Qui vive-là ? Vous ne passerez pas. Halte-là ! (pause)

Je ne crois pas écrire grand chose ces prochains jours. Mais ce n’est que passager, on ne se débarrassera pas de moi aussi facilement. I’ll come back ! Ça pourrait durer une semaine, sauf si je trouve le temps d’écrire quelque chose. Pas sûr. Profitez bien de la plage.

51 réflexions sur « Qui vive-là ? Vous ne passerez pas. Halte-là ! (pause) »

  1. Oho….vous allez manquer!

    Bonne pause,cher Fabrice.

    Dieu est l’ami du silence. Les arbres, les fleurs et l’herbe poussent en silence. Regarde les étoiles, la lune et le soleil, comment ils se meuvent silencieusement.

    Mère Teresa

    Bien a vous,Léa.

  2. Le silence, on n’a rien trouvé de plus éloquent dans les cas graves. (Frédéric Dard / Les pensées de San-Antonio)

  3. @ Georges
    Fabrice est moins sectaire que votre ami d’en face qui va publier un  » dictionnaire énervé… », un truc illisible et incompréhensible pour le grand public; et contrairement à votre ami, il a au moins le mérite de répondre aux blogueurs et surtout de prendre le temps de publier chaque semaine quelque chose d’intéressant.

  4. Cultive ton jardin,

    Je n’ai pas le temps de développer, car je squatte en ce moment quelques minutes d’internet chez quelqu’un. Je ne suis en effet pas chez moi. Morales m’intéresse, car il est au confluent de deux cultures qui, en fait, s’excluent l’une l’autre. La tradition (récente) caudilliste-castriste d’une part, et la culture indienne par ailleurs, d’une tout autre tenue. Je suis fort loin d’être devin, mais je pense qu’il y a encore une chance pour que quelque chose de prometteur surgisse autour de l’expérience bolivienne. Morales est étonnamment malin, et diplomate. Il faut l’être, quand on est à la tête d’un pays de moins de 10 millions d’habitants. Parmi les choses que j’aime, cette liste des langues officielles : Aymara, araona, baure,bésiro, canichana, cavineña, cayubaba, chácobo, chimane, ese ‘ejja, espagnol, guarani,guarasu’we, guarayu, itonama, leko, kallawaya, machineri, maropa,mojeño-trinitario, mojeño-ignaciano, moré, mosetén, movima, Pacahuara, puquina, quechua, sirionó, tacana, tapiete, toromona, uru-chipaya, wichi, yaminahua, yuki,yuracaré et zamuco.

    Beau, hein ? Bises.

    Fabrice

  5. La reconnaissance des langues en Bolivie est remarquable. De nombreux pays ont une conception un peu floue du statut des langues parlées sur leur territoire. C’est le cas de la Bolivie, qui inverse les statuts. Avec une définition plus stricte, nous dirions plutôt que toutes celles citées sont des langues nationales, donc reconnues par la nation. Les langues officielles, utilisées dans le cadres de l’administration notamment (et qui ne peuvent être aussi nombreuses, en conséquence), sont l’espagnol, le quechua et l’aymara (définies là-bas comme langues nationales).
    Imagine-t-on la France au XIXe siècle (ou avant, ou après) reconnaissant le breton, l’alsacien, le Flamand, le basque, le corse, et toutes ces langues qu’on nomme péjorativement patois, assimilées dans l’esprit de beaucoup à du français dégénéré ?

  6. Oui, très beau, cette idée tellement étrange pour notre culture jacobine, que les langues comme les cultures ne se font pas du tort les unes aux autres mais s’enrichissent mutuellement. Aucune langue ne devrait disparaître, comme aucune espèce animale ou végétale.

    Merci de m’avoir répondu malgré ton éloignement.

  7. des hommes et de la violence.

    http://www.ecologie-radicale.org

    Gérard CHAROLLOIS le dimanche 10 octobre 2010

    TEL 06 76 99 84 65

    Des hommes et de la violence.

    L’espèce vaniteuse qui s’imagine élue souffre de deux tares comportementales : la cupidité et la violence.

    L’animal humain aime dominer, conquérir, asservir et souvent tuer.

    Ce ne sont ni les tigres, ni les lions et moins encore les craintifs loups et les prudents ours qui furent dans l’Histoire les plus grands exterminateurs d’humains, mais l’humain lui-même.

    Cette propansion à estourbir l’ennemi de sa tribu et de son dieu ne lui provoqua aucune interrogation fondamentale sur sa nature intrinsèque.

    Il se proclama roi de la terre, terreur de tout ce qui vit, accapareur insatiable.

    Toutes les sociétés humaines furent marquées par cette violence dont seules les formes varièrent dans le temps selon les moyens techniques disponibles.

    L’animal humain, indéniablement supérieur par ses capacités cognitives, pourvu d’un appareil neuronal performant, ne parvint pas, jusqu’à ce jour, à surmonter ses tares s’adonnant volontiers aux tueries, aux exploitations, à l’accaparement.

