La machine fait la loi

Nous sommes dimanche dans la soirée, et je vous écris d’une boutique improbable, plantée au milieu de la banlieue parisienne. Amis du glauque, bonsoir.

Je suis désolé, mais ma machine m’a abandonné pour des raisons qu’elle est seule à connaître, et avant l’intervention d’un technicien – hautement qualifié, j’imagine – lundi après-midi, je ne puis plus vous adresser de message.

Dommage. Je voulais vous parler de mes démêlés avec Greenpeace – cela continue – et d’un évêque brésilien du Nordeste, lancé dans une grève de la faim pour défendre un fleuve. Bon, j’imagine que ce n’est que partie remise. On se revoit dès que le matériel aura retrouvé ses esprits. Adelante !

2 réflexions sur « La machine fait la loi »

  1. Les ordinateurs assez récents contiennent des applications (basées sur des algorithmes d’intelligence artificielle) capables de s’adapter à l’utilisateur et de l’aider.
    Informé par votre article « L’ampère contre-attaque » des implications du système informatique mondial dans l’émission des gaz à effet de serre, l’une de ces applications est probablement entrée en cycle PES (Partial electronic shutdown). Ce cycle consiste à bloquer le démarrage de la machine 3 jours par mois afin d’aider un utilisateur soucieux des questions d’environnement, à réduire son empreinte écologique.
    Cordialement.

  2. c’est vrai rémi, tu as raison , parler de l’environnement sur ordi consomme de l’électricité .C’est bien que tu te sentes concerné toi aussi par les problèmes environementaux , car ce qui se passe est gravissime, si ton ordinateur te sers aussi à te renseigner et à informer, quand tu n’agis pas en dehors, bravo ! tu es un vrai humaniste ! Bien entendu, ce doit être calculer avec l’ensemble de tes consomations courantes (de proximité, équitable, pauvre en énergie donc un minimum d’éléctroménager..) .tu imagines, si on avait su investir les budgets les plus importants dans la recherche, l’astronomie, la médecine et ce éthiquement, comme nous serions loin aujourd’hui ? Comme nous vivrions bien sur cette belle planète qui compte aujourd’hui plus d’un milliard d’affamés pendant que les gens font karaoké devant leurs écrans plats ? Rêve un peu rémi

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