Halte au feu dans le bois de Tronçay

Une nouvelle vraiment formidable : la destruction du bois de Tronçay (ici) est arrêtée. Rien n’est réglé, tout reprendra peut-être, mais pour l’heure, champagne !

logo-fne-web-little.jpgcapen.jpg

Communiqué de presse

Mardi 5 mars 2013

Bois de Tronçay : les associations arrêtent les tronçonneuses

Alors que la justice a suspendu une première fois l’arrêté préfectoral autorisant la destruction d’espèces protégées pour la réalisation d’un pôle industriel de sciage, de cogénération et granulés de bois dans la zone d’activités du Tronçay à Sardy-lès-Epiry (Nièvre), le tribunal administratif de Dijon vient de suspendre le nouvel arrêté pris par madame la préfète de la Nièvre le 31 janvier 2013 et qui autorisait le défrichement d’une partie du bois de Tronçay.

Une affaire aux multiples rebondissements

Le Conseil National de Protection de la Nature (CNPN), instance consultative chargée de rendre un avis à la ministre de l’Écologie sur les dérogations à la protection d’espèces sauvages de faune et de flore, avait émis plusieurs avis défavorables à ce projet en raison notamment de l’insuffisance des inventaires de la faune protégée du secteur et surtout au motif que ce projet de cogénération ne répondait pas à des raisons impératives d’intérêt public majeur.

En dépit de ces avis, l’administration préfectorale avait autorisé une première fois la destruction des espèces protégées. Les associations locales et FNE avaient saisi la justice et avaient obtenu le 2 octobre 2012 la suspension de l’arrêté qui portait dérogation à la protection des espèces, arguant que le projet ne relevait pas de raisons impératives d’intérêt public majeur.

Mais le 31 janvier 2013, faisant fi de cette décision de justice, la préfète de la Nièvre délivre un nouvel arrêté autorisant la destruction des espèces protégées. FNE, DECAPIVEC et Loire Vivante Allier Cher ont sollicité en urgence le tribunal administratif de Dijon. Celui-ci, le 27 février 2013, a suspendu l’arrêté préfectoral, le temps de rendre une décision évitant la destruction des espèces protégées, notamment les amphibiens présents dans ce bois humide.

Une détermination associative payante

Bien qu’il convienne d’attendre le jugement au fond, les associations accueillent favorablement la décision du tribunal. « La justice a retenu dans son ordonnance que ce projet de cogénération à partir de bois ne répondait pas à des raisons impératives d’intérêt public majeur, ce qu’avaient déjà relevé nos associations ainsi que le CNPN », indique Dominique Py, administratrice de FNE en charge du dossier Faune sauvage. « Le juge vient rappeler utilement qu’il n’est possible de porter atteinte à des espèces protégées que dans le cas où le projet se révèle indispensable et où aucune autre solution d’implantation ne convient. S’il se réalise dans le bois de Tronçay, ce projet va entraîner la destruction d’une forêt humide de 100 hectares » précise Raymond Léost, en charge du réseau juridique de FNE.

15 réflexions sur « Halte au feu dans le bois de Tronçay »

