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Je vous avoue que je n’en aurais pas parlé spontanément. Vincent Cheynet, patron de choc du journal La Décroissance m’attaque dans la dernière livraison avec une haine qui m’a fait balancer entre la stupéfaction et le rire. Oui, croyez-moi, et pour des raisons profondes, je sais rire des choses tristes. Par chance. Je ne lis pas La Décroissance, mais une amie m’a transmis le texte au format PDF, empli jusqu’à la gueule de sornettes, d’inventions, de mensonges divers, sans être variés.
Ma foi, je vous jure que j’en serais resté là, car je sais trop bien que les Cheynet prennent un immense plaisir dès que l’on prononce leur nom. Mais cette fois, par extraordinaire, il semble être allé trop loin. Et je reçois à l’instant une lettre que je considère comme de soutien, signée comme vous le verrez par des gens longtemps proches – pas tous – de Cheynet. Paul Ariès lui-même prend parti, et j’en suis fort content. À tous, merci.
Lettre ouverte à Vincent Cheynet et au journal La Décroissance”
Un journal appartient aussi à ses lecteurs et à ses auteurs. Surtout lorsque le titre a choisi de porter le nom générique d’un mouvement d’idées ambitieux. Nous pouvons avoir des différends politiques entre nous et avec des représentants d’autres sensibilités proches, mais les anathèmes entre objecteurs de croissance nous desservent collectivement. Cette forme de violence n’appartient pas à la culture de la décroissance.
Nous nous déclarons donc solidaires des compagnons de route de la décroissance qualifiés d’écotartuffes. Non, Patrick Viveret et Fabrice Nicolino ne sont pas des écotartuffes. Ces deux dernières affaires ne sont pas isolées. Combien reste-t-il des fondateurs initiaux de La Décroissance ? Le mensuel la décroissance, qui peut apporter encore beaucoup, ne doit plus
confondre la nécessité de faire dissensus avec le capitalisme et le productivisme, ou la nécessité de critiquer, comme il sait le faire, les adorateurs de la croissance, et la pratique du sectarisme.
Il doit accepter le débat avec et entre toutes les sensibilités de l’objection de croissance et de l’écologie anti-productiviste. Nous sommes convaincus que ce n’est qu’au prix de cette mutation que le journal La Décroissance pourra regagner de l¹influence, ce que nous souhaitons.
Liste des signataires :
Paul Ariès
Geneviève Azam
Jean-Claude Besson-Girard
Agnès Sinaï
Jacques Testart
Jean Gadrey
Serge latouche
Bertrand Méheust
J’avoue, en lisant ce passage du dernier numéro de « la décroissance », je me suis dis « tellement de choses à dire sur la décroissance », tellement d’idées méconnues à faire connaître, tellement de connards à attaquer (les scientistes, écolo show bizz, libéraux socialistes, extrême gauche, extrême droite etc…) que voilà une dispute sur des polémiques d’égo. Comment faire autrement pour discréditer le mouvement? »
J’ai donc trouvé cet encadré puéril!
Bonjour Fabrice,
Je suis un lecteur abonné de la Décroissance et j’ai été effectivement très peiné voire scandalisé du texte de Vincent Cheynet.
J’avoue apprécier ce journal (même parfois dans ses excès), j’approuve aussi la ligne éditoriale de VC, mais je ne comprends pas cette haine à votre encontre qand bien même j’ai un peu suivi votre différend via votre Blog.
J’attendais même par pure naïveté sans doute un petit article sympa sur votre dernier livre qui me paraît en phase avec ce que j’ai lu dans ce journal sur le contre grenelle.
Bref, ce texte est vraiment choquant et montre bien que les grandes et belles idées (décroissance, sobriété, humanisme) ne peuvent rester que des concepts si l’exemplarité n’est pas de mise.
Je continuerai toutefois à lire ce mensuel, mais ce texte restera longtemps une ombre au tableau.
Merci aux signataires d’avoir réagi pour nous redonner du baume au coeur.
« Ne pas discréditer le mouvement ». Je l’adore, celui-là, de lieu commun.
En langage militant cela veut dire : rester dans le rang, ne pas parler des sujets qui fâchent, ne pas émettre d’idées trop personnelles, réfléchir aux conséquences (toujours mauvaises) avant d’exprimer les faits, ne pas briser cette belle unité bêtasse faite de sourires entendus, de fausses complicités(complicité dans la chute, dirait Daumal)qui rend si pesante la compagnie des citoyens responsables.
