Alerte rouge pour les Indiens de Sarayaku

Je me fais le messager, car il y a urgence. J’ai consacré deux articles au sort des Indiens de Sarayaku, en Équateur (ici le premier, et surtout le second). L’Équateur est dirigé par Rafael Correa, grand ami de Mélenchon, qui le soutient toutes les trois phrases. Vérité en France, grand désastre en Équateur. Vous trouverez ci-dessous un appel des Indiens, qui redoutent – j’espère qu’il ne s’agit que d’une fausse alerte – une intervention des ganaches de gauche contre leur splendide territoire. Rude début de journée.

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7 réflexions sur « Alerte rouge pour les Indiens de Sarayaku »

  1. à Arno:
    1/ Les êtres humains SONT des animaux (des mammifères pour être plus précis)
    2/ Comme je pense que tu fais allusion aux autres animaux, sache je ne partage pas du tout, mais alors pas du tout, ta conception de la relation avec eux et je crois que tu as encore beaucoup à apprendre (compassion, empathie,…) de ces autres animaux pour lesquels tu sembles n’avoir que mépris et dont aucun ne mérite d’être traité de la façon dont tu parles. Désespérant, effectivement

  2. Bonjour,

    Du coup, c’est vous qui manquez d’empathie, en houspillant Arno.

    Moi aussi puisque je me permet de vous houspiller!

    🙂

    A ce train là, plus rien n’est clair, que le dernier ferme la porte!

    Merci Fabrice pour le sujet.

    Bien a vous toustes,

  3. Et pendant ce temps, alors que le monde s’écroule, heureusement, une société française a mobilisé une équipe de 20 personne pendant 3 ans pour trouver… une manière d’éviter que l’argent ne noircisse. Et ils ont trouvé ! Bravo ! Hourrah !
    Et France Inter de relayer cette extraordinaire nouvelle dans son journal de 13 heures comme s’il s’agissait d’un pas de géant pour l’Humanité ! (avec joli coup de pub au passage).
    A mourrir de rire… et surtout de rage et de colère !

  4. A Fabrice,

    Merci à toi « le messager ».

    Quant à moi, aussi, lorsqu’il ne me restera plus qu’une dent branlante contre la société, je me ferai appeler « piero » et houspillerai en permanence ma chienne, fictive, « Croissance », de bonne à rien. De « L’ULTIMO PASTORE ».

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