  1. Et dites-moi, Fabrice, que penser de la décision du Préfet de Martinique qui a, la semaine passée, pris un arrêté de dérogation de un an autorisant l’épandage aérien de substances fongicides et d’adjuvants et ce contre la décision du Tribunal ?
    Nous sommes terriblement affaiblis face à ce terrorisme menaçant de chômage la population si l’on suspend ces pulvérisation, les gens ont peur des pesticides, des représailles, du chômage et tout le monde se sent démuni !
    Les experts ont pourtant tous été formels, les adjuvants sont redoutables et j’ajoute que dans une région déjà mise à mal, les fongicides sont la mort annoncée des sols déjà gorgés de chlordécone pour plusieurs siècles…
    La banane doit mourir sous la forme d’exploitation industrielle, la Martinique et la Guadeloupe doivent se trouver en tête des pays écologiques modèles.
    Nous n’avons plus ni oursin, ni langouste, ni poissons de rivières qui ne soient interdits à la pêche et les poissons côtiers, crabes, coquillages sont également impropres à la consommation, les poissons de haute mer sont des prédateurs qui accumulent la chlordécone en mangeant les autres…
    Bref, «ils» sont en train de stériliser les îles afin de pouvoir détruire toute économie locale et rendre dépendante la population aux importations qui sont aujourd’hui près de 80% des produits consommés, légumes confondus ( les cultures vivrières sont en voie de disparition, donc les plats traditionnels disparaissent au profit des viandes de bœuf importées, volailles, porc, mouton, de même.
    N’oubliez pas qu’ils ont voulu faire de nos îles des départements mais que l’exploitation colonialiste en est toujours le pivot par le biais de la caste béké qui possède toute l’économie de l’arc antillais dans ses mains…
    Ce serait chouette de le rappeler au bon souvenir de vos lecteurs, si vous le désirez, je peux vous fournir quelques contacts par mail.
    Si une nouvelle démarche-recours en justice doit être faite, il faut qu’elle soit très soutenue face à un tel pouvoir quasi monarchique !

  2. Copier-collé de l’arrêté préfectoral du 1er Mars :

    PRÉFET DE LA MARTINIQUE
    Fort-de-France, le 1er mars 2013
    Communiqué de presse
    Lutte contre la cercosporiose en Martinique :
    Dérogation à l’interdiction de traitement aérien
    Compte-tenu de la gravité des maladies affectant la culture de la banane, et de leurs impacts
    potentiels, économiques et sociaux, sur les filières, le préfet de la Martinique a pris le 26 février
    2013 un arrêté portant dérogation pour un an à l’interdiction de traitement par voie aérienne des
    produits phytosanitaires homologués nécessaires à la lutte contre les cercosporioses jaune et noire
    dans les cultures de banane.
    Le dossier déposé par les producteurs de banane et l’examen de celui-ci ont conduit à constater qu’à
    ce jour, aucune alternative technique crédible ne permet encore aux producteurs de remplir leur
    obligation réglementaire de lutte contre la cercosporiose.
    Les études et essais visant à développer des méthodes alternatives aux traitements aériens sont en
    cours, mais non aboutis et ne permettent pas d’envisager des solutions de traitement terrestre
    efficaces et durables à court terme.
    Cette dérogation est limitée aux lieux-dits figurant sur la liste jointe en annexe (pour les zones
    autorisées, suffisamment éloignées des habitations et jardins, des élevages, des cours d’eau et des
    zones naturelles protégées, entre autres).
    Ce délai doit permettre aux acteurs de la filière banane de progresser de manière significative dans
    les travaux engagés pour développer le plus rapidement possible une solution efficace et réaliste de
    traitement par voie terrestre.
    Par ailleurs, l’arrêté reconduit l’obligation faite aux professionnels de contribuer aux études
    environnementales qui seraient mises en place pendant la durée de la dérogation.
    ________________________________________________________________________________
    Contact presse
    Audrey HAMANN 05-96-39-39-20 ou 06-96-28-34-42
    audrey.hamann@martinique.pref.gouv.fr
    _____________________________________________________________________________1/1