Cela veut dire : maintenir en soi et chez les autres ce qui fait le meilleur terreau de tous les rackets politiques, le conformisme, le goût de se sentir accepté et approuvé par ses pairs, et les autres on les emmerde.
Cela veut dire : les affaires avant tout, discipline, tous ensemble et tous derrière.
Cela veut dire : isolement, fausse conscience, refus de se confronter à ce qui dérange, refus du monde, refus de la vie.
Et en langage mafieux, cela s’appelle simplement : omerta.
Ce papier de Vincent Cheney me désole et me renforce dans l’idée que nous ne sommes vraiment pas sortie de la merde avec ces querelles picrocholines.
Serge Latouche, Jean-Claude Besson-Girard, Jacques Testart, Paul Ariès, Genevieve Azam…
Eh bien, mes respects.
Ce sont des gens d’une grande sensibilité, d’une grande culture, des empêcheurs de penser en rond que j’estime (par ordre décroissant) et apprécie autant que Fabrice Nicolino.
Et que je range avec d’autres non moins excellents Anselm Jappe, Gilbert Rist, Guillaume Carnino / Cédric Biagini, Fabrice Flipo ou PMO (Pièces et Main d’Oeuvre)…
Il ne m’est donc pas surprenant qu’ils te soutiennent.
Ca fait quelques temps que je ne peux plus lire ce journal d’un sectarisme affligeant et d’une méchanceté gratuite inacceptable.
C’est un article très violent. Haineux. Y compris pour les lecteurs de ce blog. Comme tout à coup je me suis dis que je pourrais tout à fait appartenir au peuples des larves anonymes simplement parceque j’accorde de l’importance au sens de la nuance, et bien j’adresse à son auteur une fleur des champs. Une très jolie orchidée. Elle s’appelle ‘Himantoglossum hircinum’. Tant pis pour l’air de son salon ! Si ça ne lui plait pas elle sera ajoutée au bûcher des vanités. On peut juste espérer que la lettre collective servira d’extincteur sans laisser de braises sous les cendres.
Lors d’une conférence organisée par Attac à Lille samedi dernier, Paul Ariès a effectivement pris ses distances avec les attaques (réitérées) du journal contre Patrick Viveret et Fabrice Nicolino, exactement dans les termes de cette lettre ouverte.
Il a par ailleurs raconté à l’auditoire qu’il n’était pas d’accord avec le terme de « décroissance » lorsque le mouvement a été lancé, mais qu’il s’est finalement rangé à l’avis de la majorité et qu’il ne regrette pas ce choix aujourd’hui.
Copie de la lettre adressée à la decroissance
Fabrice Nicolino ecotartuffe?
Surprise de trouver Fabrice Nicolino traité d’ecotartuffe dans le mensuel « La Decroissance », journal que j’apprécie par ailleurs pour sa radicalité. Certes les relations de Fabrice N. avec la Decroissance et avec Vincent Cheynet sont mauvaises, c’est le moins que l’on puisse dire, mais de là à régler ses comptes en traitant d’écotartuffe l’auteur d’ouvrages excellents tel que « Pesticides -révélations sur un scandale français », ou ceux qui ont dénoncé avec vigueur les biocarburants dans « La faim, la bagnole, le blé et nous », ou encore la « bidoche- l’industrie de la viande menace le monde », c’est vraiment gros.
Ces ouvrages touchent un public large, grace c’est vrai au fait que l’auteur est invité dans des emmissions importantes, mais n’est-ce pas le but si on veut depasser le cercle des convaincus? Lorsque Stéphane Lhomme est interrogé sur un média j’en suis content, et lorsque je suis sollicité dans ma région, je ne me dérobe pas non plus.
Au delà de l’animosité entre Vincent C. et Fabrice N. il y aurait-il pour Vincent de la jalousie face aux succès de librairie d’un « concurrent »? En tout cas c’est une faute d’avoir réglé ses comptes de cette façon.
Pour ma part je continuerai à préparer les rencontres internationales des 26-27-28 aout sur les gaz de schiste et les énergies avec Fabrice Nicolino, et… je continuerai à lire avec intérêt les prochaines livraisons de la Decroissance.
Pierre Péguin, militant associatif.
(Pour mettre plus de poids à ce texte je précise que, j’ai quitté ma carrière scientifique universitaire à peu près aboutie à la quarantaine, pour m’installer dans les Cevennes comme apiculteur en mention Nature et progrès, je suis maintenant retraité de ces deux carrières successives).