    La société développe même l’instinct de mort et le culte de la domination accoutumant ses membres à tuer les autres animaux, les familiarisant ainsi avec la banalité de supprimer la vie.

    Observez les faits divers judiciaires récents commentés par la presse, les procès d’assises traitant des crimes de sang.

    Evoqué distraitement par les médias superficiels, vous apprendrez que les auteurs présumés du meurtre de leurs femmes, de leurs deux voisines, d’un rival, se passionnaient pour le loisir de mort, vivant dans la promiscuÏté de leurs fusils.

    Il serait absurde de dire que tout assassin fut préalablement un tueur ludique d’animaux non-humains, mais il serait tout aussi vain d’ignorer que le pourcentage des tueurs d’habitude parmi les clients de cours d’assises est plus élevé que dans le reste de la population.

    Que ceux qui en douteraient se renseignent sur ce point lors du prochain procès médiatique pour crime de sang.

    Puis, vous ferez cette seconde constatation sociologique.

    Lorsque l’homme tue l’homme, histoire d’éliminer son conjoint, un gêneur, un voisin ou l’ennemi idéologique, il usera de préférence des instruments et de la méthodologie, balles ou égorgement, qu’il pratiqua à l’encontre de ses victimes d’une autre espèce.

    En cela, on peut parler d’une culture de la mort donnée.

    La chasse, la tauromachie, le sacrifice rituel ne sont jamais des « arts de vivre » mais des arts de tuer.

    Ils insensibilisent leurs adeptes, anesthésient leur empathie, apprivoisent chez eux la cruauté naturelle.

    Rares sont les études iconoclastes, les réflexions embarrassantes menées sur ces points essentiels pour la marche de la civilisation.

    C’est que la société se nourrit de cette violence sociale et doit la rendre acceptable, sans esprit critique, à ses membres.

    Il faut inculquer au troupeau le mépris du « maillon faible » et la soumission aux exploiteurs accapareurs.

    Ainsi, la télévision, dans l’ordre » social, relate, comme un fait admirable, qu’un jeune homme, au demeurant sympathique, doué pour frapper un ballon, va gagner aux USA un million de dollars par mois.

    Le fait est honteux, scandaleux et même plus délictueux que nombre de menus larcins que sanctionnent les tribunaux.

    La presse manipulatrice de cerveaux disponibles présentent ce parasitage social comme une vertu, la consécration d’un mérite.

    Or aucun mérite ne fonde les injustices d’une société féroce conférant à moins de 1% de ses membres des situations exorbitantes du lot commun.

    Les inégalités sociales représentent des violences d’une autre nature que celles des agressions sanglantes mais des violences auxquelles doivent s’accoutumer les victimes du système.

    Le rêve fut qualifié « gardien du sommeil ». les médias entendent faire rêver avec les stars, les champions, les fortunes affairistes, rêver pour faire dormir et empêcher le salutaire sursaut de la conscience et de l’indignation !

    Ne cherchez pas dans le passé de l’espèce un âge d’or sans violence.

    Il n’y en eut aucun.

    Mais avec son FOUQUETS CLUB en lutte des classes à rebours contre les salariés et la fonction publique, ses « jeunes » à capuches agressant aux faciès les européens, ses racistes condamnant l’autre non pour ce qu’il fait mais pour ce qu’il est, ses petits chefs de services stimulant leurs subordonnés pour la rentabilité de l’entreprise au point de générer dépressions et suicides, ses riches qui assassinent la terre, ses religieux qui bétonnent les neurones de leurs victimes, ses tortionnaires d’animaux qui traquent et exterminent, notre temps offre encore bien des périls, des horreurs, des crimes à extirper.

    Que préférons-nous ?

    Un monde meilleur aspirant au respect de tous les êtres sensibles et à un hédonisme altruiste, ou celui de fureurs et de sang, des chasseurs, des exploiteurs, des dominants qui brâillent qu’ils sont les vainqueurs ?

    Faut-il désespérer du processus d’hominisation et considérer notre espèce comme une impasse évolutive ?

    Le pire n’est ni certain, ni impossible.

    Des frémissements d’amélioration des comportements se manifestent.

    Le Sénat Espagnol refuse d’adopter une motion de soutien à la torture tauromachique.

    Il meurt ici et maintenant plus de chasseurs qu’il n’en naît.

    Les dogmes du pseudo-libéralisme antisocial et antiécologique apparaissent chaque jour un peu plus pour ce qu’ils sont : des impostures morales et une source d’échecs sociétaux.

    La société sécrète des haines, des aigreurs, des crispations, mais par ailleurs émergent, sources d’espérances, des volontés émancipatrices, des révoltes salutaires, des contestations radicales de l’agir mal.