  3. Merci Jean Pierre pour ce doc, cependant je trouve qu’ils ont réussi un tour de force en ne parlant pas des terres arables, agricoles qui sont responsables de bien des pollutions en aval…
    Jusqu’à preuve du contraire, l’eau passe majoritairement pas les sols avant de se trouver dans les nappes ou les rivières.
    Les mesures annoncées ne semblent pas exceptionnelles et l’on parle surtout de « sites » remarquables, de Parcs régionaux ou nationaux, a-t-on définitivement perdu le sens de l’orientation et renoncé à produire notre nourriture ?
    La question se pose en ces termes devant un tel déni et une telle inertie; en Martinique, certes les réservoirs d’eau potable sont ( en principe ) tous équipés dorénavant de filtres à charbon retenant les molécules de chlordécone, mais pendant ce temps les terres saturées ne font qu’amplifier la catastrophe par ruissellement dans les cours d’eau et la mer, il n’y a toujours pas le moindre contrôle sur les légumes racine sauvagement importés des îles voisines et mélangés aux productions locales et vendus ainsi en grandes surfaces comme production locale…
    Les pêcheurs se mettent en colère quand on leur supprime leur source de revenus mais on les calme avec un peu d’argent en compensation sans rien régler, à ce rythme les poissons seront contaminés pendant encore des décennies, s’ils n’ont pas disparu par effet de toxicité et stérilisation pure et simple ( je rappelle que la Martinique bat le record mondial de cancers de la prostate consécutivement à l’empoisonnement public à la chlordécone, la population décline et pas uniquement par transfert. )
    Un climat tropical est connu pour sa fragilité, mais aussi pour la fertilité de ses sols et c’est extrêmement gênant pour ceux qui veulent nous faire payer jusqu’à l’air que l’on respire !

  4. Jeudi 7 mars 2013 :

    La Terre en passe de devenir plus chaude que lors des 11.300 années passées.

    La Terre est en passe de devenir plus chaude que lors des 11.300 dernières années dans les prochaines décennies, y compris selon les prévisions les plus optimistes d’émissions de dioxyde de carbone (CO2), affirme une recherche publiée jeudi aux Etats-Unis.

    Se fondant sur des analyses effectuées sur 73 sites autour du globe, des scientifiques ont pu reconstituer l’histoire des températures terrestres depuis la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 11.000 ans.

    Ils ont constaté que ces dix dernières années ont été les plus chaudes, comparé à 80% des 11.300 années passées.

    Virtuellement, tous les modèles climatiques évalués par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) montrent que la Terre sera plus chaude d’ici la fin du siècle qu’à n’importe quel moment durant les 11.300 dernières années et ce, selon tous les scénarios plausibles d’émissions de gaz à effet de serre.

    Nous savions déjà que la surface de la Terre est plus chaude aujourd’hui que pendant la plupart des deux mille dernières années; nous savons désormais que les températures sont aujourd’hui plus élevées que durant la plupart des 11.300 années passées… (période) qui correspond à l’essor de la civilisation humaine, relève Shaun Marcott, chercheur à l’Oregon State University (nord-ouest). Il est le principal auteur de ces travaux parus dans la revue Science datée du 8 mars.

    L’histoire du climat montre qu’au cours des 5.000 dernières années la Terre s’est refroidie de 0,80 degré Celsius, jusqu’aux 100 dernières années qui ont vu la température moyenne monter de 0,80 degré, avec la plus forte hausse dans l’hémisphère nord où il y a plus d’étendues de terre et une plus grande concentration de populations.

    Selon les modèles climatiques, la température moyenne globale augmentera encore de 1,1 à 6,3 degrés Celsius d’ici 2100, en fonction de l’ampleur des émissions de CO2 provenant des activités humaines, indiquent ces chercheurs.

    Le plus préoccupant, c’est que ce réchauffement sera nettement plus grand qu’à n’importe quelle période durant les 11.300 dernières années, souligne Peter Clark, un paléoclimatologue à l’Oregon State University, coauteur de l’étude.

    La position de la Terre par rapport au Soleil, notamment son inclinaison, est le principal facteur naturel qui a affecté les températures au cours des 11.300 dernières années, expliquent ces scientifiques.

    Pendant la période la plus chaude du paléocène – les 11.000 dernières années -, la Terre était dans une position qui rendait les étés plus chauds dans l’hémisphère nord, indique Shaun Marcott.

    Avec le changement de cette orientation, les étés dans l’hémisphère nord se sont refroidis, et nous devrions encore être aujourd’hui dans cette longue période de refroidissement, ce qui n’est pas le cas, ajoute-t-il.