Lorsque j’ai lu cet article dans « la décroissance », je me suis dite que Cheynet était consciemment de mauvaise foi, et que malgré ses propos ,il ressortait ,je trouve,une admiration de gosse envers Fabrice Nicolino.
En tout cas; les autres lui lancent un signal fort !
Peguin Pierre le 18 mai 2011
Bj pour info:
Parties prenantes des collectifs Stop aux gaz de schiste ardéchois et rhodanien, la FRAPNA Haute-Savoie et Les Amis de la Terre vous invitent à assister à une séance débat :
Ce vendredi 20 mai – 20h30 à La Turbine (Cran Gevrier)
Projection de « Gasland » – Film documentaire de Josh Fox
En présence d’Eric Féraille – Président de l’Union Régionale FRAPNA
> plus d’infos en PJ
Nous vous invitons à considérer l’importante problématique de l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste sur notre territoire national et notre département en particulier, ainsi que la gravité de son impact sur l’environnement.
> N’attendez plus ! Rejoignez-nous pour la création d’un collectif local.
> Ou soutenez-nous et diffusez largement…
Restons vigilants ! La proposition de loi initiale déposée en mars dernier par Christian Jacob, député UMP demandait l’interdiction de l’exploration et de l’exploitation des hydrocarbures de schiste. La version modifiée et adoptée mercredi 4 mai par la commission du développement durable de l’Assemblée nationale ne vise plus désormais que la technique de la fracturation hydraulique et supprime l’abrogation automatique des permis exclusifs de recherche…
mon dieu quell dérision que toutes ces histoires franco françaises …essayons de voir de sirius.. pendant ce temps-là en tr’autres: 45 p 100 des papillons européens en voie d’extinction: bravo à tout le monde pour se mobiliser ensemble sur ces sujets: ENSEMBLE. http://www.lastampa.it/lazampa/girata.asp?ID_blog=164&ID_articolo=2126&ID_sezione=339&sezione=News
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/l-affaire-dsk-un-troussage-de-domestique-kahn-s-excuse_994399.html#xtor=AL-447
Ou monsieur JFKhan dit » aff. dsk? un troussage de domestique! »!
c’est énorme!
A propos de la FRAPNA :
» La FRAPNA Ardèche participe à plusieurs commissions départementales préfectorales :
Le Conseil Départemental de l’Environnement et des Risques Sanitaires et Technologiques (CODERST)
La Commission Départementale des Carrières (CDC) de la Nature, des Paysages et des Sites (CDNPS)
La Commission Départementale d’Orientation Agricole (CDOA)
La Commission Départementale de l’Action Touristique (CDAT)
La Commission Départementale de la Chasse et de la Faune Sauvage (CDCFS)
Nous sommes aussi présents dans diverses commissions et comités de pilotage :
La Commission Départementale des Espaces, Sites et Itinéraires (CDESI)
La Commission Locale de l’Eau,
La Commission Locale d’Information (CLI) de la centrale nucléaire de Cruas,
La Commission Locale d’Information et de Surveillance (CLIS) des décharges de Grospierres et Lavilledieu,
La Commission Locale de Concertation et d’Information (CLCI) de l’usine CECA de St Bauzile… »
C’est à dire typiquement le genre d’intitutionnels que nous devrions d’ores et déjà considérer comme des ennemis, ou en tout cas des gens avec lesquels on ne parle pas. Parce que le suivi « citoyen » des forages « expérimentaux », « sous le contrôle de la puissance publique », ce sont des institutions comme la FRAPNA qui vont l’assurer. Ce genre « d’associations environnementales » qui ne sont ni plus ni moins que des relais et des cautions de la « puissance publique »… C’est-à-dire, comme on disait autrefois, des « alliés objectifs » de l’Etat et des industriels dans la destruction du vivant.
Il y a des CLIC qui méritent des claques…
J’ai eu l’occasion plusieurs fois de lire cette feuille de choux et, franchement, je n’ai pas eu envie de l’acheter et, encore moins de m’y abonner. J’ai eu l’occasion une fois de dire sur mon blog ce que j’en pensais, et c’est exactement le reflet de ce qui vient de se passer : un sectarisme insupportable.
http://c.lab.over-blog.com/article-23173781.html
J’aime bien le journal la décroissance mais je déteste Vincent Cheynet et sa politique haineuse.