    Victor HUGO mourant aurait énoncé : « C’est ici le combat du jour et de la nuit ».

    Gérard CHAROLLOIS

    CONVENTION VIE ET NATURE

    MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

    POUR LE RESPECT DES ËTRES SENSIBLES ET DES EQUILIBRES NATURELS.

    http://www.ecologie-radicale.org/

  8. dans la « La haine de l’Occident » de Jean Ziegler, il y a des pages intéressantes sur Evo Morales

    sur la façon dont il a négocié avec les entreprises exploitant les ressources (mines, gaz …) il semble avoir été plutôt « étonnamment malin »

  9. Bonsoir Georges,

    Chuuuuuut!

    Voulez vous bien vous taire?
    Ne donner pas a Fabrice des idées extravagantes et impossibles a réaliser!:)

    Laissez le nous encore un peu,merci!

    Bien a vous,Léa.

  10. Léa, je reconnais que cette déclaration de mère Thérésa sur le silence tant aimé de Dieu, en plein voyage de Sarko chez le pape, ça m’a fait un peu sursauter. Mais ça doit venir de cette grande intolérance que je cultive (avec le sourire) et dont je me réjouis chaque jour…
    Bonne journée à vous.
    Georges.

  11. Alors comme ça, M. le justicier solitaire est absent une semaine? mais qui va donc veiller dans le cyberespace? …
    Allez, toute la meute de suinte-la-haine, de tordus et de minus attend ton retour.
    Et fais de gros bisous de notre part à vincent cheynet ^_^

  12. Coucou,:)

    Ascension en rêve de la Montagne du Tianmu

    Un visiteur marin parlera du Japon,
    dont les eaux et les brumes découragent l’approche
    Mais le peuple de Yueh parle de notre Mère Céleste la Montagne,
    pourtant visible à travers ses nuages
    d’épaisseurs variables.
    En droite ligne vers les cieux, son sommet pénètre le ciel,
    Elle coiffe les cinq Sommets Sacrés, et projette une ombre sur toute la Chine,
    Avec sa Chaîne de Terrasses merveilleuses longue de cent miles,
    Qui à cet endroit amorce un tournant vers le sud-est.
    …Mon Cœur et mes rêves sont à Wu et à Yueh
    Et toute la nuit, sous la lune ils traversent le Lac Miroir.
    Et la lune éclaire mon ombre
    Et mon chemin vers le fleuve Yan…
    L’ermitage de Xie est toujours là
    Et l’appel des singes s’entend clairement au-dessus des murmures de l’eau verdoyante.

    Je porte des bottes trouées,
    Et monte une échelle de nuage bleue,
    A mi-chemin un océan ensoleillé,
    Dans l’espace un chant de coq sacré,
    Des myriades de cimes et davantage de vallées mais nulle part une route.

    Les fleurs me séduisent, les roches me calment. Soudain la journée est finie.
    Sur la montagne et sur le fleuve, les ours, les dragons tempétueux,
    Effraient la forêt et font trembler les cimes.

    Une pluie noire assombrit les nuages,
    Les torrents palissent sous le crachin blême
    Les Dieux du Tonnerre et de la Foudre fracassent toute la chaîne.
    La porte en pierre se brise en deux,
    déchargeant dans la fosse des cieux une ombre impénétrable.

    …Mais à présent le soleil et la lune illuminent la chaîne d’or et d’argent,
    Et drapées de vêtements d’arc-en-ciel, chevauchant le vent,
    Arrivent les reines de tous les nuages,
    Descendant l’une après l’autre,
    Des tigres pour luthistes et des phénix pour danseurs
    Comme des champs de chanvre, rangée après rangée, les silhouettes des fées se déploient.

    Je bouge, mon âme s’envole,
    Je me réveille avec un long soupir,
    Dans les nuages perdus que sont mes oreillers et ma paillasse.
    …Il en va toujours ainsi de la joie humaine.

    Dix mille choses s’enfuient pour toujours comme de l’eau qui ruisselle vers l’est.
    Aussi je prends congé de vous, je ne sais pour combien de temps.
    …Mais laissez moi, sur ma verte pente, élever un daim blanc,
    et chevaucher jusqu’à vous quand j’en éprouve le besoin.
    Ah, comment pourrais-je solennellement faire des courbettes aux hommes de haut rang et aux fonctionnaires
    Qui ne souffriraient jamais de se trouver face à un honnête homme.

    Li Bai

    Bises,Léa.

  13. Il y a une très bon article sur les peuples d’amérique du sud de Serge Latouche dans la dernière parution bi-annuelle de la revue ENTROPIA.

    Si vous ne connaissez pas, n’hésitez pas à vous abonner!

    Il y a d’ailleurs un autre article expliquant notre totale inertie à changer le monde qui pour moi renvoie au texte de Serge

  14. je note avec tristesse que le seul prix nobel d’économie de ce land appelé France..est mort dans l’indifférence ! Maurice Allais devait être un idiot ou alors un homme trop politiquement incorrect? comprend pas cette indifférence; il est mort à près de 99 ans.