    Et toutes les études s’accordent à conclure que le réchauffement de ces 50 dernières années résulte des activités humaines et non de phénomènes naturels.

    http://www.romandie.com/news/n/_La_Terre_en_passe_de_devenir_plus_chaude_que_lors_des_11300_annees_passees_RP_070320132117-12-330311.asp

  5. Bonsoir,

    Round 2 : qu’est ce qu’on veut ? Du gaz et du pétrole de schiste dans nos jardins ? On l’a dit en 2011, on l’a dit en 2012 : Les gaz et pétroles de schiste, ni ici, ni ailleurs, ni aujourd’hui, ni demain !

    A faire circuler s’il vous plait, parce que ce n’est pas une blague !

    => Nous demandons l’arrêt des travaux de forage sur le permis de Mairy.

    Quand seriez vous prêt à vous mobiliser pour dire aussi clairement NON aux Gaz et Pétrole de schiste à Hollande qu’à Sarkozy ?

    Les gaz et pétrole de schiste, ni ici, ni ailleurs … mais dans le bassin parisien, oui ?

    Pour nous dire si oui ou non vous pourrez être présents :

    Cliquer sur le lien suivant : http://framadate.org/vtnk748vf52yt6k1
    Indiquer en saisissant votre nom dans la colonne de gauche et en cochant les journées du tableau où vous pourriez être là
    Puis valider en cliquant sur la croix verte au bout de la ligne.

    Le 24 février 2013 19:58, JD a écrit :

    Bonjour,

    Alors qu’un forage est en cours dans le bassin parisien, d’autres se préparent à côté de Doue (la Brosse [1]) où nos actions et nos mobilisations de 2011 avaient réussi à stopper les projets du gouvernement Fillon et de Borloo.

    En février 2013, les affaires reprennent pour les pétroliers [2]

    Nous projetons de marquer notre présence lors d’une mobilisation parisienne (en Ile de France) , serez vous des notres ?

    Les gaz et pétrole de schiste, ni ici, ni ailleurs … mais dans le bassin parisien, oui ?

    Pour nous dire si oui ou non vous pourrez être présents :

    Cliquer sur le lien suivant : http://framadate.org/vtnk748vf52yt6k1
    Indiquer en saisissant votre nom dans la colonne de gauche et en cochant les journées du tableau où vous pourriez être là
    Puis valider en cliquant sur la croix verte au bout de la ligne.

    On l’a dit en 2011, on l’a dit en 2012 : Les gaz et pétroles de schiste, ni ici, ni ailleurs, ni aujourd’hui, ni demain !

    [1] Forage de recherche la Brosse : http://colfertois.canalblog.com/archives/2013/02/12/26396493.html
    [2] Forage Hess dans la marne : http://www.petrole-bassin-parisien.fr/jour-apres-jour/


    Jérémy Dotti
    ~ jeremy.dotti1@gmail.com~

  6. Je sais… Les problèmes des uns n’étant pas toujours ceux des autres, ils ne font pas recette !
    Lorsqu’un problème s’avère trop aigu la psychologie élémentaire nous pousse à le nier.
    Comme l’a dit si bien Primo Lévy, « On ne peut croire une chose qui nous paraît impossible… ».
    Les questions de pouvoir immodéré sont notre problème à toutes et tous, les implications en sont des crimes contre l’humanité et le vivant comme les épandages de pesticides interdits pour le simple profit.
    La question de la Chlordécone en est une des plus sinistres illustrations, cette molécule, interdite aux États Unis à été rachetée à vil prix et sous un autre nom a été commercialisée aux Antilles françaises pour préserver des intérêts énormes que représente la filière banane ( seconde production mondiale fruitière ) et ramasser des profits substantiels aux dépends de la quasi totalité des populations.
    Je ne m’étendrai pas sur les dégâts, ils sont innombrables et vous pouvez consulter le net.
    Je regrette qu’aussi peu de personnes donnent leur avis sur une question sanitaire aigüe ayant des répercussions à très long terme tandis que trop peu se battent ( au propre comme au figuré ) pour que cessent de telles pratiques avec d’autres molécules dont personne ne connaît les produits de dégradation et les synergies.
    Que puis-je dire de plus ?
    Vainement que cela peut arriver dans n’importe quelle région de France et que la détresse des gens est proportionnelle au manque d’attention des autres…