En gros il reproche à Nicolino d’être un journaliste parisien, de publier dans Télérama (Mon dieu quel horrible acte envers l’écologie), de l’insulter (insulter Cheynet fait du mal à la planète) et comble du comble d’avoir un blog 100 % tenu par un Homme (si vous saviez comme j’ai ri).
J’aime bien ce journal mais si cette haine conduit Cheynet à être seul journaliste de son journal, alors ce sera vraiment bien fait pour lui…
cette maladie a un nom ?
la filipvalite ?
Je n’ai pas compris en fait…
Si vous essayez d’être drôle, rendez au moins votre humour compréhensible pour que je puisse rire avec vous.
PhilR,
Je vais tâcher de vous aider, même si je ne suis pas dans la tête de JG. Je crois qu’il parle de Philippe Val, passé de Charlie-Hebdo à la Sarkozye par le biais de France-Inter. Mais il me démentira peut-être… Bien à vous,
Fabrice Nicolino
Autant pour moi… C’est une agressivite aiguë pour moi…
désolé pour le manque de clarté …
on pourrait appeler ça la « melonite » aussi
un rédacteur en chef qui a les chevilles qui enflent et la raison qui s’égare, ça ressemble étrangement à l’histoire de Philippe Val il n’y a pas si longtemps, non ?
Affligeant cet article de V. Cheynet, surtout pour lui. Sur Bifurc, une lettre d’appui à Clément Wittermann qui milite politiquement pour la « décroissance ». Que les hommes de bonne foi s’écoutent, qu’ils amplifient l’exigence de changement radical tant de nos façons de vivre que de nos façons de penser le monde.
Je viens de lire l’article de Cheynet (toujours se documenter avant de juger) et je pense qu’il y 3 niveaux dans cette affaire:
1)Une critique du passage de Nicolino dans les médias, ce qui me semble injustifié. Quand on veut populariser une cause encore faut-il essayer de la médiatiser sans l’édulcorer.
C’est grâce au passage de F. Nicolino à la radio que j’ai connu, acheté et lu son bouquin.
Nicolino : 1 point
2)Une mise en cause de son attitude journalistique à travers son absence au Contre-Grenelle 3, d’autant plus injustifiée que Nicolino dénonce, à juste titre, la fumisterie qu’est le Grenelle.
Cheynet: 1 point
3)Un règlement de compte entre deux personnes qui se connaissent. Et qui, visiblement, fait écho à des faits personnels que les deux intéréssés sont seuls à connaître. Donc un lavage de linge sale en public.
0 points pour les deux…
Résultats => A mon avis, les torts sont partagés…
(jg le mal est pour moi ça m’apprendra à réfléchir la prochaine fois…)
Itrobat,
J’ai eu exactement la même opinion qui est la vôtre suite aux différends de Juin 2010, à la suite de laquelle je partageais les torts de chacun.
Mais la ça en devient grave c’est que cet article n’a plus rien à voir avec la décroissance ou l’écologie mais relève tout simplement de l’attaque personnelle gratuite. Si Cheynet veut régler ses comptes avec Fabrice, qu’il le fasse de manière personnelle…
On peut maintenant comprendre à travers cet article que Cheynet se considère comme le seul porteur du mouvement de la décroissance, un peu comme un Président qui n’a jamais été élu…
Je vais continuer à acheter la décroissance parce que je considère ne pas devoir arrêter de l’acheter à cause de 2 articles par mois… Mais si cette haine et cette rancune continuent, je ne vais pas tarder à cesser de l’acheter.
rappelons que la décroisance c’est schumpeter, Georgescu Roegen (La décroissance), Ellul..et un autre dont le nom m’échappe ; je note avec déplaisir que ces messieurs les citent très rarement, ces pères créateurs .
Ha les egos…
Le problème véritable de cette affaire, c’est que Paul Ariès utilise ce prétexte pour régler ses comptes (qui, croyez moi, n’ont rien à voir avec la décroissance !) et manipule des grands noms de la décroissance (ces grands noms oubliant que « la décroissance » est un journal d’opinions, et qu’ils ont le droit d’être cons par moment !) C’est le plus gros tirage en kiosque (du mouvement) et ça fait des jaloux.