  15. Suite à la lecture de l’excellent article sur Maurice Allais paru Dans Fakir, j’y ai relevé une phrase de l’économiste John Maynard Keynes. (Merci Marie)

    Je vous la soumets, tant elle s’applique idéalement aux sujets abordés régulièrement par Fabrice sur ce blog :
    « Les idées exprimées ici sont extrêmement simples et devraient être évidentes. La difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles, elle est d’échapper aux idées anciennes qui ont poussé leurs ramifications dans tous les recoins de l’esprit des personnes ayant reçu la même formation que la plupart d’entre nous. »

  16. Eh bien marie, je crois que nous ne serons jamais d’accord.

    Dénoncer l’économie casino, les traders dans l’ombre sur lesquels on nous cacherait (oh!) des choses, le mauvais capitalisme financier contre le bon capitalisme productif et redistributif à papa des Trente Glorieuses, la bonne économie réelle ruinée par la financiarisation. Le mauvais capitalisme anglo-saxon de la mondialisation contre le bon capitalisme productif continental qu’il faut protéger.

    Ne pas parler du fait que la crise est peut-être plus profonde que ça, ni des limites interne (machinisation) et externe (limites des ressources naturelles) au capitalisme atteintes à la fin des Trente Glorieuses et pour lequel
    l’immondialisation ou le capitalisme financier (ou casino) loin de l’avoir ruiné, lui ont au contraire donné un peu de souffle pour continuer au delà de sa date de péremption. (cf. Anselm Jappe : Crédit à mort).

    Sans dire non plus que la crise actuelle serait une crise de la valeur propre au système capitaliste, à ses catégories de bases (argent, travail abstrait, valeur, marchandises) et dont la contradiction qui mène au mur lui est immanente.

    Ca valait bien un prix Nobel de conformisme économique ou de d’orthodoxie dans le marxisme traditionnel.

    Un prix Nobel étant reconnu par ses pairs, c’est évident qu’il ne doit pas bien sortir du cadre pour être décoré.

    Je ne vois pas ce qu’il raconte de si subversif. C’est la même soupe à boucs émissaires que les autres, c’est pour cela qu’il n’était pas invité à la télé je pense.

    Pour moi, ceux qui devraient avoir le prix Nobel ce sont bien les auteurs de la critique de la valeur comme Ansem Jappe, Moishe Postone.

    Lire par exemple ce texte : C’est la faute à qui ? : http://www.exit-online.org/textanz1.php?tabelle=transnationales&index=3&posnr=146&backtext1=text1.php

  17. Plutôt que de s’égarer avec Maurice Allais, il faut lire la dernière bd de Fabien Nury, « la mort de Staline », géniale! 🙂

    Résumé :
     » La mort de Staline  » Editions Dargaud.
    Le 2 mars 1953, en pleine nuit, Joseph Staline, l’homme qui régna en maître absolu sur toutes les Russies, fit une attaque cérébrale. Il fut déclaré mort deux jours plus tard. Deux jours de lutte acharnée pour le pouvoir suprême, deux jours qui concentrèrent toute la démence, la perversité et l’inhumanité du totalitarisme. A partir de faits réels, Fabien Nury, scénariste de la BD  » Il était une fois en France « , et Thierry Robin, le créateur de Rouge de Chine, signent un album, d’un humour ravageur et cruel, portrait saisissant d’une dictature plongée dans la folie.

  18. merde! je vais parler comme Hacène! et plaignez-vous aux tarés qui ont attribué le prix nobel à ce « type imbitable! » D’abord ce monsieur de 99 ans est mort, alors paix à son âme! mais quel manque de respect! Mais pour qui donc vous prenez-vous raton laveur? et oui parlez donc de Staline, vous serez bien le ou la lèche-cul dans les petits papiers du maitre des lieux! Quant à lionel, vous avez raison: effectivement tout est dans tout et réciproquement et un illustre inconnu vaut un vulgaire prix nobel….Par ailleurs j’espère que votre nièce, femme ou qui vous voudrez et meme tous! après tout il y a ici des zones entières qui ont été sinistrées! auxquels vous tenez un peu, soient virés demain, perdent leur emploi, leur gagne pain parce que la firme X décide de produire ailleurs et moins cher! Et vous leur lirez la prose consolatrice et éclairante de ce monsieur! OH, les capitalites! continuez donc! à délocaliser ailleurs pour faire coudre vos pantalons et culottes par des petits mains qui ne mangent pas de pain! aucun problème! rien à redire! quant à ceux d’ici dont le gagne pain a été oté qu’ils aillent se faire foutre avec leur prestations assedic et pole emploi! c’est déjà pas mal et assez suffisant coome çà! non mais!j’ajoute que ce qui est dommage c’est que vous ne raisonnnez jamais sur les faits! sur le concret, mais toujours sur des a priori idéologiques! bon dieu que c’est rasoir!! je serais curieuse de connaitre vos niveaux de vie! 500, 900 euros par mois? Comment? ah oui c’est vrai çà ne compte pas! ce pays est d’une rare hypocrisie!arriéré sur tous les plans et sur tous les plans a ouvert la route aux plus forts! et aux démagos! OGM! pesticides! grandes surfaces! routes à gogo! villes dfigurées!amiante, biodiversité en déclin, président affairiste; intellos inexistants et lacheté à tous les étages! beark!

