L’affaire Badinter continue

Je vous signale que le site Arrêt sur images, créé notamment par le journaliste Daniel Schneidermann, consacre un article au grave différend qui m’oppose désormais à madame Badinter. Voici l’adresse : http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=2973

N’hésitez surtout pas à répercuter dans tous les réseaux à votre portée. Il me semble qu’il y a de quoi.

12 réflexions sur « L’affaire Badinter continue »

  1. Si Mme Badinter voulait cacher ton article original, c’est raté! Cette affaire va terminer au 20h… Comme quoi, l’histoire de l’arroseur arrosé a encore de beaux jours devant elle…

  2. Bonjour
    Je n’ai pas trop bien compris le rôle de chillingeffects.org là dedans, mais je constate sur leur page d’accueil qu’elle allie des juristes, universités US dans le domaine du droit, autour du concept de 1er amendment, ainsi que l’EFF (Eletronic Frontier Foundation) plutôt connue pour ses positions contre les DRM, le verrouillage d’internet, de l’iphone, et pour la liberté d’expression sur Internet. Vous seriez dans votre droit de leur soumettre votre cas et leur demander quelques explications (http://w2.eff.org/bloggers/) (Si toutefois les péripéties d’un non étasunien les intéresse)
    Cordialement

  3. Ben j’ai essayé de taper « Elisabeth Badinter » sur la barre google de firefox, et l’article du 8 janvier apparaît en 10ème position, sur la 1ère page.

  4. Pardon, je suis suisse, et donc la recherche s’effectue sur google.ch. Par contre, sur google.fr, l’article à bien disparu…

  5. franchement, on s’en fout un peu de cette histoire qui dure qui dure. Quel intérêt sinon des affaires d’ego de part et d’autre ?

  6. Suzan,

    Liber à vous de penser ce que vous voulez. Et hourrah, même ! Mais je suis navré que vous ne voyez pas le sens de ce qui est en jeu. Franchement, après avoir lu au fil des mois ce que j’écris et comme j’écris, vous pensez sérieusement que c’est mon ego qui me pousse à continuer ? Franchement, vous le croyez ?

    Bien à vous,

    Fabrice Nicolino

  7. @Suzan Au premier abord, je serais tentée de penser comme vous. La terre ne s’arrêtera pas de tourner ni les bombes de tomber sur Gaza parce qu’un article d’un journaliste français sera passé à la trappe. Mais il s’agit de bien autre chose, d’une restriction insidieuse de nos libertés de penser, de dire, de faire. Et du pouvoir et de l’usage qu’on en fait.

  8. La liberté d’expression ne se négocie pas. Google France doit s’expliquer sur ce retrait. Allez-vous faire cette démarche d’intérêt public ?
    Cordialement

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