Apprenons à rire de nous même, et méfions nous des apparences…
je n’ai pas lu ladite de chose de Cheynet, et ne souhaite pas:il est incapable de changer, à répéter toujours les mêmes erreurs
il est vrai que j’étais abonnée à « la joie de haine » on va dire et que j’ai failli finir endoctrinée – JE L’AVOUE -, à tirer sur tout ce qui bouge;
il utilise dailleurs largement ses slogans issu du monde publicitaire… il faut dire qu’il est allé à bonne école; peu importe
ce qui m’intéresse par contre de signaler, outre le fait que Paul Aries devrait faire dorénavant attention à ses fréquentations, c’est que Cheynet utilise aussi la rumeur et la propagande, le mensonge, tout simplement, choses qu’il reproche si bien aux autres: il utilise les mêmes méthodes, les mêmes ficeles, dans le sens où les « détails » sont finalement TRES symptomatiques de bcp de choses: dans une de ses « critiques » a-investigatrice (pour changer) de Dictature Verte, il dit: » le seul intérêt de ce livre, ponctué de propos homophobes et », alors qu’UN SEUL passage, pour les tordus embusqués, pouvait se référer à ce que d’entre certains nomment l’homophobie… je ne suis pas toujours d’accord avec Michel Tarrier, qui lui sait EVOLUER, mais je ne supporte pas les menteurs de la forcément petite envergure de Cheynet: il n’est pas un journaliste d’investigation, et il n’arrive certainement à la cheville érudite et rédactionnelle de l’auteur en question; son copain thomas me ddait dailleurs, narquoisement, des références à ce sujet, par mail, que j’ai gardé (… sinon ce serait effectivement de la diffamation, l’essentiel étant de savoir de quoi l’on parle)
je crois que ceux qui traitent les autres de « jaloux », feraient mieux de revoir leur copie, déjà…
Cheynet n’aime pas que l’on touche à SA « décroissance », qui lui appartient corps et âme, véritable CHASSE GARDEE, et utilise et sur utilise le statut de victime à toutes les sauces, et parle, crie et vocifère qu’on l’ « insulte »;
par contre, lui, quand il traite les autres de « fossoyeur » et autre, il n’insulte personne…
encore un charmant personnage, qui prend malin plaisir à bcp « trop » distiler un fiel, et en loccurence un mensonge au moins: ce n’est pas la cause qui fait la valeur d’un homme, un vrai
encore un charmant personnage, qui prend malin plaisir à bcp “trop” distiler un fiel. …
et qui fait avancer le schmilblic! qu’il aille prendre des leçons de vie poitique et sociale avec Grillo!
Le comble est que ce journal (La Décroissance) arbore la devise suivante « Le journal de la joie de vivre » alors que ses colonnes distillent régulièrement la méchanceté à l’égard de celles et ceux qui lui sont proche. Ne parlons même pas de ceux qui ont l’audace de dire que la question de la croissance démographique annihilera tous les efforts de réduction de la consommation.
bonjour
mais on t ‘il tous signer ce texte , quel est cette manipulation de celui qui il y as pas si lontemps été d’ accord pour metre en cause fabrice nicolino
il y as l’ arbre et la foret , il faut vérifé les sources ,
cdlt
yves
D’accord avec votre billet. Je ne comprends pas l’attitude de Vincent Cheynet qui continue ses attaques agressives, sans arguments constructifs, contre des personnes dont les idées ne sont si éloignées du thème de la décroissance (Dominique Meda, Yves Paccalet, etc.). Au lieu de renforcer les liens qui rassemblent, il semble prendre plaisir à insister sur tout ce qui sépare. Pire, il s’en prend directement aux personnes avec des termes bien peu propices au débat (nazi, bête, idiot, écotartuffe, etc.). Ses 10 ans chez Publicis comme directeur artistique l’ont sans doute trop formaté.
Bonjour Fabrice,
je ne vous connaissais pas il y a deux heures et je viens d’acheter le journal « la décroissance » , j’aime bien savoir à qui j’ai affaire ,donc j’ai consulté « vincent cheynet » sur internet , ce chemin m’a mené jusqu’à vous .
Meme s’il est « spécial » ,ce monsieur m’aura permis de vous lire , je commence seulement et c’est passionnant , vous mettez en mots le parcours politique que j’ai vécu depuis mon plus jeune age , je me sens moins seule dans ma campagne .
Je suis fille d’ouvrier stalinien ,enseignante à la retraite et j’ai appris très tot à flairer la présence des « stals » dans les réunions politiques et syndicales .Je pourrai illustrer vos propos par de nombreux exemples au quotidien et aussi montrer que nos jeunes fuient les groupes politiques qui enferment les gens .Le point faible de ces chefs c’est le débat démocratique ,le vote d’assemblées citoyennes et le contrôle citoyen . je m’arrete là pour ce soir . Merci pour vos écrits .