  19. Maurice Allais a été passé sous silence parce qu’il prônait le protectionnisme à l’époque de la mondialisation triomphante. On nous le ressort pas seulement parce qu’il est mort, mais parce qu’une partie des capitalistes (ouh, le gros mot) voudraient bien maintenant se « protéger » un peu de leurs collègues aux dents plus longues.

    Pour moi, que la nature soit ravagée ici par les capitalismes locaux et/ou partout par les capitalistes sans frontière fait peu de différence. Par contre, j’aimerais bien qu’on n’importe pas des pommes de Chine et d’Australie pendant que ma voisine m’en offre une pleine cagette dont elle ne peut plus en tirer un sou, et que d’ailleurs elle a cessé depuis longtemps d’entretenir ses arbres.

    Mais c’est pas par nationalisme!

  20. @marie,
    « je serais curieuse de connaitre vos niveaux de vie! 500, 900 ? »

    900.

    Du calme.Et je peux vous reprocher la même hypocrisie, la même idéologie, le manque de concret.
    Pour moi le concret c’est ne plus foutre les pieds en grande surface, aller au boulot en transport en commun, jeter le téléphone portable et travailler à mi-temps pour laisser de l’emploi pour ceusses qui n’en veulent.

    Vous pensez que si on veut être plus radical que vous, c’est qu’on défend les patrons et les délocalisations et l’expulsion.

    Le monde n’est pas binaire.

  21. le premier des respect à avoir, Marie serait de ne pas considérer ce blog comme une poubelle en y copiant collant tout ce qui vous passe sous la main au gré de vos humeurs…

  22. @Marie. « merde! je vais parler comme Hacène! » Il m’arrive assez fréquemment, quand même, de m’exprimer en des termes plus élégants. Mais il arrive aussi que je ne m’exprime pas…

  23. Je ne suis pas économiste, mais il est clair qu’une régulation des échanges est nécessaire pour une décroissance de l’empreinte écologique choisie. Je suis partisan d’une décroissance de l’empreinte écologique et d’une croissance du progrès social qui n’implique pas forcément plus de biens matériels mais une meilleure condition de vie : meilleure santé, travail moins pénible, plus de temps disponible…, la croissance ou la décroissance du pib ou du pnb étant secondaire.

    Par exemple un individu qui travaille à 80% à côté de chez lui (déplacement en vélo) au lieu de faire le même travail temps plein à 50km (déplacement en voiture car le train ne s’arrête plus à proximité de son village), aura du temps libre en plus pour le jardin, la lecture ou autre (7h de travail plus 8h de transport soit 15h heures gagnées par semaine) une meilleure condition de vie, une empreinte écologique plus faible, la décroissance du pib engendrée par ce changement de situation étant ici secondaire.

    Il serait intéressant de taxer les importations en fonction des conditions sociales et environnementales de fabrication pour apporter un complément financier non négligeable au financement des retraites et à la santé public, mais aussi taxer les profits boursiers incitant aux délocalisations (souvent les actionnaires préfèrent une entreprise qui délocalise pour faire 10% de bénéfices, à une entreprise faisant 2% de bénéfices (ce qui est suffisant) qui reste en France . Ces mesures de financement permettraient aussi de réduire le chômage, notamment chez les jeunes qui seront les premiers pénalisés par un passage de l’âge légal à 65 ou 67 ans, et faire entrer plus de cotisations.

    Cependant, se limiter à un protectionnisme ne suffit pas, à ce titre, Maurice Allais, ou d’autres personnalités comme Henri Emmanuelli qui n’ont pas attendu 2008 pour remettre en cause le libre échange actuel, ne vont pas assez loin. A ce titre je rejoins Lionel , la crise dépend aussi du productivisme qui a conduit à la société marchande actuelle et au toujours plus, au lieu de se limiter à alléger la charge de travail.
    Ceci résultant en partie du citoyen qui se sent exister par ce qu’il possède, qui juge les autres en fonction de leur apparence (même problème) mais aussi par un usage des innovations non démocratique au bénéfice principal du complexe militaro industriel.