  7. Hors sujet mais on reste dans la forêt et la connerie humaine …

    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-19956QE.htm

    14ème législature
    Question N° : 19956 de M. Julien Aubert ( Union pour un Mouvement Populaire – Vaucluse ) Question écrite
    Ministère interrogé > Agriculture, agroalimentaire et forêt Ministère attributaire > Agriculture, agroalimentaire et forêt
    Rubrique > chasse et pêche Tête d’analyse > réglementation Analyse > photographes
    Question publiée au JO le : 05/03/2013 page : 2379
    Texte de la question
    M. Julien Aubert appelle l’attention de M. le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt sur les difficultés soulevées par la coexistence de chasseurs et de photographes dans les forêts domaniales. Le camouflage des photographes crée des risques importants d’accident, ce qui pourrait justifier l’obligation pour les photographes de porter un gilet permettant aux chasseurs de les identifier et la possibilité pour l’Office national des forêts de verbaliser les contrevenants. De plus, certains cycles naturels des animaux, par exemple le brame du cerf, sont perturbés par la présence de photographes la nuit. Il conviendrait donc de conditionner la possibilité de prendre des photographies au respect de certaines conditions réglementaires. Il lui demande quelles mesures pourraient être envisagées dans ce domaine.

  8. Dimanche 10 mars 2013 :

    Le scénario noir du nucléaire : 5 800 milliards d’euros pour la France.

    Un rapport confidentiel de l’IRSN estime que le cas extrême d’un accident majeur en France coûterait jusqu’à 5.800 milliards d’euros. Bien loin des estimations publiées en février.

    La peur du nucléaire flotte encore dans toutes les têtes. Deux ans après l’accident de Fukushima, 42% des Français se disent inquiets des 19 centrales nucléaires dans l’Hexagone, selon un sondage Ifop pour Sud-Ouest Dimanche.

    Samedi après-midi, plusieurs milliers de manifestants antinucléaires (20.000 selon les organisateurs, 4.000 selon la police) ont formé une vaste chaîne humaine dans les rues de Paris. Cet anniversaire survient en plein débat sur la transition énergétique qui doit déterminer les moyens de réduire de 75% à 50% la part du nucléaire dans la production d’électricité.

    Le JDD dévoile des estimations inédites sur les conséquences d’un accident majeur.

    En 2007, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) avait évalué une série de scénarios catastrophe sur la centrale de Dampierre, dans le Loiret. Dans ce rapport que nous nous sommes procuré, le coût du « cas de base » atteint 760 milliards d’euros. Celui d’une situation extrême s’envole au niveau pharaonique de 5.800 milliards, l’équivalent de trois années de PIB.

    http://www.lejdd.fr/Economie/Actualite/Exclusif-JDD-le-scenario-noir-du-nucleaire-595593

  9. Les « écologistes » et les centrales nucléaires.

    Quel coût si ça pète ?

    Fourchette: 760 à 5800 milliards d’euros.

    Ben moi Je suis vachement rassuré. Si ça pète, ce sera juste une histoire de fric.

  10. ce n’est pas fini,Adret Morvan va au pénal……..et surtout cela va bouster les autres petites assoces isolées qui se battent aussi pour des milliers d’hectares,les coupes a blanc sont partout et la foret française tombe et le reste, c’est a dire la vie sauvage de la mousse aux especes endémiques,qui y vivent,soyons vigilant partout les privés se laissent intimider pour défiscalisation ,ISF,des coupes a blanc de leurs forêts.

Répondre à Lionel Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *