samedi 25 mars, 14 heures, France-Inter

 

Je suis désolé d’être si constamment ailleurs qu’ici. C’est grâce à un lecteur, François N., que je reprends provisoirement mes esprits. Demain, samedi 25 mars, je serai au salon du Livre de Paris, sur le stand de Radio-France, puis celui de mon éditeur, Les Liens qui Libèrent. À 14 heures, direct sur France-Inter, au cours de l’émission CO2 mon amour. Si vous traînez dans les parages, je serai heureux de vous saluer.

14 réflexions sur « samedi 25 mars, 14 heures, France-Inter »

  1. Dommage, Paris est bien loin, mais je vous écouterai à la TSF :-)) !
    Bon courage pour cette journée, et un gros écho pour vos livres (je viens tout juste de commencer « Ce qui compte vraiment »).

  2. Bonne émission
    Nous sommes tous avec vous.
    Je fais la promo de votre livre à chaque occasion. Merci pour votre œuvre et pour qui vous êtes.

  3. Super nouvelle pour France Inter cet aprème mais aussi pour le site @rrêt sur images qui nous signale :

    « Un nouveau venu, sur le site, cette semaine : Fabrice Nicolino, journaliste spécialisé dans l’écologie. Il viendra régulièrement nous signaler, en vidéo, des sujets délaissés par les medias. Pour sa première chronique, il a choisi de revenir sur la sécheresse dans le département français de Mayotte (silence dans les medias) et, pire encore, dans l’archipel des Comores (silence redoublé). Sa chronique est ici (2). »

    http://www.arretsurimages.net/chroniques/2017-03-22/Secheresse-a-Mayotte-et-aux-Comores-Nicolino-brise-le-silence-id9690

  4. Bonjour,
    je viens de vous écouter dans Co2 mon amour, merci pour vos positions qui m’ont boulversées et m’ont amener jsuqu’ici,
    je suis une paysanne en lutte pour une collègue, la situation est très grave et urgente et j’ai pensé que vous pourriez peut être nous aider,
    Je pourrai vous expliquer si vous m’appellez au 06.22.21.51.38
    Merci infiniement par avance,
    Emilie JEANNIN

  5. J’ai ecoute l’emission CO2 mon amour (internet a du bon quand meme) et la conversation Nicolino-Halle-Saporta est tres stimulante!En attendant de lire « Ce qui compte vraiment », bientot… S’il a fallu tout le 18ieme siecle pour « demonter l’imaginaire de la royaute » (et surtout inventer un autre, plusieurs autres imaginaires) ou en est-on dans le demontage de l’imaginaire de la separation homme/nature? Depuis plus d’un siecle bien sur, mais en fait vraiment depuis 50 ans seulement. A ecouter Fabrice Nicolino, j’ose esperer qu’on n’est plus tres loin d’une vraie revolution, celle qui nous fera voir notre vrai visage humain lorsque nous nous tournons vers la nature.

  6. Immense bravo à toi Fabrice pour ta promo du livre (CO2, Salon du livre, etc…) mais aussi, pour ces chroniques sur internet avec arrêt sur image : je viens de diffuser à des amis qui connaissent bien Mayotte.
    Encore une fois, tu montres la voie : être présents partout, essayer d’occuper tous les espaces possibles pour rendre audible ce que nous avons à dire.
    A chacun d’entre nous de faire tout ce qu’il peut dans ce sens : parler, témoigner, diffuser, relier.
    Hier en Ardèche, conférence débat de Frédéric Jacquemart sur un programme mis en place par la FRAPNA Ardèche : « LA METAMORPHOSE CULTURELLE pour la démocratie réelle » !
    Très intéressant, présence de l’association des jeunes naturalistes en nombre, discussions intenses sur les questions forestières. Ca continue avec un RV en avril et un autre en automne…
    Aller, fissa, je monte au Col, c’est la période du passage des Balbus (zards pêcheurs), faut pas rater ça ici !

  7. Lu cet après-midi un article où un linguiste utilise l’expression « destruction climatique », qui implique des actes dont l’humain est responsable, plutôt que « réchauffement » ou « changement », qui selon lui peuvent laisser croire à une dynamique sans influence humaine.

    Bien d’accord avec lui, les mots que nous employons ne sont pas anodins.

  8. Bonjour Fabrice,
    Vraiment ravi de t’avoir rencontré hier, et également merci pour les dédicaces. J’ai malencontreusement oublié de te parler d’une des formidables initiatives prises dans le quartier de la goutte d’or dans le 18è arondissement de Paris : le premier supermarché coopératif de Paris vient d’ouvrir ses portes, le but étant que chaque bénévoles y travaille 3 heures par mois. Les produits sont choisis en fonction de divers critères axés autour de l’écologie.
    https://public.cooplalouve.fr/

  9. Oui, Myriam, « Destruction » climatique, très bien cette idée !
    Hier, discussion sur la forêt suite aux coupes rases sévères en Ardèche, là aussi, des suggestions vers l’utilisation des bons mots ont été faites : se mettre d’accord sur le choix des mots, les définir clairement, expliquer les choix, les dire haut et fort partout !
    Je n’utilise plus le terme « environnement » tellement anthropocentrique et siphonné par les technocrates.
    Pour le coup, je me demande si le départ d’une vraie révolution écologique ne pourrait pas se faire à partir… des mots !
    Car à chaque fois, il faut définir, expliquer… etc…
    Et puis, c’est d’une radicalité étonnante !
    Je ne sais pas… réfléchissons à ça, c’est pas la 1er fois que le sujet émerge…

  10. quelque plaisir de te voir reprendre du poil de la bête, comme on dit !
    le soleil printanier devrait aider également.

    J’ai fini « ce qui compte vraiment », et bravo ! je vais l’offrir 😉

  11. Bonjour à toutes et à tous,

    Fabrice, je suis content de t’avoir vu ! Bon, tu n’as pas eu droit à la même foule que Nabilla… Quand j’ai vu cette horde, et quand j’ai compris pourquoi tous ces gens énervés étaient là, j’ai ressenti un grand moment de solitude.

    J’ai presque terminé « Ce qui compte vraiment », et j’aurais peut-être quelques remarques à faire plus tard. J’en suis au chapitre sur les animaux, du coup j’avance lentement, car c’est un sujet très sensible pour moi. J’ai adoré ta séquence nostalgique sur la rivière. Cela m’a fait penser aux longues nouvelles contemplatives de Lord Dunsany. La sacralité de la nature, je ne sais pas si l’on pourra y revenir un jour… Mais j’aimerais bien.

    Sinon, rien à voir, mais avant d’écrire ceci, je venais ici pour publier un lien vers un extrait de sketch de George Carlin. C’est à propos du vote, je me suis dit que ça plairait à plusieurs personnes, ici : https://www.youtube.com/watch?v=knQBH287aW0

    Bonne journée !

  12. Bonjour, sur le vegetarianisme:

    http://www.downtoearth.org.in/blog/why-i-won-t-advocate-vegetarianism-57449

    Ce post de blog publie il y a 2 jours par la redactrice-en-chef de Down to Earth (le meilleur magazine ecologique au monde a mon avis) souleve d’intenses debats.

    Comme a son habitude, Sunita Narain prefere la precision aux phrases flamboyantes, et fait une synthese remarquable de realites vitales, non pas inconnues mais negligees.

    Entre autres realites vitales: La securite alimentaire et economique que procure le betail (parfois une ou deux vaches par famille seulement) aux familles pauvres qui nourrissent l’Inde, souvent leur seule securite alimentaire et economique.

    La force animale, cruciale dans les zones reculees (En 1980 elle etait egale en kW-h a la production electrique!)

    La consommation de viande moyenne en Inde de 3 a 5kg par an, comparee a 122kg aux Etats-Unis, et le cout exorbitant pour les pauvres, pour la societe et pour l’ecologie en general, si l’on voulait passer de ces 3-5kg kg a zero kg!

    Et puis si on veut du lait mais pas tuer les vaches ni les laisser mourir de faim il faut systematiser les « gauchala », ces maisons de retraite pour vaches, et nourrir une vache pendant un an coute le salaire d’une femme de menage… Donc si on veut que la femme de menage ne tue ni ne vende sa vache, qui lui permet de survivre et de nourrir ses enfants il faudra au moins doubler son salaire…

    La laicite, qui pour Sunita Narain est « non-negociable », et, non mentionnee mais en toile de fond ce qui explique l’intensite des debats autour de cet article, les attaques croissantes contre les musulmans sous pretexte (presque toujours faux) de consommation de boeuf, face a une police complice, et un gouvernement tout aussi complice mais qui, pas plus que la femme de menage n’a les moyens de nourrir les vaches a la retraite puisqu’il a fait de l’Inde, en moins de deux ans, le premier exportateur mondial de viande de… boeuf (c’est a dire vache).

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