    Pour mes revenus, 1100 francs par moi (plus 600 d’allocation logement en tant qu’étudiant, rmiste 3mois, le smic en 1999, 8500 francs jusqu’en 2006, 1500 euros jusqu’en 2008, et 1800 depuis. L’ascenseur social étant en panne, j’ai encore pu prendre l’escalier avant que l’ump et le medef commence à le détruire.

    PS pour Marie par rapport au, post sur les Cathares, si je suis tolérant envers des personnes qui ne pensent pas comme moi (socialistes, gaullistes, communistes,centristes…), si je partage certaines idées avec eux et si j’approuve certains de leurs actes je ne tolère pas la peste brune avec la quelle il ne faut pas négocier, l’histoire l’a montré, mais les écraser comme des doryphores (en fait ils sont pires). Mon grand père résistant a eu affaire à eux pendant la guerre, mon oncle les a vu à l’oeuvre ((ainsi que ceux qui les suivaient ) durant la guerre d’Algérie, j’en ai cotoyé au lycée, si leur look change au cours du temps, les actes et le fond reste le même.

  24. oh mais je ne pense rien! et surtout je n’ai aucune prétention à quoique ce soit; juste j’essaie de comprendre ce qui se passe, sans bornes ni ornières, ni lunettes et j’admire les esprits tels raton (toujours aussi antipathique, je dirais presque stalienne) et Lionel qui ont l’assurance d’être du bon côté et celle d’avoir tout compris! quelle chance.

  25. @Philou :
    « Par exemple un individu qui travaille à 80% à côté de chez lui (déplacement en vélo) au lieu de faire le même travail temps plein à 50km (déplacement en voiture car le train ne s’arrête plus à proximité de son village) »…

    Je suis d’accord avec toi, mais la condition de plus en plus rare à réaliser est de trouver un emploi à côté de chez soi.
    Les emplois locaux ont été et sont encore détruits par le couple infernal grande distribution / voiture (*).

    En y réfléchissant : presque la moitié du temps passé à travailler sert à payer et rendre possible le fait d’aller au travail ou est lié à ce travail devenu total (voiture (5000€ par an le budget moyen achat / amortissement compris) , resto à midi, plats cuisinés le soir, sur-consommation compensatoire en grande surface, médicaments antidépresseurs et psychotropes, mauvaise santé car on ne marche plus et ne voit plus le soleil)/ téléphones portables pour s’appeler depuis son poste de trachée dans la guerre économique.

    Donc tant mieux si on peut trouver un emploi plus près mais sinon déjà que ceux qui gagnent plus que le salaire médian (1600€) fassent un produit en croix pour s’y ramener :
    si je travaille environ 10 mois pour 2000€, combien dois-je travailler pour ne gagner plus que 1500€) ? ici c’est à 75%, plus que 7,5 mois mais on peut enlever encore un mois car on paye moins d’impôts. (moi je l’ai fait de 1500€ à 900€ en passant à mi-temps)

    Souvent les gens ont le droit de demander un temps partiel mais n’osent pas le faire car c’est mal vu dans une société travailliste dans laquelle le travail abstrait est la médiation sociale.
    Ils disent sans l’avoir demandé et avec la même sincérité que l’arracheur de dents : « mon patron ne veut pas ». Comme ils disent pour ne pas prendre les transports en commun : « les horaires ne correspondent pas » sans les avoir regardés ou pour continuer à aller en grandes surfaces : « on n’a pas les moyens comme vous » alors qu’ils claquent 4 fois plus.

    En retrouvant du temps, je suis d’accord avec vous, cela permet de sortir de la turbo consommation, faire soi-même , peut-être n’avoir qu’une voiture pour deux mais surtout cela libère de l’emploi pour d’autres qui pourront travailler plus près de chez, fait diminuer la dépendance à la voiture et « rapproche » le lieu de travail puisqu’on parcourt moins de km par semaine à temps partiel.

    (*) les méchants : élus qui ont permis l’accaparement des terres pour la construction des grandes surfaces , patrons de grandes surfaces, les méchants industriels
    mais aussi :
    les gentils bon petits travailleurs / épargnants ou la grande récupération de la grande distribution.
    Les millions de caddies et de petits bras venus tendre leur carte de fidélité et leurs petits sous avec leur tonne de ferraille sur roues toutes les semaines mais qui aimeraient bien que le monstre que leur puissance collective crée par leurs achats se mette en tutu et fasse des pointes en ballerines.

  26. @ lionel,

    « Pour moi, ceux qui devraient avoir le prix Nobel ce sont bien les auteurs de la critique de la valeur comme Ansem Jappe, Moishe Postone. »

    la valorisation n’est en nous qu’une fonction naturelle partagée avec nos amis vertébrés permettant de faire des CHOIX (ds le sens de l’intérêt ou d’un plus de plaisir pulsionel) alors que sur le même plan axiologique, l’humain émerge normalement (sauf pathologie du vouloir)à la DECISION morale.

