’accord avec ceux que disent les autres; heureusement que votre blog existe: question de sensibilité dans le fond.

  5. Idem que Philippe(désolé pour le manque d’originalité), je suis accro de ce blog tellement démoralisant et en même temps oxygénant.
    Et cela permet de se sentir un peu moins seul dans ce monde absurde. Longue vie, Fabrice et de plus en plus d’émules!!!

  6. Eh, vous tous !

    Vous êtes sympas, savez-vous ? Je vous promets solennellement que je n’avais aucune idée en tête en signalant cette date anniversaire. En somme, je n’attendais aucun cadeau. Pourquoi, d’ailleurs, me faire le moindre cadeau ? N’empêche que vos mots me touchent en profondeur. C’est un peu chiant sur les bords, car ça oblige, non ?

    Gracias a la vida que me ha dado tanto/Me ha dado la marcha de mis pies cansados/Con ellos anduve ciudades y charcos/Playas y desiertos,montañas y llanos/ Y la casa tuya,tu calle y tu patio.

    Fabrice Nicolino

  7. Ton site, Fabrice, fait partie des dix que je consulte quotidiennement. J’y trouve une jolie plume qui met une forme savoureuse et authentique au service d’un fond qui ne peut laisser personne indifférent. Ce blog n’est pas seulement un lieu de lecture et d’échanges, il est surtout une forme de combat pour une cause qu’il est impossible de ne pas défendre. Il est donc vital, comme toutes nos pensées constructives et les actions qui en découlent. Ne plus lutter est devenu suicidaire…

  8. Sylvie,

    C’était juste une façon de parler, d’écrire, une formule, en vrai. Je voulais signaler simplement que ces mots d’encouragement me mettaient dans un état de responsabilité. Mais bon, si cela doit vous rassurer, je ne me sens tenu à rien. La liberté que j’accorde volontiers à tout autre, je la revendique aussi pour moi-même. Nul ne me paie, nul ne m’oblige, nul ne me possède. Telle est en tout cas ma règle. Et donc, on verra bien ce qui se passera. Je n’en ai pas la moindre idée au moment où je vous envoie ce commentaire.

    Fabrjce Nicolino

  9. Si j’ai posé cette question à laquelle je pensais bien, compte tenu de que ce je perçois de vous par vos écrits, que vous répondriez de la façon dont vous l’avez fait, c’est que je me demande si le fait d’intervenir sur votre blog ne nous oblige pas non plus à la même responsabilité que vous? Bon, en ce qui me concerne, je ne crois qu’il n’y a ni sauveur suprême, ni dieu, ni césar ni tribun (je m’arrête là). J’ai longtemps cru que la politique pouvait changer le monde, je le crois encore d’ailleurs, mais en tout pas celle qui se donne en spectacle actuellement, c’est certain. Et en même temps ce n’est pas en pleurnichant ou en rêvant chacun dans son coin que les choses vont changer. Ni en n’échangeant qu’avec ceux qui pensent comme nous.
    Bon ces propos sont un peu décousus, mettons cela sur le compte de l’excellent beaujolais rosé que j’ai bu à midi…

  10. Rêver est un début pour changer les choses, sans rêves rien n’est possible…
    Martin Luther King avait fait un rêve, aujourd’hui des choses ont changées !…

    L’action politique doit se nourir de rêves, d’idéaux… sans quoi elle devient défaillantes, comme aujourd’hui…

    Les rêves rendent toutes choses possibles…

  11. Et si les rêves constituaient la quintessence de la réalité… au-delà des apparences et des croyances ? (promis, je n’ai pas partagé la bouteille de beaujolais rosé de Sylvie !)

  12. Je m’associe bien évidemment avec tout les compliments-remerciements qui ont déjà été faits. Et chapeau bas de nous gratifier quotidiennement ou presque d’un article intéressant, parfois plus personnel et léger qu’à l’accoutumée mais quand il faut… Et puisqu’un blog c’est aussi les commentaires des articles publiés, merci à tous les intervenants. L’énergie, apparemment, c’est comme la connaissance : on peut en donner sans rien en perdre (au contraire). Alors merci Fabrice et merci à tous.

  13. Fabrice, ce blog est comme la flamme de l’esprit saint distribuée aux apôtres (de Jésus – selon certains récits) : il nous donne la force de surmonter les moqueries, de prendre des risques (de marginalisation), d’étayer des convictions par l’exemple, pour faire comprendre à nos congénères l’effroyable destin que nous construisons – je dis « nous », car je généralise – et je n’écris pas que nous sommes les disciples de Fabrice 😉 )
    Ce blog est une source d’informations sans équivalent, il agit comme un catalyseur.
    En résumé : Fabrice, continue.

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