    ==> L’économie ne sera jamais une science. Et c’est Allais qui le montre indirectementavec son fameux paradoxe des préférences:

    « si je préfère A à B, et B à C, alors je préfère A à C est une loi qui ne marche pas » alors qu’elle est supposée VRAIE pour une majorité d’économistes!
    Et qu’est ce qui met la pagaille ds cette belle loi je te le demande? Notre faculté morale qui ne peu pas plus être obligatoire que facultative!!!

    ==> exit le concept de valeur et tout ce qui le vaut bien (comme le dit une pub à la con), même pour la philosophie qui s’empêtre avec ce concept ou se fait des gorges chaudes de ce qui devrait être valorisé puisque, je me répète, ce n’est en chacun qu’une fonction naturelle dont il convient du coup de regarder ce qu’il en fait et jusqu’où il est prêt à sacrifier!

  27. Marie, si tu essaie de comprendre ce qui se passe, réfléchis tout simplement à la différence entre un protectionnisme nationaliste (celui de Maurice Allais) et le désir de protéger la nature par la réduction des extravagants transports de marchandises liés à la mondialisation libérale.

    Parce que ça peut se ressembler si on est un peu rapide et irréfléchi, mais par contre c’est fondamentalement différent sur le principe et les implications.

    Pour simplifier, le premier va obligatoirement vers la guerre, le second va peut-être vers la paix.

  28. Encore une fois, Marie, pardon mais j’ai bien le droit de dire que je trouve la prose de Maurice Allais imbitable. « Imbitable », qui ne signifie rien d’autre qu' »incompréhensible ». Avez-vous jamais ouvert un livre de cet homme? De plus, on ne peut affirmer que ses idées aient été passées sous silence alors que le quotidien Le Figaro l’a publié pendant des années – pendant presque toutes les années 90 – mais là encore il faudrait vous renseigner avant de vitupérer.

    Pour le reste, c’est un post « vacance » et j’en ai profité pour signaler une formidable bd « La mort de Staline », réjouissante tant dans sa forme que le fond de l’histoire. Faudra-t-il dorénavant attendre votre autorisation pour signaler une belle oeuvre?

  29. @Raton Laveur,
    Il y en a d’autres qui ont trouvé la prose de Maurice Allais imbitable..
    En fait Allais avait un violon d’Ingres : la physique.
    Il a refait pendant des années des expériences développée par un astonome américain Miller. En utilisant un pendule paraconique. A l’issu de ses expériences il a conclu que la Relativité d’Einstein était fausse..
    Comme la Relativité a été vérifiée des milliers de fois, ça a posé un problème…Il se serait contenté de dire qu’il y avait une anisotropie de la vitesse de la lumière, cela aurait mieux « passé ».
    En fait tout le monde est tombé sur le dos de M

  30. En fait tout le monde est tombé sur le dos de Maurice Allais. Et puis il a obtenu son Nobel d’économie. Cela a posé un grave problème aux Polytechniciens, ils ne sont pas nombreux les « nobels » à l’X. Une équipe s’est plongée dans les travaux de physique d’Allais et a produit un article dans le bulletin des anciens élèves de l’X « La Jaune et la Rouge »disant que les travaux de Maurice Allais en physique procédait d’une démarche tout à fait scientifique et qu’il n’y avait pas à l’accuser de fraude ou de falsification.
    Il y a quelques années, j’ai reçu une invitation très générale à aller assister à une conférence par Maurice Allais sur le sujet de ses travaux sur le pendule paraconique, conférence qui devait se tenir à l’amphithéatre « Poincaré » de l’ancienne école polytechnique, actuel ministère de la recherche. J’ai transféré cette annonce sur le forum de discussion de la SFP (sccieté française de physique), environ 800 membres.
    La modératrice a laissé passer le message.
    mais trois jours après je me suis fait attaquer par la secrétaire de la SFP : j’étais un suppo de « fausse science ». Ce à quoi j’ai répondu qu’à ma connaissance l’amphi Poincaré du Ministère de la recherche n’était pas supposé être une gargotte de la fausse science, et que de plus chaque membre du forum de la SFP avait son propre jugement zn matière scientifique..
    Le lendemain le forum de discussion de la SFP sombrait.. il était purement et simplement supprimé!
    Sciences et ouverture d’esprit ne font pas bon ménage à la SFP.
    @+

  31. ben.. Cultive au nom de quoi voulez-vous que les pommes de votre voisin soient vendues par tel ou tel société ou business man plutôt que celles de nouvelle Zélande, au nom de de la quoi? la nature! laissez-moi rire! vous avez donc constaté que la nature a été un frein au commerce international? quelle chance! citez moi quelques exemples concrets que je sois rassurée? bon par ailleurs comme les amis contestent que ce soit par avidité et appât du gain que cette escroquerie soit possible….et ont mis la valeur de la « patrie » au ban de l’infamie; je ne vois pas grand chose d’autre à se mettre sous la dent sauf rhétorique bien pensante. Donc je vous le dis je n’achéterais pas vos pommes voisines, mais celles de nouvelle Zélande: je préfère leur couleur! et la nature!!pff! parlez en au président que les français ont mis au pouvoir et aux copains faiseurs d’opinion!
    les chiliens et leur drapeau national omniprésent ont du faire souffrir nombre d’entre vous au moment de la sortie des mineurs! j’espère que vous avez écrit votre indignation à l’ambassade! la biodiversité elle est aussi là. Mais, les transhumanistes vont tous nous mettre d’accord : tous pareils! tous au pas! une seule façon de cuire les pâtes! une seule façon de faire son lit, une seule façon de chanter, une seule façon de préparer le lit, de faire les noces…car les conflits naissent des différences. alors tous pareils : homogènes, stables et clonés! comme les ogm!

  32. OMC : « Comme l’a reconnu lui-même Pascal Lamy, directeur général de l’OMC depuis 2005, au sujet de l’AGCS (accord général sur la commercialisation des services) que promeut l’OMC : « l’AGCS est avant tout un instrument au bénéfice des milieux d’affaires »[4]. C’est ce qu’avait déjà observé dès 1985 la CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, organe de l’ONU) affirmant dans un rapport que « la libéralisation des services profitera essentiellement aux multinationales qui dominent le marché mondial »[5].
    Comment peut-on contester çà ? je ne comprends pas

  33. @Lionel, il est vrai que le temps partiel est une solution, après avoir payé la dernière traite de l’emprunt immobilier ce mois, je dépenserai moins de 900 euros par moi, taxes d’habitation et foncières comprises,aussi je débuterai un mi-temps, à partir de janvier, pour avoir plus de temps, et pour le partage du travail.

  34. Tu n’est pas venu samedi mais tu avait une bonne (sic) excuse et tu as participé par l’intermédiaire d’un très beau texte lu par JFN.

    Nous avons passé un beau week end

    Et pi z’est tout.

    Vive le loup et sa liberté

    Rémi

    repose toi bien

  35. Hello,bonjour,

    Fabrice toujours en mode pause?

    « Pose » chez un artiste peintre?
    Fille?
    Ola!Le tableau doit être immense!

    Grosses bises,Léa.

    🙂

  36. @ Eugène,
    Je crains que nous ne parlions de la même chose.

    La « critique de la valeur » ou Wertkritik dont je parle est un courant de pensée récent et très stimulant, issu de l’œuvre de Karl Marx et en construction depuis une vingtaine d’années par quelques intellectuels (notamment Anselm Jappe, Moishe Postone, Robert Kurz, Norbert Trenkle, le groupe Krisis (le groupe de théoricien Allemands qui a écrit le Manifeste contre le travail, à ne surtout pas confondre avec la revue facho d’Alain de Benoist) ) d’un chapitre du livre 1 du Capital, occulté et ignoré, zappé par les marxistes traditionnels, qui permet de comprendre et de critiquer les sociétés capitalistes dans leurs catégories de base : argent, marchandises, travail abstrait, valeur, fétichisme de la marchandise.
    Cette critique de la valeur est en rupture avec le marxisme dit « traditionnel ».
    Le niveau est assez exigeant et je n’ai pas envie de rentrer trop dans les détails ce soir mais une (très) bonne introduction est ici :

    http://critiquedelavaleur.over-blog.com/article-29196520.html

    Cela n’a évidemment rien à voir avec la valeur « naturelle » qui permet de « faire des choix » en philosophie dont vous parlez.

  37. Désolée, Marie, j’ai fait erreur sur la personne, je vois bien que contrairement à ce que vous prétendez, ça vous intéresse plus de polémiquer que de comprendre. Et ça ne semble pas vous intéresser davantage de vous faire comprendre, je n’ai rien compris à votre diatribe, sinon que le ton en était désagréable.

    Pour ma part, j’en resterai là.

  38. @Philou,

    Bravo, je suis très content pour vous !
    Je vous souhaite de bien profiter des jours de vie non vendus par votre passage à temps partiel que vous récupér(er)ez à la machine-travail.

    Pour moi c’est un critère d’émancipation humaine que de se libérer (de la totalité) du travail.

  39. « Pour moi c’est un critère d’émancipation humaine que de se libérer (de la totalité) du travail. »

    Ce n’est pas très clair mais le voulais dire de la totalité (du fait que l’économie embrasse toutes les dimensions de nos vies, soit totalisante) du travail sur nos vie, donc passer une grande part à temps partiel comme vous le faites.

    Au sujet du dépassement de la société capitaliste et donc de la sortie du fétichisme du travil et de la marchandise, je viens de lire un tract très intéressant concernant les retraites sur le blog de palim-psao :

    « Pour en finir avec le travail, la société industrielle et les illusions de la gauche »
    ici

    format .pdf :
    et là

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